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Qu'est-ce que le scorbut ?
- Le scorbut est une maladie provoquée par une carence sévère en vitamine C.
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Une maladie de marins
- Le scorbut a touché de nombreux marins, notamment entre le 16ᵉ et le 19ᵉ siècle. Les longues traversées sans accès à des fruits et légumes frais finissaient par provoquer une grave carence en vitamine C.
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Pas seulement en mer
- Des épidémies de scorbut ont également éclaté au fil de l’histoire à la suite de famines ou de conflits. Parmi les épisodes marquants : la grande famine en Irlande, la guerre de Sécession ou encore les deux guerres mondiales.
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Une carence qui persiste
- Même si le scorbut est devenu rare dans les pays développés, il continue de toucher des personnes à travers le monde. Mais au fond, qu’est-ce que la vitamine C, et pourquoi son absence est-elle si problématique ?
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Le rôle de la vitamine C
- La vitamine C, ou acide ascorbique, est un micronutriment essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Elle joue un rôle clé dans la production de collagène, indispensable à la santé des tissus conjonctifs, de la peau et des os.
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Une alliée pour le sang et la cicatrisation
- La vitamine C aide également l’organisme à absorber le fer, un élément crucial pour la production des globules rouges. Elle favorise aussi la cicatrisation des plaies.
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Un bouclier pour l’organisme
- Antioxydante, la vitamine C protège le corps contre les dommages causés par les radicaux libres et renforce le système immunitaire. Elle intervient aussi dans le métabolisme du cholestérol et la production de neurotransmetteurs.
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Les premiers signaux d’alerte
- Les symptômes du scorbut apparaissent généralement après huit à dix semaines de carence. Mais certains signes précoces peuvent alerter : fatigue, apathie, irritabilité, perte d’appétit et amaigrissement.
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8 / 28 Fotos
Quand la carence s’aggrave
- Si le scorbut n’est pas traité, les symptômes deviennent plus graves au bout d’un à trois mois. On observe alors une anémie, des douleurs musculaires ou osseuses, ainsi que l’apparition de pétéchies — de petites taches rouges sur la peau.
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9 / 28 Fotos
Des signes visibles
- Parmi les autres symptômes figurent les poils en tire-bouchon accompagnés de saignements autour des follicules pileux, ainsi que des gonflements et des œdèmes.
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10 / 28 Fotos
Des effets sur tout le corps
- Le scorbut peut aussi entraîner un essoufflement, une mauvaise cicatrisation, des maladies des gencives (allant jusqu’à la perte des dents), des troubles de l’humeur et des épisodes dépressifs.
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11 / 28 Fotos
Un tableau clinique étendu
- Parmi les autres symptômes possibles : maux de tête, articulations enflées, sécheresse ou irritation des yeux, sensibilité à la lumière, vision trouble et saignements gastro-intestinaux.
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12 / 28 Fotos
Un danger mortel
- Sans traitement, le scorbut peut entraîner des complications graves, parfois fatales. Parmi elles : fièvre, douleurs généralisées, jaunisse sévère (coloration jaune de la peau et des yeux) et hémolyse, c’est-à-dire des saignements soudains et spontanés.
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13 / 28 Fotos
Quand le corps lâche
- Parmi les autres complications possibles figurent la neuropathie (engourdissement et douleurs dans les membres), les convulsions, le délire, la défaillance d’organes et, dans les cas les plus extrêmes, le coma.
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14 / 28 Fotos
Une vitamine à puiser dans l’alimentation
- Le corps humain est incapable de produire de la vitamine C, qui doit donc être apportée par l’alimentation. Dans les pays développés, les populations les plus à risque de carence sont les nourrissons, les enfants et les personnes âgées.
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Le manque de produits frais en cause
- Le principal facteur de risque du scorbut reste l’absence d’accès à des fruits et légumes frais — ou à des aliments enrichis en vitamine C.
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Quand s’alimenter devient difficile
- Les personnes qui ont du mal à manger, que ce soit en raison d’un trouble physique — comme les effets secondaires d’une chimiothérapie — ou psychologique, comme les troubles du comportement alimentaire, sont plus exposées au risque de carence en vitamine C.
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17 / 28 Fotos
Un risque accru pour les fumeurs
- Le tabagisme nuit à l’absorption de la vitamine C contenue dans les aliments. Les fumeurs présentent donc un risque plus élevé de carence que les non-fumeurs.
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18 / 28 Fotos
Dépendances et carences
- Une dépendance à l’alcool ou aux drogues, lorsqu’elle perturbe l’alimentation, peut elle aussi accroître le risque de développer un scorbut.
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19 / 28 Fotos
Des besoins accrus
- Une alimentation déséquilibrée pendant la grossesse ou l’allaitement peut nuire à l’absorption de la vitamine C. Il en va de même pour les régimes trop restrictifs.
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20 / 28 Fotos
Quand la santé complique l’absorption
- Certaines pathologies peuvent également favoriser une carence en vitamine C. C’est le cas, entre autres, du diabète de type 1, des maladies inflammatoires de l’intestin, de la maladie de Crohn ou encore de la rectocolite hémorragique.
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21 / 28 Fotos
Un diagnostic simple
- Le scorbut se diagnostique généralement par une prise de sang. Un taux de vitamine C inférieur à 11 micromoles par litre (µmol/L) dans le sérum sanguin indique une carence sévère.
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22 / 28 Fotos
Un indicateur à nuancer
- Les tests sanguins peuvent toutefois manquer de précision, car ils ne reflètent que le taux à l'instant t de vitamine C, susceptible de fluctuer d’un jour à l’autre.
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Un traitement efficace
- Le traitement du scorbut est relativement simple : il suffit d’augmenter son apport en vitamine C, par le biais de l’alimentation et/ou de compléments nutritionnels.
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24 / 28 Fotos
Une amélioration rapide
- Dans certains cas, des injections de vitamine C peuvent être prescrites. Les patients ressentent généralement une amélioration en seulement 48 heures, et plusieurs symptômes disparaissent complètement en quelques semaines.
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Mieux vaut prévenir
- La seule façon d’éviter le scorbut, c’est de consommer suffisamment de vitamine C. On la trouve notamment dans les agrumes, mais aussi dans le kiwi, les fraises, les mûres, la goyave ou encore la papaye.
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Des légumes à privilégier
- De nombreux légumes sont également riches en vitamine C, comme les tomates, les poivrons, les carottes, les épinards, le brocoli, les pommes de terre ou encore le chou. Sources: (CNN) (Healthline) (Cleveland Clinic) (Medical News Today) Découvrez aussi : Comment les vitamines boostent-elles notre énergie ?
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Qu'est-ce que le scorbut ?
- Le scorbut est une maladie provoquée par une carence sévère en vitamine C.
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Une maladie de marins
- Le scorbut a touché de nombreux marins, notamment entre le 16ᵉ et le 19ᵉ siècle. Les longues traversées sans accès à des fruits et légumes frais finissaient par provoquer une grave carence en vitamine C.
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Pas seulement en mer
- Des épidémies de scorbut ont également éclaté au fil de l’histoire à la suite de famines ou de conflits. Parmi les épisodes marquants : la grande famine en Irlande, la guerre de Sécession ou encore les deux guerres mondiales.
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Une carence qui persiste
- Même si le scorbut est devenu rare dans les pays développés, il continue de toucher des personnes à travers le monde. Mais au fond, qu’est-ce que la vitamine C, et pourquoi son absence est-elle si problématique ?
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Le rôle de la vitamine C
- La vitamine C, ou acide ascorbique, est un micronutriment essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Elle joue un rôle clé dans la production de collagène, indispensable à la santé des tissus conjonctifs, de la peau et des os.
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Une alliée pour le sang et la cicatrisation
- La vitamine C aide également l’organisme à absorber le fer, un élément crucial pour la production des globules rouges. Elle favorise aussi la cicatrisation des plaies.
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Un bouclier pour l’organisme
- Antioxydante, la vitamine C protège le corps contre les dommages causés par les radicaux libres et renforce le système immunitaire. Elle intervient aussi dans le métabolisme du cholestérol et la production de neurotransmetteurs.
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Les premiers signaux d’alerte
- Les symptômes du scorbut apparaissent généralement après huit à dix semaines de carence. Mais certains signes précoces peuvent alerter : fatigue, apathie, irritabilité, perte d’appétit et amaigrissement.
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Quand la carence s’aggrave
- Si le scorbut n’est pas traité, les symptômes deviennent plus graves au bout d’un à trois mois. On observe alors une anémie, des douleurs musculaires ou osseuses, ainsi que l’apparition de pétéchies — de petites taches rouges sur la peau.
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Des signes visibles
- Parmi les autres symptômes figurent les poils en tire-bouchon accompagnés de saignements autour des follicules pileux, ainsi que des gonflements et des œdèmes.
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Des effets sur tout le corps
- Le scorbut peut aussi entraîner un essoufflement, une mauvaise cicatrisation, des maladies des gencives (allant jusqu’à la perte des dents), des troubles de l’humeur et des épisodes dépressifs.
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Un tableau clinique étendu
- Parmi les autres symptômes possibles : maux de tête, articulations enflées, sécheresse ou irritation des yeux, sensibilité à la lumière, vision trouble et saignements gastro-intestinaux.
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Un danger mortel
- Sans traitement, le scorbut peut entraîner des complications graves, parfois fatales. Parmi elles : fièvre, douleurs généralisées, jaunisse sévère (coloration jaune de la peau et des yeux) et hémolyse, c’est-à-dire des saignements soudains et spontanés.
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Quand le corps lâche
- Parmi les autres complications possibles figurent la neuropathie (engourdissement et douleurs dans les membres), les convulsions, le délire, la défaillance d’organes et, dans les cas les plus extrêmes, le coma.
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Une vitamine à puiser dans l’alimentation
- Le corps humain est incapable de produire de la vitamine C, qui doit donc être apportée par l’alimentation. Dans les pays développés, les populations les plus à risque de carence sont les nourrissons, les enfants et les personnes âgées.
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Le manque de produits frais en cause
- Le principal facteur de risque du scorbut reste l’absence d’accès à des fruits et légumes frais — ou à des aliments enrichis en vitamine C.
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Quand s’alimenter devient difficile
- Les personnes qui ont du mal à manger, que ce soit en raison d’un trouble physique — comme les effets secondaires d’une chimiothérapie — ou psychologique, comme les troubles du comportement alimentaire, sont plus exposées au risque de carence en vitamine C.
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Un risque accru pour les fumeurs
- Le tabagisme nuit à l’absorption de la vitamine C contenue dans les aliments. Les fumeurs présentent donc un risque plus élevé de carence que les non-fumeurs.
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Dépendances et carences
- Une dépendance à l’alcool ou aux drogues, lorsqu’elle perturbe l’alimentation, peut elle aussi accroître le risque de développer un scorbut.
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Des besoins accrus
- Une alimentation déséquilibrée pendant la grossesse ou l’allaitement peut nuire à l’absorption de la vitamine C. Il en va de même pour les régimes trop restrictifs.
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Quand la santé complique l’absorption
- Certaines pathologies peuvent également favoriser une carence en vitamine C. C’est le cas, entre autres, du diabète de type 1, des maladies inflammatoires de l’intestin, de la maladie de Crohn ou encore de la rectocolite hémorragique.
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Un diagnostic simple
- Le scorbut se diagnostique généralement par une prise de sang. Un taux de vitamine C inférieur à 11 micromoles par litre (µmol/L) dans le sérum sanguin indique une carence sévère.
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Un indicateur à nuancer
- Les tests sanguins peuvent toutefois manquer de précision, car ils ne reflètent que le taux à l'instant t de vitamine C, susceptible de fluctuer d’un jour à l’autre.
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Un traitement efficace
- Le traitement du scorbut est relativement simple : il suffit d’augmenter son apport en vitamine C, par le biais de l’alimentation et/ou de compléments nutritionnels.
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Une amélioration rapide
- Dans certains cas, des injections de vitamine C peuvent être prescrites. Les patients ressentent généralement une amélioration en seulement 48 heures, et plusieurs symptômes disparaissent complètement en quelques semaines.
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Mieux vaut prévenir
- La seule façon d’éviter le scorbut, c’est de consommer suffisamment de vitamine C. On la trouve notamment dans les agrumes, mais aussi dans le kiwi, les fraises, les mûres, la goyave ou encore la papaye.
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Des légumes à privilégier
- De nombreux légumes sont également riches en vitamine C, comme les tomates, les poivrons, les carottes, les épinards, le brocoli, les pommes de terre ou encore le chou. Sources: (CNN) (Healthline) (Cleveland Clinic) (Medical News Today) Découvrez aussi : Comment les vitamines boostent-elles notre énergie ?
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Robbie Williams atteint d’une mystérieuse "maladie de pirate"
Le scorbut, une vieille carence oubliée, continue de frapper dans l’ombre
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Robbie Williams a révélé avoir été atteint du scorbut plus tôt cette année. Le chanteur explique qu’il traversait alors une période de mal-être mental et qu’il avait arrêté de s’alimenter correctement, ce qui a entraîné de graves carences nutritionnelles.
Mais au fond, qu’est-ce que cette fameuse "maladie de pirate du 17ᵉ siècle", comme il la surnomme lui-même ? Voici ce qu’il faut savoir sur le scorbut.
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