© Shutterstock

Trop gros pour tuer -

En 2006, Edward Ates a remonté la côte est des États-Unis, de la Floride au New Jersey, pour tuer l'homme qui venait de divorcer de sa fille. Une fois l'acte accompli et Edward Ates de retour en Floride, il a rapidement été désigné comme le principal suspect par la police.

© Shutterstock

Trop gros pour tuer -

La défense a soutenu qu'il était physiquement incapable de commettre un meurtre ou même de conduire aussi loin, en raison de ses problèmes d'obésité et de son incapacité supposée à tirer avec précision avec une arme à feu. Malheureusement pour l'accusé, la preuve apportée par l'accusation, à savoir des recherches Google sur son ordinateur concernant la manière de tuer quelqu'un, s'est avérée plus convaincante pour le jury.

© Shutterstock

Un régime trop strict -

La vie dans l'armée peut être dure et impitoyable, mais on ne s'attend jamais à être blessé par l'un des siens. Malheureusement, c'est exactement le sort qu'a connu le sergent-chef Pedro Mercado en 2009.

© Shutterstock

Un régime trop strict -

Le sergent-chef Rashad Valmont, un subordonné de Pedro Mercado, a tiré six fois dans la poitrine du sergent-chef avant de se rendre à la police. Rashad Valmont a tenté d'attribuer son comportement à la déshydratation et à la faim causées par le régime alimentaire intensif qu'il suivait. Comme on pouvait s'y attendre, le tribunal n'a pas été tendre avec lui et il a été condamné à la prison à vie.

© Shutterstock

C'est la faute aux biscuits ! -

L'assassinat tragique des politiciens américains Harvey Milk et George Moscone a capté l'attention de la nation, mais le procès pour meurtre qui a suivi s'est avéré tout aussi effroyable.

© Getty Images

C'est la faute aux biscuits ! -

Dans ce que l'on appelle aujourd'hui la "défense Twinkie", l'avocat de l'assassin Dan White a fait valoir que ce dernier n'était pas entièrement responsable de ses actes parce que son régime alimentaire malsain, composé de malbouffe, comme les Twinkies Hostess (des biscuits sucrés), le rendait gravement dépressif. La seule chose plus scandaleuse que la défense de Dan White est le fait qu'elle a réussi à convaincre le juge d'abandonner l'accusation de meurtre au premier degré pour celle d'homicide involontaire. L'assassin a passé huit ans en prison pour ce double meurtre.

© Getty Images

La richesse pardonne tout -

En 2013, les avocats du riche adolescent Ethan Couch ont affirmé qu'il ne pouvait être tenu responsable de la mort de quatre innocents car il était trop riche pour savoir que ce qu'il faisait était mal.

© Getty Images

La richesse pardonne tout -

Alors qu'il rentrait d'une soirée en état d'ébriété, le jeune homme a traversé la circulation en sens inverse, évitant les voitures sans se soucier de la sécurité de qui que ce soit. Ethan Couch a percuté de plein fouet un véhicule immobilisé sur le bas-côté de la route, tuant quatre personnes et en blessant beaucoup d'autres. Dans une horrible démonstration d'injustice, le défense a remporté un point, et le coupable a été condamné à seulement 10 ans de mise à l'épreuve, sans aucune peine d'emprisonnement !

© Shutterstock

La drogue ou le meurtre, il faut vraiment choisir ? -

En 2013, Alan Bienkowski a été accusé d'avoir tué un homme avec un marteau. Dans une ultime tentative pour échapper à l'accusation, il a opté pour une stratégie du moindre mal.

© Shutterstock

La drogue ou le meurtre, il faut vraiment choisir ? -

Selon Alan Bienkowski, il était trop occupé à consommer et à rechercher de l'héroïne pour avoir assassiné qui que ce soit. Malheureusement pour lui, les preuves médico-légales ont démontré le contraire et il a perdu son procès.

© Shutterstock

Coincée dans la Matrice -

Tonda Lynn Ansley, une habitante de Cincinnati (Ohio), aurait commencé à souffrir de délires en 2002 et à croire qu'elle ne se trouvait pas vraiment à Cincinnati, mais qu'elle était en fait coincée dans la Matrice.

© Shutterstock

Coincée dans la Matrice -

Cette confusion est devenue violente lorsqu'elle a commencé à se disputer avec sa propriétaire et a décidé de la tuer, pensant que ses actes n'auraient pas de conséquences réelles. Bien que Tonda Lynn Ansley ait été jugée pour meurtre dans le monde réel, elle a plaidé avec succès la folie.

© Shutterstock

Quand l'amour est maudit -

Amanda Lopez, originaire de Floride, s'est réfugiée à New York pour prendre ses distances avec son ex-petit ami, mais elle a continué à sentir sa présence autour d'elle de la pire des manières. Amanda Lopez a commencé à croire que son ex-petit ami l'avait maudite et qu'elle ne serait pas libre tant qu'il ne serait pas mort.

© Shutterstock

Quand l'amour est maudit - C'est ainsi que, dans un acte qu'elle considérait comme de la légitime défense, elle est retournée en Floride et a poignardé l'homme à dix reprises dans la poitrine. Bien qu'elle ait plaidé la légitime défense, elle a été inculpée et condamnée pour meurtre au premier degré.

© Shutterstock

Je suis somnambule, c'est pas ma faute -

Le somnambulisme est une excuse courante, et généralement ignorée, pour commettre des crimes odieux. Ces affirmations sont parfois légitimes, mais la plupart du temps, elles ne sont rien d'autre que des excuses.

© Shutterstock

Je suis somnambule, c'est pas ma faute -

L'une des affaires les plus surprenantes concerne un homme nommé Stephen Reitz, qui a accusé le somnambulisme d'avoir non seulement jeté un pot de fleurs directement sur la tête de sa petite amie, mais aussi de l'avoir ensuite poignardée dans le cou. Inutile de dire que le tribunal n'y a pas cru !

© Shutterstock

Trop intelligent pour tuer -

Hans Reiser, un programmeur informatique reclus que ceux qui le connaissaient décrivaient comme un "génie", a fait l'objet d'une enquête de police en 2006 après la disparition de sa femme dont il était séparé.

© Shutterstock

Trop intelligent pour tuer -

Au fur et à mesure que les preuves s'accumulaient, il est devenu évident que Hans Reiser était à blâmer. Cependant, même lors du procès, il a tenté de prouver, à l'aide des mathématiques, que la probabilité qu'il ait tué sa femme était égale à celle que sa femme ait fui en Russie. Il est même allé jusqu'à rédiger une thèse sur la perception de la réalité par les gens et l'a présentée comme une preuve en sa faveur. L'avocat de la défense a également tenté d'affirmer que le jury choisi n'était pas en mesure de juger correctement l'accusé, parce qu'il ne se situait pas au même niveau intellectuel. Cependant, les preuves contre lui ont été plus éloquentes que ses théories, et Hans Reiser a été déclaré coupable.

© Shutterstock

Un perroquet comme témoin -

Gary Joseph Rasp a été arrêté pour le meurtre de son associée, Jane Gill, en 1991. Sa défense reposait en grande partie sur un témoin clé: un perroquet gris d'Afrique nommé Max.

© Shutterstock

Un perroquet comme témoin -

Selon l'accusé et sa défense, Max a été entendu sur la scène du crime en train de crier le nom de "Richard" et "ne tirez pas". Les avocats de Gary Joseph Rasp ont tenté d'appeler Max à la barre pour obtenir la vérité sur l'oiseau, mais le juge ne l'a pas autorisé. Sans son témoin vedette, l'accusé a été condamné pour meurtre.

© Shutterstock

C'est la faute au rap voyons ! - Depuis des décennies, les médias accusent la musique, les films et les jeux vidéo d'être à l'origine de l'augmentation des crimes violents chez les jeunes et les jeunes adultes, bien que nombre de ces théories aient été démenties ou abandonnées. En 1994, cependant, deux adolescents ont tenté d'utiliser cet argument à leur avantage.

© Shutterstock

C'est la faute au rap voyons ! -

Deux adolescents ont orchestré et exécuté une attaque au sniper contre un fourgon de police armé, faisant un mort parmi les policiers. Leur défense devant le tribunal était qu'ils avaient subi un lavage de cerveau à cause des paroles violentes de rap, notamment celles de Tupac Shakur. Le tribunal a rapidement rejeté leur défense et a condamné les deux adolescents à la prison à vie.

© Getty Images

La lycanthropie clinique -

La lycanthropie clinique est le terme médical désignant une personne qui croit être un loup-garou. On parle de lycanthropie clinique parce qu'il s'agit d'une affection psychologique, les loups-garous n'étant bien sûr pas réels. Cela n'a pas empêché un homme de l'Ohio de blâmer la bête qui sommeillait en lui pour ses accès d'ivresse.

© Shutterstock

La lycanthropie clinique -

Après avoir bu jusqu'à plus soif et déclenché des bagarres dans toute la ville, Thomas Stroup est finalement retrouvé évanoui dans le fourgon de la police. Lorsqu'il s'est réveillé, il s'est mis à grogner contre les officiers. Plus tard, redevenu lucide, il a expliqué qu'au cours d'un voyage en Allemagne, il avait été griffé par un loup et que, depuis, il changeait de forme et se mettait à faire régner la terreur. La police a décidé qu'il s'agissait simplement d'un ivrogne en colère.

© Shutterstock

Merci Obama ! -

Pamela Downs a été surprise en train d'essayer d'acheter des articles avec un billet de cinq dollars manifestement contrefait en 2015. Lorsque les autorités ont été alertées, elles ont trouvé dans son appartement environ 50 000 dollars de faux billets, tous imprimés de manière peu soignée sur du papier blanc ordinaire.

© Shutterstock

Merci Obama ! -

Lorsqu'on lui a demandé ce qui lui avait fait croire que son plan pouvait fonctionner, cette dernière a expliqué qu'elle avait lu sur Internet que le président de l'époque, Barack Obama, autorisait tous les citoyens disposant d'un revenu fixe à imprimer leur propre monnaie. Il s'est avéré que l'article en question provenait d'un site d'information satirique, et Pamela Downs a été inculpée et condamnée pour contrefaçon.

© Shutterstock

C'est pas moi, c'est mon jumeau -

L'histoire du jumeau maléfique est plus ancienne que le temps lui-même et a été utilisée fréquemment, bien que presque toujours sans succès, dans des cas de faible défense. Une fois, cependant, en 2009, elle a sauvé la vie de deux frères.

© Shutterstock

C'est pas moi, c'est mon jumeau -

Sathis et Sabarish Raj, deux frères malaisiens impliqués dans le trafic de drogue, ont été jugés pour avoir introduit en contrebande des quantités massives de marijuana et d'opium dans le pays. S'ils étaient reconnus coupables, ils devaient être exécutés.

© Shutterstock

C'est pas moi, c'est mon jumeau -

Le problème pour l'accusation, cependant, est qu'elle ne savait pas que les deux Raj étaient coupables; elle pensait n'avoir affaire qu'à une seule personne. Chaque frère a catégoriquement rejeté la responsabilité du crime sur l'autre, et comme ni la police ni l'accusation n'ont pu déterminer avec certitude quel frère avait été pris en flagrant délit de contrebande de drogue devant les caméras, il a été impossible de prouver la culpabilité de l'un ou de l'autre, et ils sont tous deux repartis libres.

Sources: (Listverse) (Ranker)

Découvrez aussi: Les pires crimes de l'Histoire

© Shutterstock