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Premiers signes du zona
- Le zona se manifeste souvent par une éruption cutanée, généralement accompagnée de cloques. Mais avant l’apparition de cette éruption, il arrive que certaines personnes ressentent des douleurs, des démangeaisons ou même un engourdissement localisé.
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Une éruption bien caractéristique
- L’éruption se compose souvent de petites cloques remplies de liquide. Ces cloques peuvent se rompre, puis former une croûte quelques jours plus tard. Le plus souvent, l’éruption se limite à un seul côté du corps, sous forme d’une bande unique.
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Des symptômes qui dépassent la peau
- En plus de l’éruption cutanée douloureuse, irritante et franchement inconfortable qui accompagne le zona, certaines personnes peuvent également présenter d’autres symptômes comme de la fièvre, des frissons, des maux de tête ou une grande fatigue.
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Un virus qui ne vous oublie pas
- Toute personne ayant eu la varicelle peut un jour développer un zona. Les deux maladies sont provoquées par le même virus : le virus varicelle-zona. Après une varicelle, souvent contractée durant l’enfance, le virus reste en sommeil dans le système nerveux.
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Un réveil tardif
- Une fois installé dans le système nerveux, le virus varicelle-zona peut rester inactif pendant des années. Mais plus tard dans la vie, il peut se réactiver, emprunter les voies nerveuses jusqu’à la peau et provoquer l’apparition du zona.
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5 / 30 Fotos
Un risque, pas une fatalité
- Cela ne signifie pas pour autant que toutes les personnes ayant eu la varicelle développeront un jour un zona. En réalité, il est difficile de déterminer pourquoi certaines en sont atteintes et d’autres non.
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Les personnes âgées
- Une des hypothèses avancées est que le système immunitaire devient plus vulnérable avec l’âge. Lors de périodes où les défenses immunitaires sont affaiblies, le virus peut se réactiver et provoquer un zona.
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Des profils plus à risque
- La plupart des personnes qui développent un zona ont généralement 50 ans ou plus et/ou un système immunitaire affaibli, notamment en cas de maladies auto-immunes chroniques ou d'autres pathologies.
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8 / 30 Fotos
L’âge, un facteur clé
- L’âge est en effet l’un des principaux facteurs de risque du zona. Au-delà de 50 ans, la probabilité de réactivation du virus augmente nettement, et après 60 ans, les complications peuvent être plus graves.
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9 / 30 Fotos
Traitements et maladies à surveiller
- Les personnes suivant un traitement contre le cancer, comme la radiothérapie ou la chimiothérapie, peuvent également voir le zona se déclencher. Des maladies comme le VIH/sida augmentent elles aussi le risque en affaiblissant le système immunitaire.
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10 / 30 Fotos
D’autres facteurs aggravants
- Des affections comme les maladies rénales, le diabète ou les maladies pulmonaires peuvent elles aussi accroître le risque de zona. Les périodes de stress intense fragilisent le système immunitaire, augmentant également la vulnérabilité. Les femmes enceintes et les nouveau-nés font aussi partie des populations à risque élevé.
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Médicaments et greffes
- Les personnes ayant subi une greffe d’organe et prenant des traitements pour éviter le rejet sont également plus exposées au risque de zona. Les études montrent que la prise prolongée de corticoïdes fait partie des facteurs favorisant l’activation du virus.
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Un virus de la famille de l’herpès
- Le virus varicelle-zona appartient en réalité à la famille des virus de l’herpès. Ce groupe est également responsable des boutons de fièvre et d’autres formes d’herpès. C’est la raison pour laquelle le zona est aussi appelé herpès zoster.
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Des virus différents
- Malgré leur nom, le zona et la varicelle ne proviennent pas du même virus que celui responsable des boutons de fièvre ou de l’herpès génital. Ce dernier est une infection transmissible sexuellement.
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14 / 30 Fotos
Contagieux ou non ?
- Oui… et non. Une personne atteinte du zona peut transmettre le virus varicelle-zona uniquement à celles qui ne sont pas immunisées contre la varicelle, et ce, principalement par contact direct avec les lésions ouvertes.
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15 / 30 Fotos
Une transmission particulière
- Fait étonnant : lorsqu’une transmission se produit, la personne contaminée développe une varicelle, et non un zona. Ce type de transmission peut s’avérer très dangereux pour certaines personnes.
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16 / 30 Fotos
La varicelle tardive, un vrai danger
- La varicelle peut être particulièrement dangereuse pour les personnes qui ne l’ont jamais eue. Si la plupart des gens la contractent dans l’enfance, ceux qui y échappent peuvent, à l’âge adulte, développer des complications sérieuses.
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17 / 30 Fotos
Des suites parfois persistantes
- Quelles formes prennent ces complications ? Chez certaines personnes, la douleur et l’inconfort provoqués par le zona peuvent persister même après la disparition de l’éruption cutanée.
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La névralgie post-zostérienne
- Cette complication, appelée névralgie post-zostérienne, survient lorsque les fibres nerveuses sont endommagées. Ces fibres abîmées envoient en continu des signaux de douleur depuis la peau jusqu’au cerveau, même en l’absence de stimulus réel.
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19 / 30 Fotos
Des atteintes neurologiques possibles
- Le zona peut entraîner des altérations durables du système nerveux. Une inflammation du cerveau, des troubles de l’audition ou de l’équilibre peuvent survenir. Dans certains cas, une paralysie faciale peut également se manifester.
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20 / 30 Fotos
Le zona ophtalmique
- Autre complication possible : une perte de la vision. L’éruption cutanée liée au zona peut apparaître n’importe où sur le corps, y compris autour des yeux. On parle alors de zona ophtalmique.
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21 / 30 Fotos
Une urgence médicale
- Le zona localisé autour des yeux est particulièrement douloureux et constitue une véritable urgence médicale. Il peut entraîner des infections secondaires susceptibles de provoquer une perte de la vision.
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22 / 30 Fotos
Le risque d’infections secondaires
- Les infections secondaires représentent un risque majeur avec le zona. Si l’éruption n’est pas correctement soignée, d’autres infections peuvent survenir, notamment des infections bactériennes de la peau.
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23 / 30 Fotos
Un lien avec les maladies neurodégénératives ?
- Certaines études suggèrent que le zona pourrait augmenter le risque de développer des maladies neurologiques plus graves, comme la maladie d’Alzheimer ou certaines formes de démence.
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24 / 30 Fotos
La prévention existe
- Comment prévenir l’apparition du zona ? Il existe des vaccins sûrs et efficaces pour les personnes éligibles. En Amérique du Nord par exemple, le vaccin Shingrix est largement recommandé pour les adultes de 50 ans et plus.
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25 / 30 Fotos
Pas seulement pour les seniors
- Le vaccin ne s’adresse pas uniquement aux personnes âgées. Il peut aussi être proposé à celles atteintes de maladies chroniques affaiblissant le système immunitaire, qui présentent donc un risque accru de développer un zona.
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26 / 30 Fotos
Un bouclier imparfait mais utile
- Le vaccin ne garantit pas une protection totale contre le zona. Cependant, en cas d’infection, il permet souvent d’en raccourcir la durée et d’en atténuer les symptômes.
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27 / 30 Fotos
Mieux vaut prévenir que guérir
- Malheureusement, le vaccin n’a qu’une fonction préventive. Autrement dit, il ne peut pas être utilisé comme traitement une fois que le zona s’est déclaré. Il est donc préférable de se faire vacciner en amont pour réduire les risques.
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28 / 30 Fotos
Les bons réflexes en cas de zona
- Si vous avez un zona, gardez l’éruption bien couverte pour éviter toute transmission. En plus de nettoyer la zone concernée, évitez d’y toucher autant que possible. Pensez aussi à vous laver les mains régulièrement. Sources: (Mayo Clinic) (World
Health Organization) Découvrez aussi : Le quotidien d'une personne atteinte d'un TDI
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Premiers signes du zona
- Le zona se manifeste souvent par une éruption cutanée, généralement accompagnée de cloques. Mais avant l’apparition de cette éruption, il arrive que certaines personnes ressentent des douleurs, des démangeaisons ou même un engourdissement localisé.
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1 / 30 Fotos
Une éruption bien caractéristique
- L’éruption se compose souvent de petites cloques remplies de liquide. Ces cloques peuvent se rompre, puis former une croûte quelques jours plus tard. Le plus souvent, l’éruption se limite à un seul côté du corps, sous forme d’une bande unique.
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Des symptômes qui dépassent la peau
- En plus de l’éruption cutanée douloureuse, irritante et franchement inconfortable qui accompagne le zona, certaines personnes peuvent également présenter d’autres symptômes comme de la fièvre, des frissons, des maux de tête ou une grande fatigue.
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Un virus qui ne vous oublie pas
- Toute personne ayant eu la varicelle peut un jour développer un zona. Les deux maladies sont provoquées par le même virus : le virus varicelle-zona. Après une varicelle, souvent contractée durant l’enfance, le virus reste en sommeil dans le système nerveux.
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4 / 30 Fotos
Un réveil tardif
- Une fois installé dans le système nerveux, le virus varicelle-zona peut rester inactif pendant des années. Mais plus tard dans la vie, il peut se réactiver, emprunter les voies nerveuses jusqu’à la peau et provoquer l’apparition du zona.
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5 / 30 Fotos
Un risque, pas une fatalité
- Cela ne signifie pas pour autant que toutes les personnes ayant eu la varicelle développeront un jour un zona. En réalité, il est difficile de déterminer pourquoi certaines en sont atteintes et d’autres non.
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6 / 30 Fotos
Les personnes âgées
- Une des hypothèses avancées est que le système immunitaire devient plus vulnérable avec l’âge. Lors de périodes où les défenses immunitaires sont affaiblies, le virus peut se réactiver et provoquer un zona.
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Des profils plus à risque
- La plupart des personnes qui développent un zona ont généralement 50 ans ou plus et/ou un système immunitaire affaibli, notamment en cas de maladies auto-immunes chroniques ou d'autres pathologies.
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L’âge, un facteur clé
- L’âge est en effet l’un des principaux facteurs de risque du zona. Au-delà de 50 ans, la probabilité de réactivation du virus augmente nettement, et après 60 ans, les complications peuvent être plus graves.
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9 / 30 Fotos
Traitements et maladies à surveiller
- Les personnes suivant un traitement contre le cancer, comme la radiothérapie ou la chimiothérapie, peuvent également voir le zona se déclencher. Des maladies comme le VIH/sida augmentent elles aussi le risque en affaiblissant le système immunitaire.
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10 / 30 Fotos
D’autres facteurs aggravants
- Des affections comme les maladies rénales, le diabète ou les maladies pulmonaires peuvent elles aussi accroître le risque de zona. Les périodes de stress intense fragilisent le système immunitaire, augmentant également la vulnérabilité. Les femmes enceintes et les nouveau-nés font aussi partie des populations à risque élevé.
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11 / 30 Fotos
Médicaments et greffes
- Les personnes ayant subi une greffe d’organe et prenant des traitements pour éviter le rejet sont également plus exposées au risque de zona. Les études montrent que la prise prolongée de corticoïdes fait partie des facteurs favorisant l’activation du virus.
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12 / 30 Fotos
Un virus de la famille de l’herpès
- Le virus varicelle-zona appartient en réalité à la famille des virus de l’herpès. Ce groupe est également responsable des boutons de fièvre et d’autres formes d’herpès. C’est la raison pour laquelle le zona est aussi appelé herpès zoster.
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13 / 30 Fotos
Des virus différents
- Malgré leur nom, le zona et la varicelle ne proviennent pas du même virus que celui responsable des boutons de fièvre ou de l’herpès génital. Ce dernier est une infection transmissible sexuellement.
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14 / 30 Fotos
Contagieux ou non ?
- Oui… et non. Une personne atteinte du zona peut transmettre le virus varicelle-zona uniquement à celles qui ne sont pas immunisées contre la varicelle, et ce, principalement par contact direct avec les lésions ouvertes.
© Shutterstock
15 / 30 Fotos
Une transmission particulière
- Fait étonnant : lorsqu’une transmission se produit, la personne contaminée développe une varicelle, et non un zona. Ce type de transmission peut s’avérer très dangereux pour certaines personnes.
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16 / 30 Fotos
La varicelle tardive, un vrai danger
- La varicelle peut être particulièrement dangereuse pour les personnes qui ne l’ont jamais eue. Si la plupart des gens la contractent dans l’enfance, ceux qui y échappent peuvent, à l’âge adulte, développer des complications sérieuses.
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17 / 30 Fotos
Des suites parfois persistantes
- Quelles formes prennent ces complications ? Chez certaines personnes, la douleur et l’inconfort provoqués par le zona peuvent persister même après la disparition de l’éruption cutanée.
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18 / 30 Fotos
La névralgie post-zostérienne
- Cette complication, appelée névralgie post-zostérienne, survient lorsque les fibres nerveuses sont endommagées. Ces fibres abîmées envoient en continu des signaux de douleur depuis la peau jusqu’au cerveau, même en l’absence de stimulus réel.
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19 / 30 Fotos
Des atteintes neurologiques possibles
- Le zona peut entraîner des altérations durables du système nerveux. Une inflammation du cerveau, des troubles de l’audition ou de l’équilibre peuvent survenir. Dans certains cas, une paralysie faciale peut également se manifester.
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Le zona ophtalmique
- Autre complication possible : une perte de la vision. L’éruption cutanée liée au zona peut apparaître n’importe où sur le corps, y compris autour des yeux. On parle alors de zona ophtalmique.
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21 / 30 Fotos
Une urgence médicale
- Le zona localisé autour des yeux est particulièrement douloureux et constitue une véritable urgence médicale. Il peut entraîner des infections secondaires susceptibles de provoquer une perte de la vision.
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22 / 30 Fotos
Le risque d’infections secondaires
- Les infections secondaires représentent un risque majeur avec le zona. Si l’éruption n’est pas correctement soignée, d’autres infections peuvent survenir, notamment des infections bactériennes de la peau.
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23 / 30 Fotos
Un lien avec les maladies neurodégénératives ?
- Certaines études suggèrent que le zona pourrait augmenter le risque de développer des maladies neurologiques plus graves, comme la maladie d’Alzheimer ou certaines formes de démence.
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La prévention existe
- Comment prévenir l’apparition du zona ? Il existe des vaccins sûrs et efficaces pour les personnes éligibles. En Amérique du Nord par exemple, le vaccin Shingrix est largement recommandé pour les adultes de 50 ans et plus.
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Pas seulement pour les seniors
- Le vaccin ne s’adresse pas uniquement aux personnes âgées. Il peut aussi être proposé à celles atteintes de maladies chroniques affaiblissant le système immunitaire, qui présentent donc un risque accru de développer un zona.
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26 / 30 Fotos
Un bouclier imparfait mais utile
- Le vaccin ne garantit pas une protection totale contre le zona. Cependant, en cas d’infection, il permet souvent d’en raccourcir la durée et d’en atténuer les symptômes.
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27 / 30 Fotos
Mieux vaut prévenir que guérir
- Malheureusement, le vaccin n’a qu’une fonction préventive. Autrement dit, il ne peut pas être utilisé comme traitement une fois que le zona s’est déclaré. Il est donc préférable de se faire vacciner en amont pour réduire les risques.
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28 / 30 Fotos
Les bons réflexes en cas de zona
- Si vous avez un zona, gardez l’éruption bien couverte pour éviter toute transmission. En plus de nettoyer la zone concernée, évitez d’y toucher autant que possible. Pensez aussi à vous laver les mains régulièrement. Sources: (Mayo Clinic) (World
Health Organization) Découvrez aussi : Le quotidien d'une personne atteinte d'un TDI
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Zona : quand un virus oublié refait surface et bouleverse le quotidien
Derrière une simple éruption cutanée se cache un virus capable d’atteindre les nerfs, la vue et même la mémoire
© <p>Getty Images</p>
Le zona, ou herpès zoster, est une infection virale qui provoque une éruption cutanée douloureuse et urticante, souvent localisée sur un seul côté du corps. Elle se présente sous forme d’une bande de cloques rouges et peut s’accompagner de frissons, de fatigue, de fièvre et de douleurs aiguës. Rassurez-vous : le zona n’est pas contagieux pour les personnes ayant déjà eu la varicelle.
À l’origine de cette affection, le virus varicelle-zona (VZV), le même que celui de la varicelle. Une fois l’infection passée, le virus ne disparaît pas : il reste en sommeil dans les cellules nerveuses. Des années plus tard, il peut se réactiver, notamment en cas de baisse des défenses immunitaires. Résultat : des douleurs, des picotements, des démangeaisons, voire un engourdissement, accompagnés parfois de fièvre, de maux de tête et d’une grande fatigue.
Vous souhaitez mieux comprendre le zona et découvrir comment limiter les risques de complications ? Parcourez cette galerie pour faire le point.
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