





























DÉCOUVRIR
REVOIR
© Shutterstock
0 / 30 Fotos
Gènes ou environnement ?
- Une étude récente d’Oxford Population Health révèle que les facteurs environnementaux ont davantage d’impact sur la santé et l’espérance de vie que la génétique. Autrement dit, les choix de vie et les conditions dans lesquelles on évolue jouent un rôle clé dans les risques liés au vieillissement et aux maladies.
© Shutterstock
1 / 30 Fotos
Ce qui pèse le plus
- Des chercheurs ont examiné les données de près d’un demi-million de participants de la UK Biobank. Ils ont mesuré l’influence de 164 facteurs environnementaux et des scores de risque génétique sur 22 grandes maladies.
© Shutterstock
2 / 30 Fotos
L’environnement en tête
- L’étude a révélé que les facteurs environnementaux expliquent 17 % des variations du risque de décès prématuré, contre moins de 2 % pour la prédisposition génétique.
© Shutterstock
3 / 30 Fotos
Les vrais coupables
- Les facteurs ayant le plus d’impact sur la mortalité et le vieillissement biologique sont le tabagisme, le statut socio-économique, l’activité physique et les conditions de vie.
© Shutterstock
4 / 30 Fotos
Le poids du tabac
- Le tabagisme, l’un des facteurs les plus nocifs, a été associé à 21 maladies différentes.
© Shutterstock
5 / 30 Fotos
Stabilité vitale
- Le revenu du foyer, le statut de propriétaire et la situation professionnelle ont été associés à 19 maladies. Une preuve de plus que la stabilité financière influe fortement sur la santé à long terme.
© Shutterstock
6 / 30 Fotos
Bouger pour vivre
- La pratique régulière d’une activité physique a été associée à un risque réduit pour 17 maladies.
© Shutterstock
7 / 30 Fotos
Changer la donne
- Sur les 25 principaux facteurs environnementaux identifiés, 23 peuvent être modifiés, offrant ainsi aux individus comme aux décideurs des leviers concrets pour améliorer la santé publique.
© Shutterstock
8 / 30 Fotos
Les traces du passé
- De nombreux facteurs, comme le poids corporel durant l’enfance ou le tabagisme maternel à la naissance, peuvent influencer le vieillissement et le risque de maladies des décennies plus tard.
© Shutterstock
9 / 30 Fotos
Deux influences, deux poids
- L’exposition à l’environnement a un impact plus marqué sur les maladies pulmonaires, cardiaques et hépatiques. En revanche, la prédisposition génétique joue un rôle dominant dans des pathologies comme la démence ou le cancer du sein.
© Shutterstock
10 / 30 Fotos
L’horloge du vieillissement
- Les chercheurs ont utilisé une "horloge du vieillissement" basée sur les niveaux de protéines dans le sang pour suivre le vieillissement biologique et établir un lien entre l’exposition environnementale et la mortalité précoce.
© Shutterstock
11 / 30 Fotos
Une vision d’ensemble
- En analysant divers facteurs environnementaux, les chercheurs ont pu dresser un panorama complet de l’influence du mode de vie et de l’environnement sur la santé.
© Shutterstock
12 / 30 Fotos
Un appel aux politiques
- Les experts insistent sur la nécessité de mesures gouvernementales pour améliorer les conditions socio-économiques, réduire le tabagisme et encourager l’activité physique, dans l’espoir d’améliorer la santé publique.
© Shutterstock
13 / 30 Fotos
Changer le système
- Un changement en profondeur est indispensable pour que des facteurs comme le revenu ou le lieu de résidence ne dictent plus l’espérance de vie.
© Shutterstock
14 / 30 Fotos
L’effet cumulatif
- Pris isolément, les facteurs environnementaux ont un impact limité, mais leur effet combiné peut peser lourdement sur les risques pour la santé et la mortalité prématurée.
© Shutterstock
15 / 30 Fotos
Agir sur tous les fronts
- L’étude montre qu’en s’attaquant à plusieurs facteurs de risque environnementaux à la fois, on pourrait adopter une stratégie plus efficace pour réduire les maladies chroniques et augmenter l’espérance de vie.
© Shutterstock
16 / 30 Fotos
Changer de méthode
- Contrairement aux études traditionnelles qui se penchent sur un seul facteur de risque à la fois, cette recherche a utilisé une méthode sans hypothèse de départ. Résultat : une vision plus claire des éléments qui contribuent le plus au vieillissement et aux maladies.
© Shutterstock
17 / 30 Fotos
Explorer l’impact sur le long terme
- En combinant méthodes informatiques, technologies intelligentes et données épidémiologiques, les chercheurs espèrent mieux comprendre les effets à long terme de l’exposition à l’environnement.
© Shutterstock
18 / 30 Fotos
Des zones d’ombre
- Des questions subsistent quant aux effets des expositions modernes sur la santé à long terme, notamment face à de nouveaux agents pathogènes comme la COVID-19 ou la grippe aviaire, mais aussi à certaines substances chimiques comme les pesticides ou les plastiques.
© Shutterstock
19 / 30 Fotos
Prévenir plutôt que subir
- En matière de vieillissement et de maladies, la prévention est essentielle. De petits changements dans le mode de vie peuvent avoir un impact considérable sur la santé et la longévité.
© Shutterstock
20 / 30 Fotos
Arrêter, c’est gagner
- L’un des moyens les plus efficaces de réduire le risque de maladie et d’améliorer sa santé globale reste l’arrêt du tabac.
© Shutterstock
21 / 30 Fotos
Bouger régulièrement
- Visez au moins 150 minutes d’exercice modéré par semaine pour diminuer le risque de maladies.
© Shutterstock
22 / 30 Fotos
Manger équilibré
- Évitez les aliments gras, frits ou trop salés, et privilégiez les fruits, les légumes, les protéines maigres et les céréales complètes.
© Shutterstock
23 / 30 Fotos
Ralentir le rythme
- Un stress constant et une anxiété chronique peuvent accélérer le vieillissement et augmenter le risque de maladies. Prenez le temps de pratiquer la pleine conscience et la relaxation.
© Shutterstock
24 / 30 Fotos
Dormir pour mieux vivre
- Visez entre sept et neuf heures de sommeil de qualité par nuit pour renforcer le système immunitaire et préserver la santé du cerveau.
© Shutterstock
25 / 30 Fotos
L’alcool, avec modération
- Une consommation excessive d’alcool peut entraîner des maladies du foie, du cœur et bien d’autres troubles. Mieux vaut modérer sa consommation, voire s’en abstenir complètement.
© Shutterstock
26 / 30 Fotos
Suivi essentiel
- Consultez régulièrement votre médecin ou un professionnel de santé afin de repérer rapidement d’éventuels problèmes.
© Shutterstock
27 / 30 Fotos
Rester connecté
- Maintenir des liens sociaux renforce la santé mentale et aide à préserver les facultés cognitives.
© Shutterstock
28 / 30 Fotos
Poids sous contrôle
- L’obésité est associée à de nombreuses maladies chroniques. L’activité physique et une alimentation saine doivent rester des priorités. Sources: (Science Daily) (Harvard Health) (UCSF Health) Découvrez aussi : Alimentation saine et durable : les non-périssables à avoir en réserve
© Shutterstock
29 / 30 Fotos
© Shutterstock
0 / 30 Fotos
Gènes ou environnement ?
- Une étude récente d’Oxford Population Health révèle que les facteurs environnementaux ont davantage d’impact sur la santé et l’espérance de vie que la génétique. Autrement dit, les choix de vie et les conditions dans lesquelles on évolue jouent un rôle clé dans les risques liés au vieillissement et aux maladies.
© Shutterstock
1 / 30 Fotos
Ce qui pèse le plus
- Des chercheurs ont examiné les données de près d’un demi-million de participants de la UK Biobank. Ils ont mesuré l’influence de 164 facteurs environnementaux et des scores de risque génétique sur 22 grandes maladies.
© Shutterstock
2 / 30 Fotos
L’environnement en tête
- L’étude a révélé que les facteurs environnementaux expliquent 17 % des variations du risque de décès prématuré, contre moins de 2 % pour la prédisposition génétique.
© Shutterstock
3 / 30 Fotos
Les vrais coupables
- Les facteurs ayant le plus d’impact sur la mortalité et le vieillissement biologique sont le tabagisme, le statut socio-économique, l’activité physique et les conditions de vie.
© Shutterstock
4 / 30 Fotos
Le poids du tabac
- Le tabagisme, l’un des facteurs les plus nocifs, a été associé à 21 maladies différentes.
© Shutterstock
5 / 30 Fotos
Stabilité vitale
- Le revenu du foyer, le statut de propriétaire et la situation professionnelle ont été associés à 19 maladies. Une preuve de plus que la stabilité financière influe fortement sur la santé à long terme.
© Shutterstock
6 / 30 Fotos
Bouger pour vivre
- La pratique régulière d’une activité physique a été associée à un risque réduit pour 17 maladies.
© Shutterstock
7 / 30 Fotos
Changer la donne
- Sur les 25 principaux facteurs environnementaux identifiés, 23 peuvent être modifiés, offrant ainsi aux individus comme aux décideurs des leviers concrets pour améliorer la santé publique.
© Shutterstock
8 / 30 Fotos
Les traces du passé
- De nombreux facteurs, comme le poids corporel durant l’enfance ou le tabagisme maternel à la naissance, peuvent influencer le vieillissement et le risque de maladies des décennies plus tard.
© Shutterstock
9 / 30 Fotos
Deux influences, deux poids
- L’exposition à l’environnement a un impact plus marqué sur les maladies pulmonaires, cardiaques et hépatiques. En revanche, la prédisposition génétique joue un rôle dominant dans des pathologies comme la démence ou le cancer du sein.
© Shutterstock
10 / 30 Fotos
L’horloge du vieillissement
- Les chercheurs ont utilisé une "horloge du vieillissement" basée sur les niveaux de protéines dans le sang pour suivre le vieillissement biologique et établir un lien entre l’exposition environnementale et la mortalité précoce.
© Shutterstock
11 / 30 Fotos
Une vision d’ensemble
- En analysant divers facteurs environnementaux, les chercheurs ont pu dresser un panorama complet de l’influence du mode de vie et de l’environnement sur la santé.
© Shutterstock
12 / 30 Fotos
Un appel aux politiques
- Les experts insistent sur la nécessité de mesures gouvernementales pour améliorer les conditions socio-économiques, réduire le tabagisme et encourager l’activité physique, dans l’espoir d’améliorer la santé publique.
© Shutterstock
13 / 30 Fotos
Changer le système
- Un changement en profondeur est indispensable pour que des facteurs comme le revenu ou le lieu de résidence ne dictent plus l’espérance de vie.
© Shutterstock
14 / 30 Fotos
L’effet cumulatif
- Pris isolément, les facteurs environnementaux ont un impact limité, mais leur effet combiné peut peser lourdement sur les risques pour la santé et la mortalité prématurée.
© Shutterstock
15 / 30 Fotos
Agir sur tous les fronts
- L’étude montre qu’en s’attaquant à plusieurs facteurs de risque environnementaux à la fois, on pourrait adopter une stratégie plus efficace pour réduire les maladies chroniques et augmenter l’espérance de vie.
© Shutterstock
16 / 30 Fotos
Changer de méthode
- Contrairement aux études traditionnelles qui se penchent sur un seul facteur de risque à la fois, cette recherche a utilisé une méthode sans hypothèse de départ. Résultat : une vision plus claire des éléments qui contribuent le plus au vieillissement et aux maladies.
© Shutterstock
17 / 30 Fotos
Explorer l’impact sur le long terme
- En combinant méthodes informatiques, technologies intelligentes et données épidémiologiques, les chercheurs espèrent mieux comprendre les effets à long terme de l’exposition à l’environnement.
© Shutterstock
18 / 30 Fotos
Des zones d’ombre
- Des questions subsistent quant aux effets des expositions modernes sur la santé à long terme, notamment face à de nouveaux agents pathogènes comme la COVID-19 ou la grippe aviaire, mais aussi à certaines substances chimiques comme les pesticides ou les plastiques.
© Shutterstock
19 / 30 Fotos
Prévenir plutôt que subir
- En matière de vieillissement et de maladies, la prévention est essentielle. De petits changements dans le mode de vie peuvent avoir un impact considérable sur la santé et la longévité.
© Shutterstock
20 / 30 Fotos
Arrêter, c’est gagner
- L’un des moyens les plus efficaces de réduire le risque de maladie et d’améliorer sa santé globale reste l’arrêt du tabac.
© Shutterstock
21 / 30 Fotos
Bouger régulièrement
- Visez au moins 150 minutes d’exercice modéré par semaine pour diminuer le risque de maladies.
© Shutterstock
22 / 30 Fotos
Manger équilibré
- Évitez les aliments gras, frits ou trop salés, et privilégiez les fruits, les légumes, les protéines maigres et les céréales complètes.
© Shutterstock
23 / 30 Fotos
Ralentir le rythme
- Un stress constant et une anxiété chronique peuvent accélérer le vieillissement et augmenter le risque de maladies. Prenez le temps de pratiquer la pleine conscience et la relaxation.
© Shutterstock
24 / 30 Fotos
Dormir pour mieux vivre
- Visez entre sept et neuf heures de sommeil de qualité par nuit pour renforcer le système immunitaire et préserver la santé du cerveau.
© Shutterstock
25 / 30 Fotos
L’alcool, avec modération
- Une consommation excessive d’alcool peut entraîner des maladies du foie, du cœur et bien d’autres troubles. Mieux vaut modérer sa consommation, voire s’en abstenir complètement.
© Shutterstock
26 / 30 Fotos
Suivi essentiel
- Consultez régulièrement votre médecin ou un professionnel de santé afin de repérer rapidement d’éventuels problèmes.
© Shutterstock
27 / 30 Fotos
Rester connecté
- Maintenir des liens sociaux renforce la santé mentale et aide à préserver les facultés cognitives.
© Shutterstock
28 / 30 Fotos
Poids sous contrôle
- L’obésité est associée à de nombreuses maladies chroniques. L’activité physique et une alimentation saine doivent rester des priorités. Sources: (Science Daily) (Harvard Health) (UCSF Health) Découvrez aussi : Alimentation saine et durable : les non-périssables à avoir en réserve
© Shutterstock
29 / 30 Fotos
Gènes ou environnement : qui tient vraiment les clés de notre santé ?
Une étude d’Oxford révèle le poids déterminant de notre mode de vie sur le vieillissement et les maladies
© Shutterstock
Notre santé dépend bien moins de nos gènes que de ce qui nous entoure. C’est ce que révèle une vaste étude menée par Oxford Population Health, qui remet en question l’idée selon laquelle notre destin biologique serait gravé dans l’ADN. En scrutant les données de près d’un demi-million de personnes, les chercheurs ont identifié les véritables moteurs de notre longévité : le mode de vie, les conditions sociales et l’environnement.
Tabagisme, activité physique, revenus… Ces facteurs modifiables pèseraient bien plus lourd dans la balance que nos prédispositions génétiques. L’étude souligne ainsi l’importance cruciale d’agir, à la fois sur le plan individuel et à l’échelle des politiques publiques, pour améliorer la santé collective et prévenir les maladies évitables.
Envie d’en savoir plus sur l’étude et ses implications concrètes ? Parcourez cette galerie sans plus attendre.
NOS RECOMMANDATIONS




































LES PLUS VUS
- 1 HEURE
- 24 HEURES
- 1 SEMAINE