Les connaissez-vous ?
L'athlète canadien Ben Johnson a non seulement remporté la médaille d'or, mais il a également battu le record du monde du 100 mètres aux J.O de Séoul, en 1988.
Ben Johnson a perdu sa médaille car des traces de produits dopants, notamment de stanozolol, ont été retrouvés dans son urine lors de tests antidopage.
Au cours des J.O de Sydney en 2000, une gymnaste roumaine âgé de 16 ans a remporté plusieurs médailles d'or dans diverses épreuves.
Mais la gymnaste s'est vue retirer ses médailles après un test de dépistage positif à la pseudoéphédrine. Malgré le fait que cette substance était présente dans un médicament contre la toux qu'elle prenait, Andreea Raducan n'a pas pu récupérer ses médailles.
Ces deux patineuses artistiques américaines étaient en compétition pour avoir la chance de représenter leur pays aux J.O d'hiver, en 1994.
En 1994, Nancy Kerrigan s'est faite agresser par un assaillant non-identifié. Une enquête a permis de démontrer que cette agression avait été orchestrée par l'ex-mari de Tonya Harding. Par conséquent, cette dernière a été bannie définitivement de ce sport.
Lors des J.O de Sydney en 2000, plusieurs gymnastes ont eu du mal à réaliser leurs performances sur le cheval d'arçons.
Plus tard, il a été découvert que le cheval d'arçons était trop bas. Plusieurs athlètes qui avaient précédemment été éliminés ont alors pu rejoindre la compétition.
Pour participer aux Jeux olympiques de Stockholm en 1912, les athlètes devaient impérativement être des amateurs. L'Américain Jim Thorpe a participé aux Jeux et a remporté des médailles d'or dans les épreuves de pentathlon et de décathlon.
Mais ses médailles lui ont été retirées puisque auparavant, il avait été joueur de baseball professionnel. Néanmoins, le Comité international olympique a fini par les lui rendre dans les années qui ont suivi.
En 1984, l'Union soviétique a refusé de participer aux J.O de Los Angeles. Les Soviétiques ont déclaré que c'était pour des raisons de sécurité, mais il s'agissait probablement d'un acte de revanche déclenché suite au boycott des États-Unis, en 1980.
Tout comme l'Union soviétique, 13 de leurs alliés ont suivi le mouvement et ont décidé de boycotter les Jeux.
L'athlète américaine a remporté 5 médailles, dont 3 médailles d'or aux Jeux olympiques de 2000.
Mais en 2007, Marion Jones a avoué avoir consommé des substances dopantes lorsqu'elle s'entraînait pour les J.O, ce qui a conduit au retrait de ses médailles.
Lors des Jeux olympiques d'hiver de 2002 à Salt Lake City, une compétition de patinage artistique très disputée s'est déroulée entre le duo canadien et le duo russe, qui a finalement remporté la médaille d'or.
Mais la juge française Marie-Reine Le Gougne a avoué avoir été contrainte par le dirigeant de son organisation de favoriser le duo russe. Par conséquent, les deux couples ont remporté la médaille d'or.
Le taekwondoïste cubain a exprimé son mécontentement quant au temps qu'il a dû attendre pour obtenir de l'aide médicale pendant l'entracte d'un combat.
Furieux, l'athlète a agressé l'arbitre et l'a frappé au visage. Il a été disqualifié et banni du sport à tout jamais.
Lors des J.O d'hiver en 1998, la française Surya Bonaly a réalisé un salto arrière, ce qui fait d'elle la deuxième athlète à avoir réussi cette figure.
Bien qu'impressionnante, cette figure était interdite et la patineuse ne pouvait donc pas la réaliser. Par conséquent, elle a perdu de nombreux points.
En 1980, le président américain Jimmy Carter a déclaré que les athlètes américains ne participeraient pas aux J.O de Moscou ayant lieu la même année.
Suite à l'invasion de l'Afghanistan par l'Union soviétique, les États-Unis ont décidé de boycotter les Jeux. Le Canada, le Japon de l'Allemagne de l'Ouest ont également rejoint le mouvement. Il s'agit de la seule fois où les États-Unis ont boycotté l'événement.
Lors des J.O de Sydney de 2000, des doutes concernant l'âge des gymnastes chinoises se sont levés.
L'athlète chinoise Dong Fangxiao était en fait trop jeune pour participer à cette compétition, puisqu'elle avait moins de 16 ans.
Avant les Jeux olympiques de 2016 à Rio de Janeiro, le Comité international olympique a choisi de tester tous les athlètes russes souhaitant participer à la compétition. Cette décision faisait suite à des rumeurs concernant l'utilisation de produits dopants par les athlètes russes.
271 athlètes russes ont été autorisés à participer aux J.O de Rio.
Lors des J.O de Londres en 2012, huit joueurs de badminton ont été disqualifiés pour avoir triché.
Des joueurs chinois, sud-coréens et indonésiens avaient fait en sorte d'affronter des adversaires plus faibles qu'eux lors du tour suivant.
Lors des Jeux olympiques de Rio en 2016, les nageurs Ryan Lochte, Jimmy Feigen, Gunnar Bentz et Jack Conger ont affirmé avoir été victimes d'un vol à main armée.
Les voleurs faisaient en fait partie du personnel de sécurité d'une station essence. Les nageurs, complètement alcoolisés, auraient détérioré la station essence.
Le 20 septembre 2017, le président sud-coréen Moon Jae-in a déclaré que le pays s'efforçait d'assurer la sécurité des Jeux olympiques d'hiver de Pyeongchang en raison des tensions liées aux essais nucléaires et aux tirs de missiles de la Corée du Nord.
Le jour suivant, le ministre français des Sports et de la Jeunesse a déclaré que la France ne participerait pas aux Jeux à moins que la Corée du Sud n'assure la sécurité de son pays.
Le 5 décembre 2017, le Comité international olympique a déclaré que le Comité olympique russe était suspendu des J.O d'hiver de 2018.
Toutefois, les athlètes qui n'ont jamais commis d'infractions en matière de dopage et qui ont fait l'objet de contrôles fiables ont été autorisés à participer aux Jeux olympiques d'hiver de 2018.
La petite-sœur de Kim Jong-un, Kim Yo-jong, s'est rendue à la cérémonie d'ouverture des Jeux de 2018 et a même salué le président sud-coréen Moon Jae-in en lui serrant la main.
Il s'agissait de la première visite d'un membre de la dynastie Kim en Corée du Sud depuis la guerre de Corée.
La Chine a été choisie pour accueillir les Jeux d'hiver de 2022. Le pays a dû faire face à plusieurs critiques liées aux dépenses, aux conséquences environnementales, à la censure, à l'espionnage, au COVID-19, au lavage sportif et aux problèmes de non-respect des droits de l'Homme.
Par conséquent, des boycotts diplomatiques ont eu lieu, principalement en raison de préoccupations concernant les droits de l'homme en Chine, en particulier le génocide des Ouïghours.
Du haut de ses 15 ans, la patineuse Kamila Valieva a fait sensation lors d'une compétition nationale à Saint-Pétersbourg en Russie, en décembre 2021.
Malgré son talent indiscutable, un échantillon prélevé pendant la compétition a révélé des traces d'un médicament cardiaque interdit. De nombreux experts et responsables sportifs internationaux ont estimé que cela aurait dû empêcher Kamila Valieva de participer aux Jeux olympiques.
Le skieur iranien Hossein Saveh-Shemshaki a été la première personne reconnue coupable de dopage pendant les Jeux olympiques de Pékin 2022. Quelques jours après le début des Jeux, il a été testé positif à un stéroïde anabolisant et androgène interdit. Par conséquent, il a été immédiatement exclu de toute compétition, entraînement ou activité olympique.
De nombreuses sauteuses à ski, dont l'autrichienne Daniela Iraschko-Stolz, la japonaise Sara Takanashi, les norvégiennes Anna Odine Strøm et Silje Opseth et l'allemande Katharina Althaus, ont été disqualifiées à cause de leurs combinaisons amples.
Les combinaisons amples permettent aux skieuses de s'élever plus haut dans les airs, ce qui leur donnait un avantage considérable. Et cela va à l'encontre des règlements officiels de la compétition.
En 2020, la gymnaste américaine aux quatre médailles d'or a décidé de quitter les J.O de Tokyo plus tôt en raison d'un stress éprouvant qu'elle ressentait. Quelques années plus tard, elle est persuadée d'avoir pris la bonne décision.
Simone Biles, ainsi que plusieurs autres femmes, ont été victimes d'abus sexuels de la part de Larry Nassar, un ancien médecin de l’équipe nationale américaine de gymnastique féminine. Il a été condamné à 175 ans de prison pour avoir abusé de femmes et d'enfants.
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Le joueur de hockey australien Tom Craig, 28 ans, a été expulsé du village olympique après avoir été arrêté pour tentative d'achat de cocaïne suite à l'élimination de son équipe. Après une nuit en détention, il a exprimé des regrets, assumant la responsabilité de ses actes. Il a été banni des Jeux olympiques par le Comité australien.
Les Jeux olympiques sont l'une des compétitions sportives les plus prestigieuses au monde au cours de laquelle des athlètes venant du monde entier peuvent dévoiler leurs talents sportifs et battre de nouveaux records. Toutefois, les J.O ont également fait l'objet de nombreux scandales et controverses qui ont ébranlé la notion d'esprit de compétition.
Cliquez sur cette galerie pour découvrir les scandales qui ont marqué l'histoire des Jeux olympiques au fer rouge.
Lors des JO 2024 à Paris, le jour de la cérémonie d'ouverture, de nombreux postes d'aiguillage ont été endommagés le long des lignes reliant le réseau de trains à grande vitesse TGV à Paris depuis d'autres grandes villes de France. Des vandales ont allumé des feux à l'aide d'engins explosifs à ces endroits lors d'une attaque coordonnée avant l'aube, entravant les services ferroviaires nationaux et perturbant les plans de voyage de près d'un million de passagers. La SNCF, l'opérateur ferroviaire public, a prévenu les voyageurs que les réparations des lignes entraîneraient d'importants retards tout au long du week-end et a invité les personnes munies de billets à reporter leur voyage. Les attentats ont considérablement compliqué la tâche de milliers de personnes désireuses de se rendre à Paris pour les Jeux, tandis que celles qui souhaitent quitter la ville ou simplement la traverser pour se rendre en vacances ont été désormais bloquées.
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