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31. Estonie : 21.3%
- L'Estonie affiche le plus grand écart de rémunération entre hommes et femmes de l'Union européenne, en partie en raison du poids des rôles traditionnels et d'un marché du travail fortement segmenté. Les femmes y sont majoritairement employées dans des secteurs moins rémunérés, tels que l'éducation et la santé.
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30. Autriche : 18,4%
- En Autriche, l'écart de rémunération persiste notamment parce que les femmes occupent plus fréquemment des emplois à temps partiel que les hommes. Malgré la solidité de l'économie, les postes de direction restent majoritairement détenus par des hommes.
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29. Suisse : 17,9%
- En Suisse, malgré la richesse du pays, les coûts élevés de la garde d'enfants et le manque de places en crèche incitent de nombreuses femmes à choisir le temps partiel, alimentant ainsi un écart de rémunération important entre les sexes.
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28. République tchèque : 17,9%
- La République tchèque affiche l’un des écarts de rémunération les plus marqués d’Europe centrale, en grande partie à cause de la faible présence des femmes dans les secteurs technologiques et scientifiques, où les salaires sont élevés.
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27. Slovaquie : 17,7%
- En Slovaquie, l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes s'explique par la persistance de rôles traditionnels et par la faible représentation féminine aux postes de direction.
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26. Allemagne : 17,7%
- En Allemagne, malgré des avancées notables, l'écart de rémunération demeure important. De nombreuses femmes se heurtent à des obstacles les empêchant d'accéder à des emplois à temps plein et restent cantonnées aux mini-emplois, des postes faiblement rémunérés, offrant peu d'avantages et de perspectives d'évolution.
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25. Hongrie : 17,5%
- En Hongrie, l'écart de rémunération s'explique par des normes de genre rigides et l'absence de politiques de travail flexibles pour les mères, freinant ainsi la progression professionnelle des femmes.
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24. Lettonie : 17,1%
- En Lettonie, l'écart de rémunération reste étonnamment élevé malgré la forte présence des femmes sur le marché du travail. Leur sous-représentation aux postes de direction tire les salaires moyens vers le bas.
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23. Finlande : 15,5%
- Malgré d'importants efforts pour promouvoir l'égalité des sexes, l'écart de rémunération en Finlande persiste, en grande partie à cause de la ségrégation professionnelle. Les femmes sont surreprésentées dans le secteur public, où les salaires restent inférieurs à ceux du secteur privé.
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22. Royaume-Uni : 14,9%
- Bien que le Royaume-Uni ait mis en place des mesures comme la déclaration obligatoire de l'écart de rémunération, les coûts élevés de la garde d'enfants et la faible représentation féminine aux postes de responsabilité continuent de perpétuer cet écart.
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21. Norvège : 14,4%
- Malgré sa réputation d'égalité entre les sexes, la Norvège affiche encore un écart de rémunération, en grande partie en raison du travail à temps partiel et des interruptions de carrière des femmes, surtout après la maternité.
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20. France : 13,9%
- La France dispose d'un droit du travail solide, mais les femmes restent sous-représentées dans les postes de direction des entreprises. À qualifications égales, nombre d'entre elles gagnent moins que leurs homologues masculins.
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19. Danemark : 13,9%
- Bien que le congé parental danois soit généreux, il n'a pas complètement réduit l'écart, car les femmes prennent davantage de congés et occupent souvent des postes moins rémunérés.
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18. Pays-Bas : 13%
- Aux Pays-Bas, les femmes sont plus enclines à travailler à temps partiel, même dans des rôles qualifiés, ce qui contribue largement à la persistance de l'écart salarial.
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17. Bulgarie : 13%
- Contrairement à d'autres pays de l'Europe de l'Est, la Bulgarie affiche un écart modéré grâce à la forte présence des femmes dans les secteurs STIM et dans les postes de direction, par rapport à ses voisins.
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16. Portugal : 12,5%
- L'écart au Portugal témoigne d'une progression de carrière plus lente pour les femmes et d'un accès limité aux postes de direction, malgré une forte participation des femmes à la population active.
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15. Croatie : 12,5%
- En Croatie, l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes est marqué par les rôles traditionnels et par la sous-représentation des femmes dans les postes techniques et de direction bien rémunérés.
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14. Lituanie : 12%
- En Lituanie, malgré une main-d'œuvre relativement équilibrée entre les sexes, les hommes restent majoritaires dans les secteurs les mieux rémunérés, ce qui maintient un écart salarial plus élevé qu'on pourrait l'attendre.
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13. Suède : 11,1%
- Connue pour ses politiques progressistes, la Suède affiche pourtant un écart salarial persistant, les femmes restant majoritairement employées dans des secteurs moins bien rémunérés comme la santé et l’éducation.
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12. Grèce : 10,4%
- En Grèce, l’instabilité économique et l’absence de structures de garde d’enfants ont freiné l’accès des femmes à des carrières mieux rémunérées.
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11. Malte : 10, 2%
- À Malte, l'écart salarial reflète une culture de leadership encore largement masculine, malgré les efforts récents du gouvernement pour encourager une plus grande participation féminine sur le marché du travail.
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10. Chypre : 10,2%
- À Chypre, malgré un niveau d’éducation élevé chez les femmes, elles restent sous-représentées dans les secteurs les mieux rémunérés et aux postes de direction, ce qui contribue à creuser l’écart salarial.
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9. Islande : 9,3%
- En 2018, l’Islande est devenue le premier pays à obliger les entreprises à prouver par la loi qu’elles versent un salaire égal pour un travail égal, une mesure qui a permis de réduire progressivement l’écart de rémunération entre les sexes.
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8. Irlande : 9,3%
- L’écart de rémunération en Irlande s’est resserré avec la progression des femmes dans les postes de direction, mais des inégalités marquées subsistent dans des secteurs comme la technologie et la finance.
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7. Espagne : 8, 7%
- Les mesures de soutien à la famille en Espagne ont permis de réduire l’écart de rémunération, mais les femmes demeurent peu présentes aux postes de direction.
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6. Slovénie : 8,2%
- La Slovénie se distingue par ses bons résultats en matière d'égalité salariale, grâce à un congé maternité généreux et à une forte présence des femmes dans des emplois hautement qualifiés.
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5. Pologne : 7, 8%
- La Pologne affiche un écart inférieur à la moyenne, en raison de la forte présence des femmes dans les secteurs des STIM et de la réduction des emplois à temps partiel.
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4. Belgique : 5%
- Les lois belges favorisant la transparence salariale et ses politiques sociales robustes ont joué un rôle clé dans la réduction de l'écart de rémunération, qui figure désormais parmi les plus bas de l'UE.
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3. Roumanie : 4,5%
- L'écart réduit en Roumanie s'explique en partie par la présence plus importante des femmes dans les secteurs techniques et leur accès égal à l'éducation, bien que des disparités demeurent en milieu rural.
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2. Italie : 4, 3%
- En Italie, bien que l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes soit officiellement faible, il masque des inégalités plus profondes. De nombreuses femmes sont exclues du marché du travail en raison de normes culturelles, du manque d'options de garde d'enfants et des obstacles économiques qui rendent difficile l'accès à un emploi à temps plein.
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1. Luxembourg : -0, 7%
- Le Luxembourg se distingue en Europe en ayant des femmes qui, en moyenne, gagnent légèrement plus que les hommes. Cette situation est due à des politiques solides en faveur de l'égalité des sexes et à un taux élevé de femmes occupant des postes bien rémunérés dans le secteur public. Sources : (Eurostat) (Euronews) (United Nations) Voir aussi : Les meilleurs pays pour les femmes : où vivre ?
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31. Estonie : 21.3%
- L'Estonie affiche le plus grand écart de rémunération entre hommes et femmes de l'Union européenne, en partie en raison du poids des rôles traditionnels et d'un marché du travail fortement segmenté. Les femmes y sont majoritairement employées dans des secteurs moins rémunérés, tels que l'éducation et la santé.
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30. Autriche : 18,4%
- En Autriche, l'écart de rémunération persiste notamment parce que les femmes occupent plus fréquemment des emplois à temps partiel que les hommes. Malgré la solidité de l'économie, les postes de direction restent majoritairement détenus par des hommes.
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29. Suisse : 17,9%
- En Suisse, malgré la richesse du pays, les coûts élevés de la garde d'enfants et le manque de places en crèche incitent de nombreuses femmes à choisir le temps partiel, alimentant ainsi un écart de rémunération important entre les sexes.
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28. République tchèque : 17,9%
- La République tchèque affiche l’un des écarts de rémunération les plus marqués d’Europe centrale, en grande partie à cause de la faible présence des femmes dans les secteurs technologiques et scientifiques, où les salaires sont élevés.
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27. Slovaquie : 17,7%
- En Slovaquie, l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes s'explique par la persistance de rôles traditionnels et par la faible représentation féminine aux postes de direction.
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26. Allemagne : 17,7%
- En Allemagne, malgré des avancées notables, l'écart de rémunération demeure important. De nombreuses femmes se heurtent à des obstacles les empêchant d'accéder à des emplois à temps plein et restent cantonnées aux mini-emplois, des postes faiblement rémunérés, offrant peu d'avantages et de perspectives d'évolution.
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25. Hongrie : 17,5%
- En Hongrie, l'écart de rémunération s'explique par des normes de genre rigides et l'absence de politiques de travail flexibles pour les mères, freinant ainsi la progression professionnelle des femmes.
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24. Lettonie : 17,1%
- En Lettonie, l'écart de rémunération reste étonnamment élevé malgré la forte présence des femmes sur le marché du travail. Leur sous-représentation aux postes de direction tire les salaires moyens vers le bas.
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23. Finlande : 15,5%
- Malgré d'importants efforts pour promouvoir l'égalité des sexes, l'écart de rémunération en Finlande persiste, en grande partie à cause de la ségrégation professionnelle. Les femmes sont surreprésentées dans le secteur public, où les salaires restent inférieurs à ceux du secteur privé.
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22. Royaume-Uni : 14,9%
- Bien que le Royaume-Uni ait mis en place des mesures comme la déclaration obligatoire de l'écart de rémunération, les coûts élevés de la garde d'enfants et la faible représentation féminine aux postes de responsabilité continuent de perpétuer cet écart.
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21. Norvège : 14,4%
- Malgré sa réputation d'égalité entre les sexes, la Norvège affiche encore un écart de rémunération, en grande partie en raison du travail à temps partiel et des interruptions de carrière des femmes, surtout après la maternité.
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20. France : 13,9%
- La France dispose d'un droit du travail solide, mais les femmes restent sous-représentées dans les postes de direction des entreprises. À qualifications égales, nombre d'entre elles gagnent moins que leurs homologues masculins.
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19. Danemark : 13,9%
- Bien que le congé parental danois soit généreux, il n'a pas complètement réduit l'écart, car les femmes prennent davantage de congés et occupent souvent des postes moins rémunérés.
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18. Pays-Bas : 13%
- Aux Pays-Bas, les femmes sont plus enclines à travailler à temps partiel, même dans des rôles qualifiés, ce qui contribue largement à la persistance de l'écart salarial.
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17. Bulgarie : 13%
- Contrairement à d'autres pays de l'Europe de l'Est, la Bulgarie affiche un écart modéré grâce à la forte présence des femmes dans les secteurs STIM et dans les postes de direction, par rapport à ses voisins.
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16. Portugal : 12,5%
- L'écart au Portugal témoigne d'une progression de carrière plus lente pour les femmes et d'un accès limité aux postes de direction, malgré une forte participation des femmes à la population active.
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15. Croatie : 12,5%
- En Croatie, l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes est marqué par les rôles traditionnels et par la sous-représentation des femmes dans les postes techniques et de direction bien rémunérés.
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14. Lituanie : 12%
- En Lituanie, malgré une main-d'œuvre relativement équilibrée entre les sexes, les hommes restent majoritaires dans les secteurs les mieux rémunérés, ce qui maintient un écart salarial plus élevé qu'on pourrait l'attendre.
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13. Suède : 11,1%
- Connue pour ses politiques progressistes, la Suède affiche pourtant un écart salarial persistant, les femmes restant majoritairement employées dans des secteurs moins bien rémunérés comme la santé et l’éducation.
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12. Grèce : 10,4%
- En Grèce, l’instabilité économique et l’absence de structures de garde d’enfants ont freiné l’accès des femmes à des carrières mieux rémunérées.
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11. Malte : 10, 2%
- À Malte, l'écart salarial reflète une culture de leadership encore largement masculine, malgré les efforts récents du gouvernement pour encourager une plus grande participation féminine sur le marché du travail.
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10. Chypre : 10,2%
- À Chypre, malgré un niveau d’éducation élevé chez les femmes, elles restent sous-représentées dans les secteurs les mieux rémunérés et aux postes de direction, ce qui contribue à creuser l’écart salarial.
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9. Islande : 9,3%
- En 2018, l’Islande est devenue le premier pays à obliger les entreprises à prouver par la loi qu’elles versent un salaire égal pour un travail égal, une mesure qui a permis de réduire progressivement l’écart de rémunération entre les sexes.
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8. Irlande : 9,3%
- L’écart de rémunération en Irlande s’est resserré avec la progression des femmes dans les postes de direction, mais des inégalités marquées subsistent dans des secteurs comme la technologie et la finance.
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7. Espagne : 8, 7%
- Les mesures de soutien à la famille en Espagne ont permis de réduire l’écart de rémunération, mais les femmes demeurent peu présentes aux postes de direction.
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- La Slovénie se distingue par ses bons résultats en matière d'égalité salariale, grâce à un congé maternité généreux et à une forte présence des femmes dans des emplois hautement qualifiés.
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5. Pologne : 7, 8%
- La Pologne affiche un écart inférieur à la moyenne, en raison de la forte présence des femmes dans les secteurs des STIM et de la réduction des emplois à temps partiel.
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4. Belgique : 5%
- Les lois belges favorisant la transparence salariale et ses politiques sociales robustes ont joué un rôle clé dans la réduction de l'écart de rémunération, qui figure désormais parmi les plus bas de l'UE.
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3. Roumanie : 4,5%
- L'écart réduit en Roumanie s'explique en partie par la présence plus importante des femmes dans les secteurs techniques et leur accès égal à l'éducation, bien que des disparités demeurent en milieu rural.
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2. Italie : 4, 3%
- En Italie, bien que l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes soit officiellement faible, il masque des inégalités plus profondes. De nombreuses femmes sont exclues du marché du travail en raison de normes culturelles, du manque d'options de garde d'enfants et des obstacles économiques qui rendent difficile l'accès à un emploi à temps plein.
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1. Luxembourg : -0, 7%
- Le Luxembourg se distingue en Europe en ayant des femmes qui, en moyenne, gagnent légèrement plus que les hommes. Cette situation est due à des politiques solides en faveur de l'égalité des sexes et à un taux élevé de femmes occupant des postes bien rémunérés dans le secteur public. Sources : (Eurostat) (Euronews) (United Nations) Voir aussi : Les meilleurs pays pour les femmes : où vivre ?
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Écart salarial en Europe : un seul pays paie mieux les femmes que les hommes
Un regard sur les pays d'Europe où les femmes gagnent moins que les hommes
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L'écart de rémunération entre les hommes et les femmes reste un problème persistant à travers l'Europe, mettant en évidence des inégalités dans les salaires, la participation au marché du travail et l'accès aux postes de direction. Selon Eurostat, les femmes gagnent en moyenne 87,30 euros (99,10 dollars américains) pour chaque 100 euros (113,51 dollars américains) perçus par les hommes. Cet écart non ajusté, qui ne prend pas en compte des facteurs comme l'éducation, l'âge ou le type d'emploi, signifie que les femmes devraient travailler 1,5 mois de plus par an pour combler cette différence.
Cliquez sur cette galerie pour découvrir comment les différents pays européens se positionnent, et lequel paie réellement les femmes davantage que les hommes. Les pourcentages indiqués à côté de chaque pays illustrent la différence de rémunération entre les sexes.
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