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Qui possède l'Angleterre ?
- Parmi les plus grands propriétaires fonciers d'Angleterre, on retrouve des personnalités comme le duc de Buccleuch, le roi et l'entrepreneur James Dyson. De vastes domaines privés dédiés à la chasse au tétras occupent également une part importante des terres.
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Un secret bien gardé
- Bien que la concentration des terres entre les mains d'une petite élite soit une réalité ancienne en Angleterre, obtenir des informations précises sur la propriété foncière reste toujours un véritable défi.
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Lever le voile
- L'essor des technologies de cartographie numérique et de l'analyse de données, associé à la détermination des militants, a enfin permis de révéler les inégalités dans la répartition des terres. Ces avancées ont rendu possible la collecte de statistiques autrefois tenues secrètes.
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Un pays pour les privilégiés
- Jon Trickett, député travailliste et ministre fantôme du Bureau du Cabinet, a souligné l'importance de ces révélations, les qualifiant de moment décisif : "La concentration dramatique de la propriété foncière est un rappel incontournable que notre pays appartient à une minorité privilégiée, et non à la majorité."
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4 / 28 Fotos
Un pouvoir démesuré
- Jon Trickett dénonce une injustice flagrante : "Il est inacceptable que des aristocrates, dont les familles détiennent les mêmes terres depuis des siècles, et de grandes entreprises aient plus d'influence sur les communautés locales — qu'elles soient urbaines ou rurales — que les habitants qui y vivent."
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L'Angleterre figée dans le temps
- Guy Shrubsole, auteur de "Who Owns England ?", souligne que les découvertes exposées dans son ouvrage offrent un aperçu saisissant de la répartition des terres en Angleterre, un schéma qui est resté pratiquement inchangé depuis des siècles.
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L'ampleur du fossé
- "La plupart des gens ne se rendent pas compte de l’étendue des terres contrôlées par une poignée d’individus", écrit-il. "Quelques milliers de ducs, baronnets et gentilshommes campagnards possèdent à eux seuls bien plus de terres que l’ensemble de la classe moyenne anglaise."
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La richesse enracinée
- La terre est au cœur de la richesse : elle façonne les prix de l’immobilier, soutient la production alimentaire et offre des espaces de loisir à des millions de personnes. Mais elle révèle aussi de profondes inégalités en Angleterre, où sa possession reste largement concentrée entre les mains d’une petite élite privilégiée.
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Des chiffres trompeurs
- D’après Guy Shrubsole, l’aristocratie et la noblesse détiennent environ 30 % des terres en Angleterre. Un chiffre déjà impressionnant, qui pourrait pourtant être en dessous de la réalité : 17 % des terres en Angleterre et au pays de Galles ne sont toujours pas enregistrées auprès du registre foncier.
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Des héritages bien gardés
- Les terres non déclarées en Angleterre appartiennent très probablement à des familles aristocratiques, dont les domaines se transmettent de génération en génération depuis des siècles. Une situation qui ne fait que renforcer la concentration historique de la propriété foncière au sein d’un cercle restreint et privilégié.
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10 / 28 Fotos
Un flou juridique avantageux
- De nombreux domaines aristocratiques échappent encore au registre foncier, tout simplement parce qu’ils n’ont jamais été mis en vente sur le marché. Cette exception leur permet de contourner les obligations d’enregistrement et d’entretenir, au fil des générations, un flou soigneusement entretenu autour de leur propriété.
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Des terres aux mains des entreprises
- Guy Shrubsole estime également que 18 % des terres anglaises appartiennent à des entreprises, dont certaines sont basées à l’étranger ou dans des paradis fiscaux.
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Cartographier le pouvoir des entreprises
- L’estimation de Guy Shrubsole s’appuie sur une base de données publiée par le registre foncier, recensant les terres détenues par l’ensemble des sociétés enregistrées au Royaume-Uni. Grâce à ces informations, il a pu dresser la liste des 100 plus grands propriétaires fonciers du monde de l’entreprise, offrant ainsi un éclairage inédit sur la mainmise croissante des sociétés sur les terres anglaises.
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Le géant de l’eau en tête
- En tête du classement des plus grands propriétaires fonciers du secteur privé figure United Utilities, une importante entreprise de distribution d’eau. La société précise que la majeure partie de ses terres se situe autour de ses réservoirs, soulignant le rôle crucial que ces espaces jouent dans la gestion et l’approvisionnement en eau.
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L’empreinte du duc
- Parmi les plus grands propriétaires recensés figure le domaine de Boughton, dans le Northamptonshire, appartenant au duc de Buccleuch.
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Le domaine de Woburn
- Autre nom incontournable de la liste : le domaine de Woburn, propriété du duc de Bedford.
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L’héritage de Badminton
- Le domaine de Badminton, dans le Gloucestershire, propriété du duc et de la duchesse de Beaufort, compte lui aussi parmi les plus importants. Ces vastes domaines incarnent l’héritage foncier de l’aristocratie anglaise, avec tout le poids historique et culturel qu’il représente depuis des générations.
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Entre héritage et pouvoir économique
- Parmi les grands propriétaires fonciers figurent aussi plusieurs vastes domaines de chasse au tétras, emblèmes d’une tradition aristocratique solidement enracinée. Autre nom marquant : Beeswax Dyson Farming, la société agricole de grande envergure de l’homme d’affaires pro-Brexit James Dyson, qui illustre la place croissante des intérêts privés dans le paysage rural anglais.
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18 / 28 Fotos
L’État, modèle de transparence
- D’après Guy Shrubsole, le secteur public détient aujourd’hui 8 % des terres en Angleterre, et se distingue par sa transparence en matière de propriété foncière. Une ouverture favorisée, en partie, par les initiatives récentes visant à rendre visibles les terrains destinés à être vendus.
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Les particuliers, une minorité foncière
- Les propriétaires résidentiels en Angleterre ne possèdent collectivement que 5 % des terres du pays, un chiffre qui souligne à quel point la propriété est concentrée ailleurs. À titre de comparaison, Guy Shrubsole estime que la famille royale détient à elle seule environ 1,4 % du territoire anglais.
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Les associations caritatives et l'église
- Les associations de préservation de l’environnement, telles que le National Trust ou le Woodland Trust, possèdent ensemble 2 % des terres anglaises. L’Église, de son côté, détient une part plus modeste, avec environ 0,5 % du territoire.
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Un déséquilibre enraciné
- Carys Roberts, cheffe économiste à l’Institut pour la recherche sur les politiques publiques, réagit aux conclusions de Guy Shrubsole avec un mélange de stupeur et de résignation. Elle qualifie ses résultats de "choquants, mais pas surprenants", soulignant à quel point cette inégalité est ancienne et profondément ancrée dans le système.
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22 / 28 Fotos
Un moteur d’inégalités
- Selon Carys Roberts, la concentration des terres entre les mains de quelques-uns est l’un des principaux moteurs des inégalités de richesse en Angleterre. Elle explique que ceux qui n’ont pas accès à la terre se trouvent privés d’un levier essentiel pour générer des revenus, ce qui entretient un cycle de disparités économiques difficile à briser.
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Le poids intact de l’aristocratie
- Elle ajoute : "On aime penser que les structures de classe ont évolué et que l’aristocratie n’a plus le rôle central qu’elle avait autrefois. Mais ce que ces données montrent, c’est que l’aristocratie reste un acteur clé de la richesse et du pouvoir dans notre société."
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24 / 28 Fotos
Quand le bien public disparaît
- Carys Roberts alerte sur une conséquence majeure de la vente des terres publiques : la perte de tout contrôle démocratique sur ces espaces. Une fois cédées, ces terres ne peuvent plus être mobilisées pour répondre à des besoins collectifs essentiels, comme la construction de logements abordables ou la mise en œuvre de projets environnementaux.
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25 / 28 Fotos
Un paradoxe britannique
- Malgré des inégalités criantes en matière de propriété foncière, le Royaume-Uni figure parmi les champions mondiaux de la concentration de richesse, avec le troisième plus grand nombre de millionnaires au monde. Un contraste d’autant plus frappant que le pays compte une population relativement modeste.
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26 / 28 Fotos
La richesse, toute relative
- Ce chiffre peut sembler décalé face aux inégalités foncières, mais il prend tout son sens lorsqu’on considère les prix vertigineux de l’immobilier dans des villes comme Londres. Quand un simple appartement d’une chambre peut atteindre les 10 millions de livres (13 millions de dollars), être millionnaire ne garantit en rien un grand espace de vie. Sources: (The Guardian) (Stephen Liddell) (New Economy Brief) Découvrez aussi : Là où vivent les riches : les quartiers les plus riches au monde
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Qui possède l'Angleterre ?
- Parmi les plus grands propriétaires fonciers d'Angleterre, on retrouve des personnalités comme le duc de Buccleuch, le roi et l'entrepreneur James Dyson. De vastes domaines privés dédiés à la chasse au tétras occupent également une part importante des terres.
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Un secret bien gardé
- Bien que la concentration des terres entre les mains d'une petite élite soit une réalité ancienne en Angleterre, obtenir des informations précises sur la propriété foncière reste toujours un véritable défi.
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Lever le voile
- L'essor des technologies de cartographie numérique et de l'analyse de données, associé à la détermination des militants, a enfin permis de révéler les inégalités dans la répartition des terres. Ces avancées ont rendu possible la collecte de statistiques autrefois tenues secrètes.
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Un pays pour les privilégiés
- Jon Trickett, député travailliste et ministre fantôme du Bureau du Cabinet, a souligné l'importance de ces révélations, les qualifiant de moment décisif : "La concentration dramatique de la propriété foncière est un rappel incontournable que notre pays appartient à une minorité privilégiée, et non à la majorité."
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Un pouvoir démesuré
- Jon Trickett dénonce une injustice flagrante : "Il est inacceptable que des aristocrates, dont les familles détiennent les mêmes terres depuis des siècles, et de grandes entreprises aient plus d'influence sur les communautés locales — qu'elles soient urbaines ou rurales — que les habitants qui y vivent."
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L'Angleterre figée dans le temps
- Guy Shrubsole, auteur de "Who Owns England ?", souligne que les découvertes exposées dans son ouvrage offrent un aperçu saisissant de la répartition des terres en Angleterre, un schéma qui est resté pratiquement inchangé depuis des siècles.
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L'ampleur du fossé
- "La plupart des gens ne se rendent pas compte de l’étendue des terres contrôlées par une poignée d’individus", écrit-il. "Quelques milliers de ducs, baronnets et gentilshommes campagnards possèdent à eux seuls bien plus de terres que l’ensemble de la classe moyenne anglaise."
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La richesse enracinée
- La terre est au cœur de la richesse : elle façonne les prix de l’immobilier, soutient la production alimentaire et offre des espaces de loisir à des millions de personnes. Mais elle révèle aussi de profondes inégalités en Angleterre, où sa possession reste largement concentrée entre les mains d’une petite élite privilégiée.
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Des chiffres trompeurs
- D’après Guy Shrubsole, l’aristocratie et la noblesse détiennent environ 30 % des terres en Angleterre. Un chiffre déjà impressionnant, qui pourrait pourtant être en dessous de la réalité : 17 % des terres en Angleterre et au pays de Galles ne sont toujours pas enregistrées auprès du registre foncier.
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Des héritages bien gardés
- Les terres non déclarées en Angleterre appartiennent très probablement à des familles aristocratiques, dont les domaines se transmettent de génération en génération depuis des siècles. Une situation qui ne fait que renforcer la concentration historique de la propriété foncière au sein d’un cercle restreint et privilégié.
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Un flou juridique avantageux
- De nombreux domaines aristocratiques échappent encore au registre foncier, tout simplement parce qu’ils n’ont jamais été mis en vente sur le marché. Cette exception leur permet de contourner les obligations d’enregistrement et d’entretenir, au fil des générations, un flou soigneusement entretenu autour de leur propriété.
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Des terres aux mains des entreprises
- Guy Shrubsole estime également que 18 % des terres anglaises appartiennent à des entreprises, dont certaines sont basées à l’étranger ou dans des paradis fiscaux.
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12 / 28 Fotos
Cartographier le pouvoir des entreprises
- L’estimation de Guy Shrubsole s’appuie sur une base de données publiée par le registre foncier, recensant les terres détenues par l’ensemble des sociétés enregistrées au Royaume-Uni. Grâce à ces informations, il a pu dresser la liste des 100 plus grands propriétaires fonciers du monde de l’entreprise, offrant ainsi un éclairage inédit sur la mainmise croissante des sociétés sur les terres anglaises.
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Le géant de l’eau en tête
- En tête du classement des plus grands propriétaires fonciers du secteur privé figure United Utilities, une importante entreprise de distribution d’eau. La société précise que la majeure partie de ses terres se situe autour de ses réservoirs, soulignant le rôle crucial que ces espaces jouent dans la gestion et l’approvisionnement en eau.
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L’empreinte du duc
- Parmi les plus grands propriétaires recensés figure le domaine de Boughton, dans le Northamptonshire, appartenant au duc de Buccleuch.
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Le domaine de Woburn
- Autre nom incontournable de la liste : le domaine de Woburn, propriété du duc de Bedford.
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L’héritage de Badminton
- Le domaine de Badminton, dans le Gloucestershire, propriété du duc et de la duchesse de Beaufort, compte lui aussi parmi les plus importants. Ces vastes domaines incarnent l’héritage foncier de l’aristocratie anglaise, avec tout le poids historique et culturel qu’il représente depuis des générations.
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Entre héritage et pouvoir économique
- Parmi les grands propriétaires fonciers figurent aussi plusieurs vastes domaines de chasse au tétras, emblèmes d’une tradition aristocratique solidement enracinée. Autre nom marquant : Beeswax Dyson Farming, la société agricole de grande envergure de l’homme d’affaires pro-Brexit James Dyson, qui illustre la place croissante des intérêts privés dans le paysage rural anglais.
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L’État, modèle de transparence
- D’après Guy Shrubsole, le secteur public détient aujourd’hui 8 % des terres en Angleterre, et se distingue par sa transparence en matière de propriété foncière. Une ouverture favorisée, en partie, par les initiatives récentes visant à rendre visibles les terrains destinés à être vendus.
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Les particuliers, une minorité foncière
- Les propriétaires résidentiels en Angleterre ne possèdent collectivement que 5 % des terres du pays, un chiffre qui souligne à quel point la propriété est concentrée ailleurs. À titre de comparaison, Guy Shrubsole estime que la famille royale détient à elle seule environ 1,4 % du territoire anglais.
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Les associations caritatives et l'église
- Les associations de préservation de l’environnement, telles que le National Trust ou le Woodland Trust, possèdent ensemble 2 % des terres anglaises. L’Église, de son côté, détient une part plus modeste, avec environ 0,5 % du territoire.
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Un déséquilibre enraciné
- Carys Roberts, cheffe économiste à l’Institut pour la recherche sur les politiques publiques, réagit aux conclusions de Guy Shrubsole avec un mélange de stupeur et de résignation. Elle qualifie ses résultats de "choquants, mais pas surprenants", soulignant à quel point cette inégalité est ancienne et profondément ancrée dans le système.
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Un moteur d’inégalités
- Selon Carys Roberts, la concentration des terres entre les mains de quelques-uns est l’un des principaux moteurs des inégalités de richesse en Angleterre. Elle explique que ceux qui n’ont pas accès à la terre se trouvent privés d’un levier essentiel pour générer des revenus, ce qui entretient un cycle de disparités économiques difficile à briser.
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Le poids intact de l’aristocratie
- Elle ajoute : "On aime penser que les structures de classe ont évolué et que l’aristocratie n’a plus le rôle central qu’elle avait autrefois. Mais ce que ces données montrent, c’est que l’aristocratie reste un acteur clé de la richesse et du pouvoir dans notre société."
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Quand le bien public disparaît
- Carys Roberts alerte sur une conséquence majeure de la vente des terres publiques : la perte de tout contrôle démocratique sur ces espaces. Une fois cédées, ces terres ne peuvent plus être mobilisées pour répondre à des besoins collectifs essentiels, comme la construction de logements abordables ou la mise en œuvre de projets environnementaux.
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Un paradoxe britannique
- Malgré des inégalités criantes en matière de propriété foncière, le Royaume-Uni figure parmi les champions mondiaux de la concentration de richesse, avec le troisième plus grand nombre de millionnaires au monde. Un contraste d’autant plus frappant que le pays compte une population relativement modeste.
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La richesse, toute relative
- Ce chiffre peut sembler décalé face aux inégalités foncières, mais il prend tout son sens lorsqu’on considère les prix vertigineux de l’immobilier dans des villes comme Londres. Quand un simple appartement d’une chambre peut atteindre les 10 millions de livres (13 millions de dollars), être millionnaire ne garantit en rien un grand espace de vie. Sources: (The Guardian) (Stephen Liddell) (New Economy Brief) Découvrez aussi : Là où vivent les riches : les quartiers les plus riches au monde
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Explications : pourquoi 1 % des Anglais possèdent 50 % du territoire ?
Derrière les chiffres, l’histoire d’un pouvoir transmis de génération en génération
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De nouvelles données mettent en lumière une réalité troublante concernant la répartition des terres en Angleterre : moins de 1 % de la population possède à elle seule la moitié du pays. Environ 25 000 propriétaires fonciers — principalement des familles aristocratiques et des entreprises — contrôlent cette immense étendue. Si ces terres étaient partagées équitablement entre tous les habitants, chacun disposerait d'un peu plus d'un demi-acre (environ 0,2 hectare), soit à peine la moitié de Parliament Square, au centre de Londres. Ces révélations, qualifiées d'"incroyablement inégalitaires", lèvent le voile sur un système opaque de répartition des terres.
Découvrez à travers cette galerie les raisons profondes de cette inégalité foncière en Angleterre.
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