Il s'agit d'un instrument de torture datant de l'antiquité romaine, dont l'usage correspond au supplice de l'écartèlement. Il est composé d'un lit en bois avec quatre cordes, où les jambes et les bras étaient attachés, puis les cordes étaient tirées jusqu'à ce que les victimes avouent leurs péchés... ou non.
Également appelée vierge de Nuremberg, il s'agit d'un instrument de torture ayant la forme d'un sarcophage en fer ou en bois, garni en plusieurs endroits de longues pointes métalliques qui transpercent lentement la victime placée à l'intérieur, lorsque son couvercle se referme.
Très populaire à l'époque médiévale, cette chaise était composée de pointes acérées. La victime était assise dessus, et si ce n'était pas suffisant pour qu'elle avoue, alors un feu était allumé sous la chaise.
Cet outil de torture est entré dans l'histoire chrétienne pour avoir été utilisé par les Romains contre Saint Blaise de Sébaste. Il consistait à se faire ratisser la peau avec des fers chauds de peigneurs de laine.
Le carcan était très populaire à l'époque médiévale mais c'est resté l'outil de torture préféré des bourreaux pendant des siècles. Il consiste principalement en une planche de bois avec trois trous, pour la tête et les bras. Les victimes étaient laissées là pendant des heures afin d'être humiliées et elles mourraient souvent devant les yeux du public.
Il existait également des versions où seules les jambes, les bras, la tête ou une combinaison de ces éléments étaient enfermés.
Les victimes se voyaient couper la langue avant d'être placés dans un taureau d'airain, avec les pieds et poings liés. Un feu était ensuite allumé en dessous. Les cris des victimes depuis l'intérieur de l'animal en métal resonnaient comme des beuglements.
Cet instrument de torture était une sorte de petite boule qui, par des ressorts ou une vis situés à l'intérieur, venait à s'ouvrir et à s'élargir, de sorte qu'il n'y avait aucun moyen de la refermer sauf à l'aide d'une clé. Il était généralement placé dans la bouche, la vulve ou le rectum du condamné.
Cet instrument de torture était placé entre la poitrine et le cou, et provoquait une pure agonie si les victimes bougeaient ne serait-ce qu'un peu leurs mâchoires ou leur cou.
Aussi appelé poucette ou grillon, il s'agit d'un outil de torture utilisé par l'Inquisition pour écraser les pouces, d'une manière très lente et douloureuse.
Des cales étaient martelées entre des planches et créaient une pression sur les jambes et les chevilles, provoquant une douleur intense.
Ces chaises étaient généralement utilisées pour punir les "femmes qui ne respectaient pas la loi". Cette forme de torture médiévale a perduré jusqu'à la chasse aux sorcières au 18e siècle en Europe et en Amérique.
Cette méthode de torture anglaise était populaire sous le règne d'Henri VIII. Les victimes étaient enchainées à cette structure et étaient forcées de s'accroupir de manière à ce que la pression fasse son travail en leur brisant le dos et les os de la poitrine.
Cet instrument de torture brisait les membres fixés sur cette roue. Parfois les victimes étaient laissées dehors, à la merci des éléments, ou alors un feu était allumé sous la structure. Il doit son nom a Sainte Catherine d'Alexandrie après sa torture par cette machine.
Cet instrument de torture chinois était un broyeur de doigts. L'appareil était composé de bâtons enfilés ensemble, qui étaient ensuite placés autour des doigts de la victime et tirés.
Cette méthode de torture, utilisée dans le système pénal de l'État de New York au 19e siècle, consistait à maintenir les prisonniers dans des serre-joints avec des pinces autour des chevilles, des poignets et du cou. De l'eau était ensuite versée sur leurs têtes à partir d'un baril.
Comme son nom l'indique, cet outil écrasait la tête du condamné. Imaginez donc vos dents se briser, puis votre mâchoire, et peut-être vos yeux sortir de leurs orbites, avant que votre crâne ne soit complètement aplati...
Un masque de honte était porté par une personne déclarée coupable d'un délit mineur. L'exhibition de ce signe d'infamie constituait une punition.
Aussi connu comme la chaise de Judas, c'est un instrument médiéval de torture, utilisé notamment en Europe sous l'Inquisition pour extorquer des aveux. Il s'agit essentiellement d'une pyramide posée sur des pieds en bois. Des cordes étaient attachées à la victime et la personne était tirée vers le bas pendant que la pyramide la transperçait.
Cet instrument de torture, similaire à celui des bottes précédemment cité, était un moule en fer utilisé pour serrer la jambe de la victime. Parfois, des pointes étaient même placées à l'intérieur.
Il s'agit tout simplement d'un cercueil creux en fer. Les victimes y étaient enfermées et laissées pour mortes.
Un masque de honte était porté par une personne déclarée coupable d'un délit mineur. L'exhibition de ce signe d'infamie constituait une punition.
Cet instrument de torture est devenu populaire pendant l'Inquisition. Les victimes s'asseyaient dessus, la plupart du temps nues, et laissaient la gravité faire son travail en infligeant une douleur insupportable.
De nombreuses personnes ont été brulées mais cette méthode de rôtissage était un peu plus lente et sans aucun doute beaucoup plus douloureuse.
Utilisée pendant l'Inquisition espagnole, l'estrapade est une méthode de torture où le bourreau attache les bras de la victime à des cordes, le plus souvent dans le dos, puis la hisse par les bras jusqu'à la suspendre en l'air et la laisse tomber brusquement, mais sans laisser le corps toucher par terre, ce qui pouvait même provoquer des dislocations des épaules et une douleur insupportable.
Les rats ont été utilisés comme élément de torture à de nombreuses reprises au cours de l'histoire. L'une de ces méthodes de torture consistait à placer une boîte métallique contenant des rats sur la victime, qui se mettaient alors à arracher des morceaux de chair du condamné.
Sources: (List25) (Medievality)
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