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La pêche à la dynamite -

Ce type de pêche implique l'utilisation d'explosifs afin d'étourdir ou de tuer les poissons, ce qui cause des dommages considérables aux récifs coralliens et aux habitats marins.

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La pêche au cyanure - Les pêcheurs qui utilisent cette méthode ont tendance à pulvériser un mélange de cyanure de sodium dans l'habitat du poisson recherché, ce qui a pour effet de le neutraliser. Mais cette méthode endommage gravement les récifs coralliens et perturbe les écosystèmes marins.

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Le chalutage de fond -

Alors que le chalutage seul utilise de grands filets qui sont traînés pour capturer des poissons, le chalutage de fond consiste à traîner ces filets sur le fond de l'océan. Cela détruit inévitablement les habitats des fonds marins et entraîne la capture d'espèces non ciblées.

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Le chalutage dans les zones sensibles -

Le chalutage et la pêche dans des zones sensibles telles que les herbiers marins et les récifs coralliens causent des dommages irréversibles à ces écosystèmes.

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Le chalutage avec des explosifs -

Parfois, les pêcheurs tentent d'augmenter leurs prises pendant le chalutage et fixent des explosifs à leurs filets pour y parvenir. Si le chalutage est déjà une pratique destructrice, l'utilisation supplémentaire d'explosifs l'aggrave encore plus.

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Le chalutage dans les zones d'alevinage -

La pêche dans les zones d'alevinage (lieux conçus pour favoriser la croissance de la vie marine) peut perturber le cycle de vie des espèces de poissons et provoquer l'effondrement de populations entières de poissons.

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La pêche à la palangre de fond -

Des palangres munies de dizaines d'hameçons appâtés sont déposées sur les fonds marins dans l'espoir d'attraper la vie aquatique qui s'y trouve. Cependant, ces hameçons peuvent parfois s'accrocher à des débris et à des coraux, les entraînant avec eux et causant des dommages à l'habitat de la faune et de la flore marines potentiellement menacées.

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La pêche fantôme -

Lorsque les pêcheurs perdent ou abandonnent leur matériel de pêche dans l'océan, celui-ci continue à piéger et à tuer la vie marine, ce qui contribue à la destruction des populations et de leur habitat. En fait, les équiepement de pêche abandonnés sont l'un des principaux types de débris qui affectent les océans aujourd'hui.

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La pêche électrique -

La pêche électrique implique l'utilisation d'un courant électrique direct pour électrocuter les poissons, ce qui est généralement fait par les biologistes de manière non destructive. Mais ce n'est pas toujours le cas. Lorsque la pêche électrique n'est pas effectuée correctement, elle peut avoir un impact considérable non seulement sur les espèces cibles, mais aussi sur d'autres organismes aquatiques.

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La pêche au poison -

Diverses toxines - tirées de poissons ou de plantes - sont utilisées pour tuer les poissons en les paralysant afin de faciliter leur capture. Cette méthode a toutefois pour conséquence majeure de contaminer les cours d'eau et de tuer également des organismes non ciblés.

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La technique muro-ami -

Cette technique est le plus souvent utilisée en Asie du Sud-Est. Elle consiste à jeter de grosses pierres sur les récifs coralliens afin d'effrayer les poissons et de les faire tomber dans les filets. Les récifs coralliens sont irrémédiablement endommagés et de nombreuses espèces associées meurent.

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Le dragage -

Le dragage consiste à traîner de grands instruments ou des filets sur les fonds marins, ce qui détruit les habitats et perturbe les écosystèmes marins.

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Les prises accidentelles -

Parfois, les pêcheurs capturent des espèces non ciblées dont ils ne veulent pas ou qu'ils ne peuvent pas vendre, ce qui entraîne la mort inutile d'un grand nombre d'animaux marins. Les prises non désirées sont souvent rejetées dans l'océan.

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La pêche au filet maillant -

Un filet maillant est un mur de filet suspendu dans l'eau, dont les trous sont suffisamment grands pour laisser passer la tête d'un poisson, mais pas son corps. Lorsque le poisson tente de se retirer, ses branchies se prennent dans le filet. Ces filets sont connus pour emmêler et tuer de nombreuses espèces involontairement, ce qui entraîne des prises accidentelles et un déséquilibre de l'écosystème.

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L'utilisation de filets dérivants -

L'un des principaux effets secondaires négatifs de l'utilisation de grands filets pour la pêche est qu'ils partent à la dérive une fois qu'ils sont tirés en pleine mer. Il en résulte de grandes quantités de prises accidentelles, notamment de mammifères marins, de tortues et d'oiseaux de mer.

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La surpêche -

Lorsque les pêcheurs capturent de manière excessive la vie aquatique en un seul endroit, comme c'est souvent le cas dans les barrages, les stocks de poissons sont irrémédiablement réduits. Les chaînes alimentaires sont alors perturbées et des écosystèmes entiers peuvent s'effondrer.

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Le matériel illégal -

L'utilisation d'outils illégaux tels que les filets à mailles fines et les explosifs intensifie la dégradation de l'environnement et menace la biodiversité marine.

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La pollution agrochimique -

Alors que les agriculteurs utilisent des engrais et des pesticides pour augmenter la production végétale et animale, la pluie peut emporter ces produits chimiques et les introduire dans les masses d'eau, ce qui nuit aux écosystèmes fragiles.

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Le développement de bactéries -

La pollution par les nutriments provenant des produits agrochimiques peut entraîner une croissance excessive des bactéries, ce qui crée des efflorescences incroyablement toxiques qui nuisent à la vie aquatique.

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Le développement des côtes -

Lorsque les mangroves, les zones humides et d'autres habitats essentiels sont défrichés à des fins de développement côtier, ils perturbent les zones de reproduction et réduisent la biodiversité.

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Les barrages -

Sans surprise, les barrages ont des conséquences extrêmement négatives sur de vastes zones de faune et de flore. L'obstruction des rivières par des barrages perturbe la migration des poissons, modifie les habitats et réduit les frayères.

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La pollution sonore -

Le bruit des navires, des forages et de la construction perturbe le comportement, la navigation et la communication de la faune et de la flore marines. En fait, le son se propage plus loin dans l'eau et au-dessus de l'eau, ce qui peut avoir un impact considérable sur les espèces aquatiques.

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La pollution plastique -

Les déchets plastiques s'accumulent dans les océans, enchevêtrant la vie marine et libérant des toxines qui peuvent détruire les écosystèmes. Les animaux marins ont également tendance à prendre les plastiques pour de la nourriture, ce qui peut entraîner leur mort après ingestion.

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Les fuites d'hydrocarbures - Le déversement accidentel ou délibéré d'hydrocarbures peut entraîner une contamination mortelle des habitats marins. Des études scientifiques ont montré que les écosystèmes en contact avec les déversements d'hydrocarbures sont détruits à long terme.

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Les décharges de déchets industriels -

Les usines industrielles situées à proximité des masses d'eau y déversent souvent des déchets industriels. Les habitats sont ainsi contaminés et la vie marine peut être empoisonnée au point d'entraîner l'effondrement des écosystèmes locaux.

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Le changement climatique -

La pollution de la planète entraînant une augmentation de la température des mers et de l'acidité des océans, des écosystèmes marins entiers et des espèces sont menacés d'extinction.

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La pêche illicite, non déclarée et non réglementée -

Les lois et réglementations relatives à la faune marine sont généralement mises en place pour garantir la sécurité des écosystèmes aquatiques dans certaines zones. Mais les pratiques de pêche non réglementées et illégales peuvent détruire ces zones protégées, surtout si elles utilisent des méthodes de pêche destructrices.

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L'absence de réglementation et d'application des lois -

Dans d'autres endroits, il n'y a pas assez de lois et de mesures d'application pour empêcher les pratiques de pêche destructrices. Ces méthodes ne sont alors pas contrôlées, créant un effet boule de neige qui entraîne des dommages environnementaux irréversibles.

Sources: (Turtle Island Restoration Network) (4Ocean) (Marine Conservation Institute) (The Pacific Community) (NOAA’s National Ocean Service)

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