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Étude des gènes
- La première étape pour comprendre comment nos gènes peuvent transmettre les traumatismes de génération en génération consiste à étudier comment se structurent nos gènes et comment ils évoluent. La branche de la science qui s'y consacre est appelée l'épigénétique.
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Traumatisme intergénérationnel
- Nos gènes sont une sorte de mémoire biologique des expériences de nos ancêtres. Lorsque nous faisons face à des événements traumatiques, nos caractéristiques génétiques peuvent être altérées, ce qui signifie que nos descendants pourront s'avérer plus sensibles au stress, à l'anxiété et au TSPT Ce phénomène est connu sous le nom d'"héritage épigénétique".
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Changements
- Malheureusement, les expériences traumatiques peuvent causer des modifications chimiques profondes dans nos gènes sans pour autant affecter notre ADN. Ces modifications sont ensuite transmises à nos enfants et petits-enfants, et elles peuvent influencer la façon dont nos descendants répondront au stress et à la peur.
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Matériel et système d'exploitation
- La différence entre notre "génome" (c'est-à-dire l'ensemble de l'ADN présente dans notre corps) et notre "épigénome" (les gènes) est comparable à la différence existant entre le matériel informatique et le système d'exploitation d'un ordinateur. Vous avez besoin d'un bon matériel pour faire fonctionner votre organisme, mais le système d'exploitation doit être constamment mis à jour pour que le matériel fonctionne correctement.
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Pères et fils
- Il est intéressant de souligner que des études ont mis en avant le fait que les traumatismes semblent se transmettre plus notablement de père en fils. Ce qui suggère que les traumatismes qui affectent l'épigénome ont un effet plus marqué sur le chromosome Y.
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Études sur des souris
- Une expérience récente menée par le programme de neurosciences du développement et de neurogénétique de l'université de Californie du Sud a consisté à exposer des souris à une senteur chimique de cerisier en fleur, tout en leur envoyant de légères décharges électriques.
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Traumatismes olfactifs
- Les souris ont progressivement appris à craindre l'odeur de cerisier en fleur, et les deux générations suivantes avaient la même peur à l'égard de cette senteur, même sans n'y avoir jamais été confrontées.
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Survivants de l'holocauste
- Les recherches sur les enfants et petits-enfants des survivants de l'Holocauste ont montré qu'ils présentent des taux plus élevés d'anxiété et de dépression. Cela suggère que le traumatisme vécu par leurs ancêtres pendant la Seconde Guerre mondiale a été biologiquement hérité .
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Descendants d'esclaves
- Les études montrent que les descendants afro-américains des esclaves sont plus sujets à l'hypertension et au diabète. Leurs ancêtres et la brutalité de leurs conditions de vie ont laissé une empreinte génétique qui persiste depuis des siècles.
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Amérindiens
- Les communautés amérindiennes sont confrontées à des taux particulièrement élevés d'abus de substances illicites et de problèmes de santé mentale. Cela laisse à penser que le traumatisme vécu lors de la colonisation, de leur exil forcé et des tentatives d'anéantissement de leur culture, continue à se transmettre au fil des générations.
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11 septembre
- Même les enfants des secouristes du 11 septembre ont montré des signes d'anxiété et de stress post-traumatique supérieurs à la moyenne. Les études suggèrent que le stress intense et le traumatisme vécus par leurs parents pendant l'événement ont pu influencer leur épigénome, les prédisposant ainsi à souffrir de problèmes similaires.
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TSPT intergénérationnel
- Les descendants de familles dans lesquelles le service militaire a été effectué présentent souvent des taux plus élevés de stress post-traumatique (TSPT). En effet, les études montrent que le stress intense induit par les combats peut altérer les gènes liés aux hormones associées au stress, et montrent ainsi que ces modifications sont transmises de génération en génération.
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Vétérans de la guerre du Viêt Nam
- Les vétérans de la guerre du Viêt Nam qui ont été exposés à l'"agent orange" ont transmis des marqueurs épigénétiques qui font que leurs enfants ont plus de risque de développer des malformations congénitales et des cancers. Cette exposition à des agents toxiques a altéré le profil génétique des vétérans et ces modifications ont été transmises à leur descendance.
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Abus familiaux
- Les personnes ayant vécu des abus pendant leur enfance présentent de brusques changements de leurs schémas épigénétiques. Ces changements peuvent être transmis à leurs enfants et potentiellement affecter leur santé mentale. Il est également possible que leurs enfants héritent d'une peur innée des abus, même s'ils n'en ont jamais fait l'expérience directe.
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Système immunitaire
- Les traumatismes peuvent même affecter les gènes impliqués dans le fonctionnement du système immunitaire, ce qui signifie que les descendants pourraient avoir plus de chances d'être atteint d'une maladie auto-immune.
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Survivants d'une famine
- Les enfants et petits-enfants des survivants d'une famine présentent des taux plus élevés de troubles métaboliques. La malnutrition sévère endurée par leurs ancêtres peut porter atteinte aux gènes liés au métabolisme, ce qui rend leurs descendants plus prédisposés à l'obésité et au diabète.
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Traumatismes environnementaux
- Les traumatismes ne se limitent pas à des événements dévastateurs isolés tels que les abus ou les guerres. L'environnement dans lequel une personne vit peut également générer un traumatisme, en particulier s'il s'accompagne de longues périodes de pauvreté ou de violence.
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Troubles psychologiques
- Il est très important de comprendre la différence entre les troubles psychologiques et les traumatismes hérités. Tandis que certaines personnes sont génétiquement prédisposées à développer des troubles psychologiques, ceux-ci peuvent être exacerbés par le traumatisme hérité.
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Héritage limité
- Il est essentiel de comprendre que le terme d'"héritage génétique" ne signifie pas que les enfants auront nécessairement les mêmes signes de traumatisme que leurs ancêtres. En effet, l'étude sur le parfum de cerisier en fleur menée sur les souris a démontré que le traumatisme s'est manifesté sur environ cinq générations de souris avant de commencer à s'estomper.
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Revenir sur les changements épigénétiques
- Si l'impact du traumatisme sur la génétique vous tracasse, des études ont montré qu'il pourrait être possible de revenir sur certains changements épigénétiques, au moyen d'un accompagnement spécialisé et des efforts assidus. Les personnes traumatisées doivent tout d'abord vivres dans des environnements agéables.
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Psychothérapie
- Les psychothérapie qui visent à prendre en charge un traumatisme doivent prendre en compte les facteurs génétiques. Il existe diverses approches, telles que la thérapie cognitivo-comportementale axée sur le traumatisme et les psychothérapies fondées sur la pratique de la pleine conscience, qui peuvent aider à atténuer les effets d'un traumatisme hérité.
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Influence parentale
- Si les parents peuvent aimer et prendre soin de leurs enfants, ils ne peuvent pas nécessairement avoir de prise sur les traumatismes hérités dont leurs enfants souffrent. Il est crucial que les parents soient accompagnés pour traiter leurs propres traumatismes, non seulement pour leur propre intérêt, mais également pour leurs enfants.
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Analyse génétique
- Il est recommandé à toute personne envisageant d'avoir des enfants de faire des analyses génétiques, car cela permet d'être conseillé concernant d'éventuels troubles génétiques qui pourraient être transmis aux générations futures.
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23 / 30 Fotos
Traitement médicamenteux
- Bien que ce ne soit pas forcément la meilleure des options pour de nombreuses personnes traumatisées, il y a plusieurs intérêts à suivre un traitement médicamenteux afin de détecter l'origine physique du traumatisme. En effet, des recherches sont en cours pour créer un médicament qui pourrait directement revenir sur les changements épigénétiques causés par le traumatisme.
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Sport
- Certaines études ont démontré que l'activité sportive peut influencer l'épigénome d'un individu. Le sport est en soi une bonne habitude, mais il est possible qu'il puisse directement avoir pour effet de réduire les marqueurs génétiques traumatiques hérités.
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Connexion corps-esprit
- La connexion entre le corps et l'esprit est cruciale pour comprendre la transmission génétique des traumatismes. Faire du yoga ou méditer peut contribuer à réguler votre réponse naturelle au stress et possiblement limiter les effets d'un traumatisme hérité.
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Traumatisme historique
- Les traumatismes historiques, tels qu'un génocide et l'esclavage, impactent profondément notre génétique. Les gouvernements et les institutions ont le devoir de reconnaître et de prendre en charge de tels traumatismes. Ils doivent s'assurer que les générations futures ne soient pas affectées grâce à la justice et à la mise en place de politiques de soutien.
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Évolution des lois
- Les gouvernements devraient également faire évoluer les politiques afin de résoudre les causes initiales des traumatismes, telles que la pauvreté et la discrimination. En définitive, ces politiques de soutien peuvent mettre en place, au sein de la communauté, des environnements propices à la guérison.
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Avenir
- L'un des points les plus importants à garder en tête est que les personnes qui ont hérité d'un traumatisme ne sont pas blessés par essence et sont capables de maîtriser l'impact de ces traumatismes. L'épigénétique montre que le traumatisme peut parfois se transmettre de génération en génération, mais nous sommes aussi en mesure de faire des ajustements qui impacteront positivement nos descendants. Sources : (National Geographic) (Arkansas Advocate) (BBC) (HealthCentral) Découvrez aussi : Comprendre l'hyper-indépendance et comment la surmonter
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Étude des gènes
- La première étape pour comprendre comment nos gènes peuvent transmettre les traumatismes de génération en génération consiste à étudier comment se structurent nos gènes et comment ils évoluent. La branche de la science qui s'y consacre est appelée l'épigénétique.
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Traumatisme intergénérationnel
- Nos gènes sont une sorte de mémoire biologique des expériences de nos ancêtres. Lorsque nous faisons face à des événements traumatiques, nos caractéristiques génétiques peuvent être altérées, ce qui signifie que nos descendants pourront s'avérer plus sensibles au stress, à l'anxiété et au TSPT Ce phénomène est connu sous le nom d'"héritage épigénétique".
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Changements
- Malheureusement, les expériences traumatiques peuvent causer des modifications chimiques profondes dans nos gènes sans pour autant affecter notre ADN. Ces modifications sont ensuite transmises à nos enfants et petits-enfants, et elles peuvent influencer la façon dont nos descendants répondront au stress et à la peur.
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Matériel et système d'exploitation
- La différence entre notre "génome" (c'est-à-dire l'ensemble de l'ADN présente dans notre corps) et notre "épigénome" (les gènes) est comparable à la différence existant entre le matériel informatique et le système d'exploitation d'un ordinateur. Vous avez besoin d'un bon matériel pour faire fonctionner votre organisme, mais le système d'exploitation doit être constamment mis à jour pour que le matériel fonctionne correctement.
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Pères et fils
- Il est intéressant de souligner que des études ont mis en avant le fait que les traumatismes semblent se transmettre plus notablement de père en fils. Ce qui suggère que les traumatismes qui affectent l'épigénome ont un effet plus marqué sur le chromosome Y.
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Études sur des souris
- Une expérience récente menée par le programme de neurosciences du développement et de neurogénétique de l'université de Californie du Sud a consisté à exposer des souris à une senteur chimique de cerisier en fleur, tout en leur envoyant de légères décharges électriques.
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Traumatismes olfactifs
- Les souris ont progressivement appris à craindre l'odeur de cerisier en fleur, et les deux générations suivantes avaient la même peur à l'égard de cette senteur, même sans n'y avoir jamais été confrontées.
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Survivants de l'holocauste
- Les recherches sur les enfants et petits-enfants des survivants de l'Holocauste ont montré qu'ils présentent des taux plus élevés d'anxiété et de dépression. Cela suggère que le traumatisme vécu par leurs ancêtres pendant la Seconde Guerre mondiale a été biologiquement hérité .
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Descendants d'esclaves
- Les études montrent que les descendants afro-américains des esclaves sont plus sujets à l'hypertension et au diabète. Leurs ancêtres et la brutalité de leurs conditions de vie ont laissé une empreinte génétique qui persiste depuis des siècles.
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9 / 30 Fotos
Amérindiens
- Les communautés amérindiennes sont confrontées à des taux particulièrement élevés d'abus de substances illicites et de problèmes de santé mentale. Cela laisse à penser que le traumatisme vécu lors de la colonisation, de leur exil forcé et des tentatives d'anéantissement de leur culture, continue à se transmettre au fil des générations.
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11 septembre
- Même les enfants des secouristes du 11 septembre ont montré des signes d'anxiété et de stress post-traumatique supérieurs à la moyenne. Les études suggèrent que le stress intense et le traumatisme vécus par leurs parents pendant l'événement ont pu influencer leur épigénome, les prédisposant ainsi à souffrir de problèmes similaires.
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TSPT intergénérationnel
- Les descendants de familles dans lesquelles le service militaire a été effectué présentent souvent des taux plus élevés de stress post-traumatique (TSPT). En effet, les études montrent que le stress intense induit par les combats peut altérer les gènes liés aux hormones associées au stress, et montrent ainsi que ces modifications sont transmises de génération en génération.
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Vétérans de la guerre du Viêt Nam
- Les vétérans de la guerre du Viêt Nam qui ont été exposés à l'"agent orange" ont transmis des marqueurs épigénétiques qui font que leurs enfants ont plus de risque de développer des malformations congénitales et des cancers. Cette exposition à des agents toxiques a altéré le profil génétique des vétérans et ces modifications ont été transmises à leur descendance.
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13 / 30 Fotos
Abus familiaux
- Les personnes ayant vécu des abus pendant leur enfance présentent de brusques changements de leurs schémas épigénétiques. Ces changements peuvent être transmis à leurs enfants et potentiellement affecter leur santé mentale. Il est également possible que leurs enfants héritent d'une peur innée des abus, même s'ils n'en ont jamais fait l'expérience directe.
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14 / 30 Fotos
Système immunitaire
- Les traumatismes peuvent même affecter les gènes impliqués dans le fonctionnement du système immunitaire, ce qui signifie que les descendants pourraient avoir plus de chances d'être atteint d'une maladie auto-immune.
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15 / 30 Fotos
Survivants d'une famine
- Les enfants et petits-enfants des survivants d'une famine présentent des taux plus élevés de troubles métaboliques. La malnutrition sévère endurée par leurs ancêtres peut porter atteinte aux gènes liés au métabolisme, ce qui rend leurs descendants plus prédisposés à l'obésité et au diabète.
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Traumatismes environnementaux
- Les traumatismes ne se limitent pas à des événements dévastateurs isolés tels que les abus ou les guerres. L'environnement dans lequel une personne vit peut également générer un traumatisme, en particulier s'il s'accompagne de longues périodes de pauvreté ou de violence.
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Troubles psychologiques
- Il est très important de comprendre la différence entre les troubles psychologiques et les traumatismes hérités. Tandis que certaines personnes sont génétiquement prédisposées à développer des troubles psychologiques, ceux-ci peuvent être exacerbés par le traumatisme hérité.
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18 / 30 Fotos
Héritage limité
- Il est essentiel de comprendre que le terme d'"héritage génétique" ne signifie pas que les enfants auront nécessairement les mêmes signes de traumatisme que leurs ancêtres. En effet, l'étude sur le parfum de cerisier en fleur menée sur les souris a démontré que le traumatisme s'est manifesté sur environ cinq générations de souris avant de commencer à s'estomper.
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Revenir sur les changements épigénétiques
- Si l'impact du traumatisme sur la génétique vous tracasse, des études ont montré qu'il pourrait être possible de revenir sur certains changements épigénétiques, au moyen d'un accompagnement spécialisé et des efforts assidus. Les personnes traumatisées doivent tout d'abord vivres dans des environnements agéables.
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20 / 30 Fotos
Psychothérapie
- Les psychothérapie qui visent à prendre en charge un traumatisme doivent prendre en compte les facteurs génétiques. Il existe diverses approches, telles que la thérapie cognitivo-comportementale axée sur le traumatisme et les psychothérapies fondées sur la pratique de la pleine conscience, qui peuvent aider à atténuer les effets d'un traumatisme hérité.
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21 / 30 Fotos
Influence parentale
- Si les parents peuvent aimer et prendre soin de leurs enfants, ils ne peuvent pas nécessairement avoir de prise sur les traumatismes hérités dont leurs enfants souffrent. Il est crucial que les parents soient accompagnés pour traiter leurs propres traumatismes, non seulement pour leur propre intérêt, mais également pour leurs enfants.
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Analyse génétique
- Il est recommandé à toute personne envisageant d'avoir des enfants de faire des analyses génétiques, car cela permet d'être conseillé concernant d'éventuels troubles génétiques qui pourraient être transmis aux générations futures.
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23 / 30 Fotos
Traitement médicamenteux
- Bien que ce ne soit pas forcément la meilleure des options pour de nombreuses personnes traumatisées, il y a plusieurs intérêts à suivre un traitement médicamenteux afin de détecter l'origine physique du traumatisme. En effet, des recherches sont en cours pour créer un médicament qui pourrait directement revenir sur les changements épigénétiques causés par le traumatisme.
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24 / 30 Fotos
Sport
- Certaines études ont démontré que l'activité sportive peut influencer l'épigénome d'un individu. Le sport est en soi une bonne habitude, mais il est possible qu'il puisse directement avoir pour effet de réduire les marqueurs génétiques traumatiques hérités.
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25 / 30 Fotos
Connexion corps-esprit
- La connexion entre le corps et l'esprit est cruciale pour comprendre la transmission génétique des traumatismes. Faire du yoga ou méditer peut contribuer à réguler votre réponse naturelle au stress et possiblement limiter les effets d'un traumatisme hérité.
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Traumatisme historique
- Les traumatismes historiques, tels qu'un génocide et l'esclavage, impactent profondément notre génétique. Les gouvernements et les institutions ont le devoir de reconnaître et de prendre en charge de tels traumatismes. Ils doivent s'assurer que les générations futures ne soient pas affectées grâce à la justice et à la mise en place de politiques de soutien.
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Évolution des lois
- Les gouvernements devraient également faire évoluer les politiques afin de résoudre les causes initiales des traumatismes, telles que la pauvreté et la discrimination. En définitive, ces politiques de soutien peuvent mettre en place, au sein de la communauté, des environnements propices à la guérison.
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Avenir
- L'un des points les plus importants à garder en tête est que les personnes qui ont hérité d'un traumatisme ne sont pas blessés par essence et sont capables de maîtriser l'impact de ces traumatismes. L'épigénétique montre que le traumatisme peut parfois se transmettre de génération en génération, mais nous sommes aussi en mesure de faire des ajustements qui impacteront positivement nos descendants. Sources : (National Geographic) (Arkansas Advocate) (BBC) (HealthCentral) Découvrez aussi : Comprendre l'hyper-indépendance et comment la surmonter
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Les traumatismes sont-ils héréditaires ?
Les traumatismes son gravés dans notre ADN
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Les études sur l'ADN et la génétique demeurent assez récentes, et pour cause, l'ADN n'a été séquencé qu'il y a 50 ans. Mais dernièrement, dans le monde entier, de nombreuses recherches visent à répondre à une unique question : les traumatismes peuvent-ils se transmettre génétiquement ?
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