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Santé fragile chez les Vikings
- Des odontologues de l’université de Göteborg, en Suède, ont réalisé des scanners sur 15 crânes de Vikings afin de mieux comprendre leur mode de vie et les maladies dont ils ont pu souffrir.
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1 / 30 Fotos
Maladies chroniques en série
- L’étude, publiée dans le British Dental Journal Open, affirme que les Vikings souffraient de nombreuses maladies graves liées à des infections chroniques et à des inflammations persistantes.
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2 / 30 Fotos
Des infections qui laissent des traces
- Les scanners réalisés dans le cadre de l’étude ont révélé que de nombreux crânes vikings présentaient des signes d’infections des sinus ou des oreilles, visibles à travers des altérations de la structure osseuse.
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3 / 30 Fotos
Tous touchés, quel que soit l’âge
- Les crânes étudiés appartenaient à des Vikings âgés de 20 à 60 ans, couvrant une large tranche d’âge, mais tous présentaient au moins une pathologie grave.
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4 / 30 Fotos
Une spécialiste aux commandes
- L’étude a été dirigée par Carolina Bertilsson, dentiste au sein du Service public dentaire suédois et chercheuse associée à l’université de Göteborg.
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5 / 30 Fotos
Une expertise multidisciplinaire
- L’étude a réuni des universitaires, des dentistes, des radiologues dentaires et des archéologues, permettant une analyse approfondie et des conclusions aussi riches que surprenantes.
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6 / 30 Fotos
L’anatomie en 3D
- Les scanners réalisés par l’équipe de recherche ont permis d’obtenir des images en 3D offrant une analyse poussée. Les couches osseuses, la mâchoire et les dents ont été examinées avec une grande précision.
© Getty Images
7 / 30 Fotos
Un mode de vie révélateur
- Même si les chercheurs n’ont pas pu déterminer les causes exactes de la forte présence de maladies chez les Vikings suédois, leurs conclusions offrent un éclairage précieux sur le mode de vie de cette population. Sur la photo, des habitations vikings à Birka, en Suède.
© Shutterstock
8 / 30 Fotos
Des squelettes marqués en profondeur
- L’étude a mis en évidence de nombreuses atteintes pathologiques sur les ossements vikings. Pour comprendre l’origine exacte de ces maladies, les chercheurs auraient dû disposer de tissus mous — malheureusement absents depuis des siècles.
© Getty Images
9 / 30 Fotos
La technologie au service de la préservation
- L’un des grands avantages de ce type d’étude, c’est qu’elle permet d’exploiter des technologies avancées sans abîmer les restes. Grâce à ces scanners approfondis, les chercheurs peuvent recueillir de précieuses informations tout en conservant les crânes intacts.
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10 / 30 Fotos
Un état de santé préoccupant
- Les crânes ont révélé plusieurs affections sévères. Les maladies dentaires figuraient parmi les plus fréquentes, tandis que des signes d’arthrose ont également été observés.
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11 / 30 Fotos
Un mythe écorné
- On imagine souvent les Vikings comme un peuple robuste et en parfaite santé, mais cette étude remet sérieusement en question l’idée d’une invincibilité presque légendaire.
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12 / 30 Fotos
Douleurs chroniques probables
- Des excroissances osseuses pathologiques ont été observées sur l’ensemble du crâne, y compris la mâchoire, ce qui laisse penser que les Vikings souffraient probablement de douleurs chroniques liées à leurs maladies.
© Getty Images
13 / 30 Fotos
Un concentré de pathologies
- Les crânes, datant du 10e au 12e siècle, présentaient une série de maladies graves, telles que des caries, des parodontites, des sinusites et des dégradations osseuses causées par des infections.
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14 / 30 Fotos
Des dents marquées à vie
- Leurs problèmes dentaires ne s’arrêtaient pas là. Une étude précédente a mis en évidence de profondes entailles dans les dents des Vikings. Selon les chercheurs, ces rainures pourraient avoir eu, au-delà d’une fonction sociale ou culturelle, un rôle de marqueur commercial.
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15 / 30 Fotos
Des marques d’appartenance
- Selon une théorie largement répandue, ces rainures auraient pu servir de rite d’initiation ou même de signe d’identification pour certains groupes de marchands.
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16 / 30 Fotos
Des crânes déformés intentionnellement
- Une étude antérieure menée sur des crânes vikings a également révélé des formes allongées en cône chez certaines femmes. Les crânes découverts dans la région de Gotland, en Suède, suggèrent une pratique de bandage crânien. Sur la photo, la tête d’une femme amérindienne après un bandage crânien.
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17 / 30 Fotos
Une tradition venue d’ailleurs
- Les crânes allongés de ces femmes ont probablement été modifiés dès la naissance. Cette pratique, liée à l’enveloppement de la tête avec des bandages, serait d’origine hunnique.
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18 / 30 Fotos
Des influences venues d’Asie
- Vous avez sans doute entendu parler des Huns, ce peuple nomade venu d’Asie qui a vécu en Europe aux 4e et 5e siècles. Leur pratique du bandage crânien a d’ailleurs perduré jusqu’au 10e siècle dans certaines régions du sud-est de l’Europe.
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19 / 30 Fotos
Une coutume marginale
- Cette pratique était extrêmement localisée au sein des communautés vikings, ce qui laisse penser qu’elle n’était pas répandue dans l’ensemble de la population, mais adoptée par ceux entretenant un lien étroit avec les Huns.
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20 / 30 Fotos
Des signes de statut social
- Selon les chercheurs, ces crânes féminins appartenaient probablement à des membres de la communauté qui utilisaient ces modifications comme des "symboles d’influence et de réussite dans le commerce".
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21 / 30 Fotos
Un mal répandu dans l’Antiquité
- Au-delà des Vikings, les maladies bucco-dentaires étaient malheureusement courantes dans les civilisations anciennes. Une étude de 2024 menée sur des crânes humains découverts dans les plaines de Qazvin, en Iran, et datant de l’âge du Fer (2000 av. J.-C.), a révélé de nombreuses traces de pathologies dentaires.
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22 / 30 Fotos
Des Britanniques aussi touchés
- Une étude de 2014 portant sur des crânes issus de communautés romano-britanniques datant de 200 à 400 apr. J.-C. a également mis en évidence une forte prévalence de maladies parodontales, ainsi que de nombreuses pathologies dentaires.
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23 / 30 Fotos
Les peuples autochtones
- Une étude menée dans les années 1970 sur des crânes amérindiens a également révélé une forte incidence de maladies parodontales, ainsi que des cas fréquents de caries, de déchaussements et de pertes dentaires.
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24 / 30 Fotos
Un fléau ancestral
- Les maladies parodontales sont également mentionnées dans des écrits anciens venus d’Égypte, de Chine, de Sumer, d’Assyrie et de Babylone. Il n’est donc guère étonnant que les civilisations qui leur ont succédé aient elles aussi souffert de troubles bucco-dentaires.
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25 / 30 Fotos
Une maladie toujours d’actualité
- La parodontite, plus connue sous le nom de maladie des gencives, est une réaction inflammatoire provoquée par la plaque dentaire. Et malgré les avancées de la dentisterie moderne et les suivis de santé réguliers, elle touche encore aujourd’hui de nombreuses personnes de manière sévère.
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26 / 30 Fotos
Des habitudes qui aggravent les choses
- Nos modes de vie actuels — alimentation industrielle, consommation accrue de glucides et pratiques néfastes pour la santé bucco-dentaire comme le tabagisme — sont autant de facteurs qui contribuent fortement à l’aggravation de ces maladies.
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27 / 30 Fotos
Un paradoxe surprenant
- Même si nos ancêtres n’avaient ni les soins médicaux ni l’éducation dont nous bénéficions aujourd’hui — et que la grande majorité ne se brossait même pas les dents — leur santé bucco-dentaire était, étonnamment, souvent meilleure que la nôtre.
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28 / 30 Fotos
Un constat déroutant
- Cela peut paraître surprenant, mais nos habitudes de vie actuelles semblent plus néfastes pour notre santé bucco-dentaire que celles des communautés ayant vécu il y a des millénaires. Sources: (University of Gothenberg) (Discover
Magazine) (Nature) (Smithsonian Magazine) (Live Science) (National
Library of Medicine) (Southwest Portland Dental) (Archaeology) Découvrez aussi : Le lien entre la mauvaise haleine et des problèmes de santé graves
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Santé fragile chez les Vikings
- Des odontologues de l’université de Göteborg, en Suède, ont réalisé des scanners sur 15 crânes de Vikings afin de mieux comprendre leur mode de vie et les maladies dont ils ont pu souffrir.
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1 / 30 Fotos
Maladies chroniques en série
- L’étude, publiée dans le British Dental Journal Open, affirme que les Vikings souffraient de nombreuses maladies graves liées à des infections chroniques et à des inflammations persistantes.
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Des infections qui laissent des traces
- Les scanners réalisés dans le cadre de l’étude ont révélé que de nombreux crânes vikings présentaient des signes d’infections des sinus ou des oreilles, visibles à travers des altérations de la structure osseuse.
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3 / 30 Fotos
Tous touchés, quel que soit l’âge
- Les crânes étudiés appartenaient à des Vikings âgés de 20 à 60 ans, couvrant une large tranche d’âge, mais tous présentaient au moins une pathologie grave.
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4 / 30 Fotos
Une spécialiste aux commandes
- L’étude a été dirigée par Carolina Bertilsson, dentiste au sein du Service public dentaire suédois et chercheuse associée à l’université de Göteborg.
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5 / 30 Fotos
Une expertise multidisciplinaire
- L’étude a réuni des universitaires, des dentistes, des radiologues dentaires et des archéologues, permettant une analyse approfondie et des conclusions aussi riches que surprenantes.
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6 / 30 Fotos
L’anatomie en 3D
- Les scanners réalisés par l’équipe de recherche ont permis d’obtenir des images en 3D offrant une analyse poussée. Les couches osseuses, la mâchoire et les dents ont été examinées avec une grande précision.
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7 / 30 Fotos
Un mode de vie révélateur
- Même si les chercheurs n’ont pas pu déterminer les causes exactes de la forte présence de maladies chez les Vikings suédois, leurs conclusions offrent un éclairage précieux sur le mode de vie de cette population. Sur la photo, des habitations vikings à Birka, en Suède.
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8 / 30 Fotos
Des squelettes marqués en profondeur
- L’étude a mis en évidence de nombreuses atteintes pathologiques sur les ossements vikings. Pour comprendre l’origine exacte de ces maladies, les chercheurs auraient dû disposer de tissus mous — malheureusement absents depuis des siècles.
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9 / 30 Fotos
La technologie au service de la préservation
- L’un des grands avantages de ce type d’étude, c’est qu’elle permet d’exploiter des technologies avancées sans abîmer les restes. Grâce à ces scanners approfondis, les chercheurs peuvent recueillir de précieuses informations tout en conservant les crânes intacts.
© Getty Images
10 / 30 Fotos
Un état de santé préoccupant
- Les crânes ont révélé plusieurs affections sévères. Les maladies dentaires figuraient parmi les plus fréquentes, tandis que des signes d’arthrose ont également été observés.
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11 / 30 Fotos
Un mythe écorné
- On imagine souvent les Vikings comme un peuple robuste et en parfaite santé, mais cette étude remet sérieusement en question l’idée d’une invincibilité presque légendaire.
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12 / 30 Fotos
Douleurs chroniques probables
- Des excroissances osseuses pathologiques ont été observées sur l’ensemble du crâne, y compris la mâchoire, ce qui laisse penser que les Vikings souffraient probablement de douleurs chroniques liées à leurs maladies.
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13 / 30 Fotos
Un concentré de pathologies
- Les crânes, datant du 10e au 12e siècle, présentaient une série de maladies graves, telles que des caries, des parodontites, des sinusites et des dégradations osseuses causées par des infections.
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14 / 30 Fotos
Des dents marquées à vie
- Leurs problèmes dentaires ne s’arrêtaient pas là. Une étude précédente a mis en évidence de profondes entailles dans les dents des Vikings. Selon les chercheurs, ces rainures pourraient avoir eu, au-delà d’une fonction sociale ou culturelle, un rôle de marqueur commercial.
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15 / 30 Fotos
Des marques d’appartenance
- Selon une théorie largement répandue, ces rainures auraient pu servir de rite d’initiation ou même de signe d’identification pour certains groupes de marchands.
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16 / 30 Fotos
Des crânes déformés intentionnellement
- Une étude antérieure menée sur des crânes vikings a également révélé des formes allongées en cône chez certaines femmes. Les crânes découverts dans la région de Gotland, en Suède, suggèrent une pratique de bandage crânien. Sur la photo, la tête d’une femme amérindienne après un bandage crânien.
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17 / 30 Fotos
Une tradition venue d’ailleurs
- Les crânes allongés de ces femmes ont probablement été modifiés dès la naissance. Cette pratique, liée à l’enveloppement de la tête avec des bandages, serait d’origine hunnique.
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Des influences venues d’Asie
- Vous avez sans doute entendu parler des Huns, ce peuple nomade venu d’Asie qui a vécu en Europe aux 4e et 5e siècles. Leur pratique du bandage crânien a d’ailleurs perduré jusqu’au 10e siècle dans certaines régions du sud-est de l’Europe.
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19 / 30 Fotos
Une coutume marginale
- Cette pratique était extrêmement localisée au sein des communautés vikings, ce qui laisse penser qu’elle n’était pas répandue dans l’ensemble de la population, mais adoptée par ceux entretenant un lien étroit avec les Huns.
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20 / 30 Fotos
Des signes de statut social
- Selon les chercheurs, ces crânes féminins appartenaient probablement à des membres de la communauté qui utilisaient ces modifications comme des "symboles d’influence et de réussite dans le commerce".
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Un mal répandu dans l’Antiquité
- Au-delà des Vikings, les maladies bucco-dentaires étaient malheureusement courantes dans les civilisations anciennes. Une étude de 2024 menée sur des crânes humains découverts dans les plaines de Qazvin, en Iran, et datant de l’âge du Fer (2000 av. J.-C.), a révélé de nombreuses traces de pathologies dentaires.
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Des Britanniques aussi touchés
- Une étude de 2014 portant sur des crânes issus de communautés romano-britanniques datant de 200 à 400 apr. J.-C. a également mis en évidence une forte prévalence de maladies parodontales, ainsi que de nombreuses pathologies dentaires.
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Les peuples autochtones
- Une étude menée dans les années 1970 sur des crânes amérindiens a également révélé une forte incidence de maladies parodontales, ainsi que des cas fréquents de caries, de déchaussements et de pertes dentaires.
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24 / 30 Fotos
Un fléau ancestral
- Les maladies parodontales sont également mentionnées dans des écrits anciens venus d’Égypte, de Chine, de Sumer, d’Assyrie et de Babylone. Il n’est donc guère étonnant que les civilisations qui leur ont succédé aient elles aussi souffert de troubles bucco-dentaires.
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25 / 30 Fotos
Une maladie toujours d’actualité
- La parodontite, plus connue sous le nom de maladie des gencives, est une réaction inflammatoire provoquée par la plaque dentaire. Et malgré les avancées de la dentisterie moderne et les suivis de santé réguliers, elle touche encore aujourd’hui de nombreuses personnes de manière sévère.
© Shutterstock
26 / 30 Fotos
Des habitudes qui aggravent les choses
- Nos modes de vie actuels — alimentation industrielle, consommation accrue de glucides et pratiques néfastes pour la santé bucco-dentaire comme le tabagisme — sont autant de facteurs qui contribuent fortement à l’aggravation de ces maladies.
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27 / 30 Fotos
Un paradoxe surprenant
- Même si nos ancêtres n’avaient ni les soins médicaux ni l’éducation dont nous bénéficions aujourd’hui — et que la grande majorité ne se brossait même pas les dents — leur santé bucco-dentaire était, étonnamment, souvent meilleure que la nôtre.
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28 / 30 Fotos
Un constat déroutant
- Cela peut paraître surprenant, mais nos habitudes de vie actuelles semblent plus néfastes pour notre santé bucco-dentaire que celles des communautés ayant vécu il y a des millénaires. Sources: (University of Gothenberg) (Discover
Magazine) (Nature) (Smithsonian Magazine) (Live Science) (National
Library of Medicine) (Southwest Portland Dental) (Archaeology) Découvrez aussi : Le lien entre la mauvaise haleine et des problèmes de santé graves
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Ce que les crânes vikings révèlent : un peuple rongé par la maladie
Une étude suédoise lève le voile sur l’état de santé inquiétant de ces guerriers légendaires
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Des chercheurs de l’université de Göteborg ont passé au crible les restes de Vikings datant de l’âge viking en Suède… et ce qu’ils ont découvert est loin d’être glorieux. Jusqu’ici, les études s’étaient surtout concentrées sur l’analyse des dents issues de sépultures anciennes à Varnhem. Cette fois, les scientifiques sont allés plus loin en examinant des crânes entiers pour évaluer de manière plus large l’état de santé de ces guerriers légendaires. Et ce qu’ils ont trouvé ne laisse guère de doute : les Vikings étaient loin d’être en pleine forme.
Grâce à des scanners réalisés par des spécialistes en odontologie, plusieurs maladies graves ont été mises en évidence. Infections, inflammations, atteintes osseuses… les pathologies sévères semblent avoir été fréquentes dans cette population.
Mais alors, de quelles maladies souffraient-ils exactement ? Et comment ces troubles ont-ils pu impacter leur espérance de vie et leur comportement au quotidien ? Découvrez-le dans cette galerie.
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