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L'attentat à la grille de l'école -

Le jeudi 23 novembre 2023, un attentat s'est produit alors que des enfants quittaient leur école à Parnell Square, une artère très fréquentée du centre nord de Dublin.

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Les blessés - Une fillette de cinq ans et une femme d'une trentaine d'années ont été grièvement blessées par un homme armé d'un couteau, tandis qu'une fillette de six ans et un garçon de cinq ans ont subi des blessures moins graves.

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L'intervention d'inconnus -

Un chauffeur brésilien de Deliveroo, qui a vu l'homme attaquer une jeune fille avec un couteau, est descendu de son vélo et a commencé à frapper l'agresseur avec son casque. D'autres passants sont intervenus pour protéger les enfants et maîtriser l'homme.

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Les émeutes -

Cependant, après 18 heures ce soir-là, une foule d'au moins 100 casseurs est descendue dans la rue, affrontant la police et incendiant des écoles et des magasins.

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Des projectiles et des feux d'artifices -

Les manifestants ont lancé des projectiles et des feux d'artifice. D'autres se sont emparés de chaises et de tabourets à l'extérieur des bars et des restaurants et les ont lancés sur la police. 

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Les rumeurs -

Des rumeurs ont circulé sur les médias sociaux concernant la nationalité de l'auteur présumé des coups de couteau de l'après-midi à l'école.

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La désinformation sur les réseaux sociaux -

Aucun détail sur l'auteur de l'attaque n'a été rendu public, et des informations erronées ont circulé en ligne par la suite.

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Incendies criminels et pillages -

Des bus et des tramways ont été incendiés, des vitrines brisées et des magasins pillés, tandis que des détonations retentissaient dans toute la ville.

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Incendies criminels et pillages -

La chaîne publique irlandaise RTE a montré un bus incendié sur lequel était graffité le mot "Out".

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La police irlandaise -

Au plus fort de la réaction aux violences, plus de 400 policiers ont été déployés dans le centre ville de Dublin pour faire face à la violence.

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La police irlandaise -

Des policiers en tenue anti-émeute ont utilisé des boucliers et des matraques pour disperser la foule sur O'Connell Street, dans le centre de Dublin, tandis qu'un hélicoptère de la police survolait les lieux.Des policiers en tenue anti-émeute ont utilisé des boucliers et des matraques pour disperser la foule sur O'Connell Street, dans le centre de Dublin, tandis qu'un hélicoptère de la police survolait les lieux.

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Les blessés -

Un porte-parole du commissaire a déclaré que certains membres des forces de police avaient été attaqués et agressés, dans une déclaration vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.

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Les slogans anti-émigration -

RTE a également rapporté que les manifestants avaient scandé des slogans anti-immigration.

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Des journalistes menacés -

Des membres de la foule ont menacé des journalistes et ont affirmé que les médias ne disaient pas la vérité sur l'immigration, lorsqu'ils ont été interrogés sur les raisons pour lesquelles ils étaient à l'origine des violences.

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L'appel au calme -

La police et les responsables politiques ont appelé au calme et mis en garde contre la désinformation liée à l'attentat survenu plus tôt dans la journée.

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Le calme est restauré -

Le calme a été rétabli dans la ville par la police avant minuit.

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L'idéologie d'extrême-droite -

Le commissaire de la Garda (police irlandaise), Drew Harris, a déclaré qu'une "faction complètement lunatique animée par une idéologie d'extrême droite" était à l'origine des troubles.

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Sans précédent -

De telles émeutes sont presque sans précédent dans la capitale irlandaise. Aucun parti ou homme politique d'extrême droite n'est élu au parlement.De telles émeutes sont presque sans précédent dans la capitale irlandaise. Aucun parti ou homme politique d'extrême droite n'est élu au parlement.

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Le sentiment -

Toutefois, les petites manifestations anti-immigration se sont multipliées au cours de l'année écoulée.

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La sécurité au parlement -

Une manifestation récente a piégé des législateurs à l'intérieur du parlement, ce qui a conduit le gouvernement à revoir la sécurité à l'intérieur et autour du bâtiment.

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Intolérable -

La ministre irlandaise de la justice, Helen McEntee, a qualifié ce comportement d'"intolérable". Elle a déclaré qu'il ne fallait pas permettre à un "élément voyou et manipulateur d'utiliser une tragédie épouvantable pour semer le chaos".

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Condamnation -

Le président irlandais Michael D. Higgins a déclaré que ces troubles "méritent d'être condamnés par tous ceux qui croient en l'État de droit et en la démocratie".

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La loi anti haine raciale -

Le Premier ministre irlandais Leo Varadkar a déclaré qu'une législation sur les crimes de haine serait présentée à l'Oireachtas (parlement irlandais) en réponse aux émeutes.

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Les arrestations -

Les émeutes ont causé "d'énormes destructions" et donné lieu à 34 arrestations, a confirmé le commissaire de police le 24 novembre 2023.

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Les dégâts -

Les services de transport ont été interrompus pendant les violences, tandis que 11 véhicules de police et 13 magasins ont été gravement endommagés pendant les affrontements.

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Les conséquences -

Le commissaire de police a confirmé que plusieurs policiers ont été blessés au cours de l'émeute, dont un grièvement.

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Les conséquences -

Pendant plus de trois heures d'émeutes soutenues, trois bus et un tramway ont également été détruits.

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La réponse policière -

Le commissaire de police a nié que ses forces n'aient pas réussi à protéger les Dublinois et leur ville de la violence. "Nous n'aurions pas pu prévoir qu'en réponse à un crime terrible - l'agression à l'arme blanche d'écoliers et de leur professeur - la réponse serait celle-ci", a-t-il déclaré.

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Les opérations de nettoyage -

Le lendemain matin, des hommages ont été rendus aux services d'urgence et aux employés des municipalités et des transports, qui ont été en première ligne pour gérer les émeutes et le nettoyage qui a suivi.

Sources : (The Irish Times) (BBC) (The Guardian) (The Irish Times) (The Irish Times) (BBC) (The Guardian) (The Sydney Morning Herald)

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