Lorsque les gens meurent, ils laissent derrière eux une vaste empreinte numérique. Notre génération est la première à être confrontée à ce qu'il advient des médias sociaux après la mort, dans le cadre d'un nouveau type de vie après la mort en ligne. Qu'on le veuille ou non, les funérailles virtuelles, les pages commémoratives et les "fantômes numériques" font désormais partie de notre paysage culturel.
Selon une étude de l'Oxford Internet Institute, le nombre d'utilisateurs de Facebook décédés pourrait atteindre près de cinq milliards d'ici la fin du siècle, dépassant ainsi le nombre d'utilisateurs vivants. Mais qui contrôle votre héritage en ligne ? Qui peut accéder à vos comptes ? Et qu'advient-il réellement de votre moi numérique une fois que vous n'êtes plus ?
Parcourez cette galerie pour découvrir comment l'étrange avenir de l'archéologie pourrait se situer non seulement sous la terre, mais aussi dans les ruines numériques que nous laissons derrière nous.