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Risque d'incendies
- Alors que le changement climatique accentue le risque d’incendies de forêt à travers le monde, les communautés cherchent des solutions efficaces pour en limiter l’impact.
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Un allié improbable
- Dans certaines régions des États-Unis, un allié aussi surprenant qu’efficace est mobilisé pour maîtriser le risque d’incendies de forêt : les chèvres.
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Un estomac à toute épreuve
- Grâce à leur estomac à toute épreuve et leur talent de grimpeuses, les chèvres sont imbattables pour dévorer la végétation desséchée qui alimente les incendies de forêt.
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Avantage supplémentaire
- En plus de leur appétit insatiable, les chèvres offrent un autre avantage : elles permettent également de contrôler la prolifération des plantes envahissantes.
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Aucune plante ne les arrête
- En effet, les chèvres n’hésitent pas à dévorer des plantes que d’autres mammifères évitent soigneusement, comme le chardon étoilé, réputé peu appétissant.
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Les candidates idéales
- Voyons de plus près pourquoi les chèvres sont les candidates idéales pour cette mission. Qu’est-ce qui leur donne un avantage sur d’autres animaux, comme les vaches ?
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Petites et agiles
- Tout d’abord, les chèvres sont plus petites et plus agiles que le bétail, ce qui leur permet d’accéder à des terrains escarpés et difficiles d’accès.
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Zones en hauteur
- Cette agilité les rend non seulement faciles à transporter et à mobiliser en grand nombre, mais leur permet aussi d’accéder à des zones élevées où d’autres animaux ne peuvent pas aller.
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Pont aux flammes - Certaines plantes servent de pont aux flammes, facilitant leur progression du sol jusqu’aux cimes des arbres. Les chèvres, capables de se dresser sur leurs pattes arrière, sont les seules à pouvoir atteindre et éliminer cette végétation inflammable.
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Appétit et système digestif
- Les chèvres possèdent un autre atout de taille : leur appétit vorace. Elles peuvent ingérer jusqu’à 4 % de leur poids corporel chaque jour, et leur système digestif robuste leur permet de digérer des plantes coriaces et difficiles à éliminer.
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Peu difficiles
- Les chèvres sont peu difficiles : elles dévorent presque tout, y compris des plantes toxiques pour de nombreux autres animaux, sans en subir les effets.
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Efficacité
- Cela fait des chèvres des alliées redoutablement efficaces pour éliminer la végétation susceptible d’alimenter les incendies de forêt.
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Les graines des plantes
- Un autre atout majeur de leur système digestif est qu’il détruit totalement les graines des plantes qu’elles consomment, empêchant ainsi leur repousse.
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Digestion des graines
- Cela s’explique par leurs dents acérées et leur estomac à quatre compartiments, qui broient efficacement les graines avant qu’elles ne soient éliminées.
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14 / 31 Fotos
Les plantes envahissantes
- Comme elles ne rejettent pas de graines viables, les chèvres sont particulièrement efficaces pour lutter contre les plantes envahissantes qui, autrement, repousseraient sans difficulté.
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15 / 31 Fotos
Défis
- Bien que le pâturage des chèvres soit une méthode prometteuse pour prévenir les incendies de forêt, il présente aussi certains défis.
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16 / 31 Fotos
Le surpâturage
- Le premier défi est le surpâturage. De nombreux éleveurs doivent gérer des chèvres un peu trop zélées, qui dévorent bien au-delà de ce qui est nécessaire.
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Brouter sans relâche
- Sans surveillance, des chèvres en pleine forme brouteront sans mesure, rasant la végétation jusqu’à la dernière brindille.
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Pourquoi cela pose-t-il problème ?
- Ce problème est loin d’être anodin, car un surpâturage excessif peut entraîner l’érosion des sols, la compaction des systèmes végétaux et une perte importante de nutriments.
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Des conséquences néfastes
- Cela complique la repousse de la végétation, et lorsqu’il s’agit d’espèces non invasives, cela peut avoir des conséquences néfastes sur l’équilibre de l’écosystème.
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Limiter le surpâturage
- Pour limiter le surpâturage, les éleveurs doivent suivre de près l’avancée des chèvres et s’assurer de les retirer dès qu’elles ont accompli leur mission.
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Autre défi
- Un autre défi du pâturage des chèvres est que, bien qu’elles mangent presque tout, elles ont tout de même leurs préférences.
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Triage
- Cela signifie qu’elles ont tendance à trier leur nourriture, privilégiant d’abord ce qu’elles préfèrent avant de s’attaquer au reste de la végétation disponible.
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23 / 31 Fotos
Délai prolongé
- Par conséquent, elles peuvent mettre un certain temps avant de s’attaquer aux plantes que les éleveurs souhaitent réellement éliminer.
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L'importance du timing
- Le timing est également un facteur clé lorsqu’il s’agit d’utiliser les chèvres pour lutter contre les espèces envahissantes.
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Une fourchette précise
- Les chèvres doivent être introduites à un moment précis du cycle de croissance des plantes afin d’ingérer et de digérer efficacement les graines, empêchant ainsi leur dispersion.
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Le bon moment
- Seul un bon timing permet aux éleveurs de s’assurer que les plantes indésirables ne repousseront pas et ne se disperseront pas davantage.
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27 / 31 Fotos
Le manque de chèvres
- Enfin, il y a la question du manque de chèvres. Les exploitations spécialisées dans le pâturage restent trop peu nombreuses pour déployer cette solution à grande échelle.
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Un métier complexe
- Le défi réside en partie dans la complexité du métier. Le pâturage des chèvres demande un savoir-faire exigeant, allant de l’élevage à la gestion des troupeaux, des compétences qui s’acquièrent avec le temps.
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Large stratégie
- À l’avenir, le pâturage des chèvres devrait s’imposer comme l’un des éléments d’une stratégie plus large de prévention des incendies de forêt. Sources: (Planet Forward) (NPR) Découvrez aussi : Ces célébrités ont perdu leur maison dans les incendies de Los Angeles
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Risque d'incendies
- Alors que le changement climatique accentue le risque d’incendies de forêt à travers le monde, les communautés cherchent des solutions efficaces pour en limiter l’impact.
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Un allié improbable
- Dans certaines régions des États-Unis, un allié aussi surprenant qu’efficace est mobilisé pour maîtriser le risque d’incendies de forêt : les chèvres.
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Un estomac à toute épreuve
- Grâce à leur estomac à toute épreuve et leur talent de grimpeuses, les chèvres sont imbattables pour dévorer la végétation desséchée qui alimente les incendies de forêt.
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Avantage supplémentaire
- En plus de leur appétit insatiable, les chèvres offrent un autre avantage : elles permettent également de contrôler la prolifération des plantes envahissantes.
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Aucune plante ne les arrête
- En effet, les chèvres n’hésitent pas à dévorer des plantes que d’autres mammifères évitent soigneusement, comme le chardon étoilé, réputé peu appétissant.
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Les candidates idéales
- Voyons de plus près pourquoi les chèvres sont les candidates idéales pour cette mission. Qu’est-ce qui leur donne un avantage sur d’autres animaux, comme les vaches ?
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Petites et agiles
- Tout d’abord, les chèvres sont plus petites et plus agiles que le bétail, ce qui leur permet d’accéder à des terrains escarpés et difficiles d’accès.
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Zones en hauteur
- Cette agilité les rend non seulement faciles à transporter et à mobiliser en grand nombre, mais leur permet aussi d’accéder à des zones élevées où d’autres animaux ne peuvent pas aller.
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Pont aux flammes - Certaines plantes servent de pont aux flammes, facilitant leur progression du sol jusqu’aux cimes des arbres. Les chèvres, capables de se dresser sur leurs pattes arrière, sont les seules à pouvoir atteindre et éliminer cette végétation inflammable.
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Appétit et système digestif
- Les chèvres possèdent un autre atout de taille : leur appétit vorace. Elles peuvent ingérer jusqu’à 4 % de leur poids corporel chaque jour, et leur système digestif robuste leur permet de digérer des plantes coriaces et difficiles à éliminer.
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10 / 31 Fotos
Peu difficiles
- Les chèvres sont peu difficiles : elles dévorent presque tout, y compris des plantes toxiques pour de nombreux autres animaux, sans en subir les effets.
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Efficacité
- Cela fait des chèvres des alliées redoutablement efficaces pour éliminer la végétation susceptible d’alimenter les incendies de forêt.
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Les graines des plantes
- Un autre atout majeur de leur système digestif est qu’il détruit totalement les graines des plantes qu’elles consomment, empêchant ainsi leur repousse.
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Digestion des graines
- Cela s’explique par leurs dents acérées et leur estomac à quatre compartiments, qui broient efficacement les graines avant qu’elles ne soient éliminées.
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Les plantes envahissantes
- Comme elles ne rejettent pas de graines viables, les chèvres sont particulièrement efficaces pour lutter contre les plantes envahissantes qui, autrement, repousseraient sans difficulté.
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Défis
- Bien que le pâturage des chèvres soit une méthode prometteuse pour prévenir les incendies de forêt, il présente aussi certains défis.
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Le surpâturage
- Le premier défi est le surpâturage. De nombreux éleveurs doivent gérer des chèvres un peu trop zélées, qui dévorent bien au-delà de ce qui est nécessaire.
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Brouter sans relâche
- Sans surveillance, des chèvres en pleine forme brouteront sans mesure, rasant la végétation jusqu’à la dernière brindille.
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Pourquoi cela pose-t-il problème ?
- Ce problème est loin d’être anodin, car un surpâturage excessif peut entraîner l’érosion des sols, la compaction des systèmes végétaux et une perte importante de nutriments.
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Des conséquences néfastes
- Cela complique la repousse de la végétation, et lorsqu’il s’agit d’espèces non invasives, cela peut avoir des conséquences néfastes sur l’équilibre de l’écosystème.
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Limiter le surpâturage
- Pour limiter le surpâturage, les éleveurs doivent suivre de près l’avancée des chèvres et s’assurer de les retirer dès qu’elles ont accompli leur mission.
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Autre défi
- Un autre défi du pâturage des chèvres est que, bien qu’elles mangent presque tout, elles ont tout de même leurs préférences.
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Triage
- Cela signifie qu’elles ont tendance à trier leur nourriture, privilégiant d’abord ce qu’elles préfèrent avant de s’attaquer au reste de la végétation disponible.
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Délai prolongé
- Par conséquent, elles peuvent mettre un certain temps avant de s’attaquer aux plantes que les éleveurs souhaitent réellement éliminer.
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L'importance du timing
- Le timing est également un facteur clé lorsqu’il s’agit d’utiliser les chèvres pour lutter contre les espèces envahissantes.
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25 / 31 Fotos
Une fourchette précise
- Les chèvres doivent être introduites à un moment précis du cycle de croissance des plantes afin d’ingérer et de digérer efficacement les graines, empêchant ainsi leur dispersion.
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Le bon moment
- Seul un bon timing permet aux éleveurs de s’assurer que les plantes indésirables ne repousseront pas et ne se disperseront pas davantage.
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Le manque de chèvres
- Enfin, il y a la question du manque de chèvres. Les exploitations spécialisées dans le pâturage restent trop peu nombreuses pour déployer cette solution à grande échelle.
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Un métier complexe
- Le défi réside en partie dans la complexité du métier. Le pâturage des chèvres demande un savoir-faire exigeant, allant de l’élevage à la gestion des troupeaux, des compétences qui s’acquièrent avec le temps.
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Large stratégie
- À l’avenir, le pâturage des chèvres devrait s’imposer comme l’un des éléments d’une stratégie plus large de prévention des incendies de forêt. Sources: (Planet Forward) (NPR) Découvrez aussi : Ces célébrités ont perdu leur maison dans les incendies de Los Angeles
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Pâturage stratégique : comment les chèvres aident à prévenir les incendies
Quand l’appétit insatiable des chèvres devient un atout contre les flammes
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Quand on parle de prévention des incendies de forêt, plusieurs méthodes viennent en tête : brûlage contrôlé des débris, entretien rigoureux des véhicules... Autant d’actions mises en place pour limiter les risques dans un climat toujours plus propice aux feux. Mais l’une des stratégies les plus inattendues repose sur une aide pour le moins originale : les chèvres.
Adeptes de l’escalade et dotées d’un estomac à toute épreuve, ces animaux insatiables dévorent les broussailles et les herbes sèches, réduisant ainsi le combustible naturel qui alimente les incendies. Une solution surprenante, mais diablement efficace !
Curieux d’en savoir plus ? Découvrez en images comment ces alliées à quatre pattes participent à la lutte contre les feux de forêt.
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