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La polio
- La première maladie à avoir fait son retour après la pandémie est la polio. Elle se transmet par les excréments, c'est pourquoi il est important de vous laver les mains avant de les porter à votre bouche. Mais vous pouvez aussi l'attraper à travers la nourriture ou une eau contaminée.
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La polio
- Les personnes infectées par le virus de la polio risquent d'être paralysées, c'est ce qui est arrivé à des centaines de milliers d'enfants au début du 20e siècle. Depuis l'arrivée du vaccin, elle ne circulait plus qu'au Pakistan et en Afghanistan, mais elle est réapparue aux États-Unis et au Royaume-Uni après la pandémie…
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La polio
- Selon Oliver Rosenbauer, un chargé de communication pour l'Initiative Mondiale pour l'Éradication de la Poliomyélite (IMEP) et l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), nous devrions éradiquer la polio par la vaccination. "Si nous ne parvenons pas à éradiquer la polio, elle ne va pas rester au Pakistan, en Afghanistan - elle se répandra sans arrêt.", a t-il déclaré.
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La scarlatine
- Cette infection contagieuse est causée par le streptocoque A et touche principalement les jeunes enfants. Elle provoque des symptômes similaires à ceux de la grippe, comme une haute température, des maux de gorge et un gonflement des glandes. Parfois, la langue peut devenir blanche, ce qui aide les médecins à identifier la maladie.
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La scarlatine
- La scarlatine a fait son retour après la pandémie et a tué au moins 25 enfants au Royaume-Uni. Selon les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le nombre d'infections à streptocoques A a également augmenté aux États-Unis, mais aucun décès n'a été enregistré.
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La scarlatine
- Heureusement, c'est une infection bactérienne, ce qui signifie qu'elle peut être traitée par antibiotiques. Pour éviter de contaminer les autres, il est important de se laver les mains avec du savon ainsi que d'utiliser des mouchoirs et de les jeter rapidement.
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La rougeole
- 82 cas de rougeole ont été reportés en Ohio (États-Unis) après la pandémie, mais si aucun n'a été fatal, 32 patients ont dû être hospitalisés. Dans le Minnesota (toujours aux États-Unis), 22 infections ont également été signalées, après 3 ans d'absence de la maladie.
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La rougeole
- Seuls les enfants qui n'étaient pas vaccinés sont tombés malades (mais on ne savait pas si quatre d'entre eux avaient reçu le vaccin ou non). Selon le CDC, la vaccination contre la rougeole est en déclin depuis l'arrivée de la COVID-19, dans le monde entier.
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La rougeole
- Selon Jennifer Heath, coordinatrice du programme de vaccination pour le ministère de la santé du Minnesota, le virus de la rougeole est si contagieux que "même une petite baisse du taux de couverture vaccinale signifie que des milliers d'enfants supplémentaires pourraient être vulnérables à la maladie". Selon les experts, il pourrait y avoir d'autres épidémies dans les années à venir dans les régions du monde où la couverture vaccinale est inférieure à 95 %.
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Mpox
- Avant la pandémie, la Mpox touchait essentiellement les pays d'Afrique de l'Ouest et Centrale. Mais à partir de mai 2022, on a reporté 83 500 cas dans le monde, dont 25 morts.
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Mpox
- Elle se transmet si vous touchez les vêtements, la literie ou les serviettes utilisées par une personne atteinte de la variole dont les cloques sont entrées en contact avec, ou simplement si elle tousse et éternue trop proche de vous. Généralement, les premiers symptômes sont de type grippal, puis une éruption cutanée apparaît d'abord sur le visage, avant de s'étendre sur le corps.
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Mpox
- Depuis le début de l'année 2023, le virus semble disparaître peu à peu, grâce aux vaccins, aux traitements et aux mesures de prévention communautaires.
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Virus respiratoire syncytial (VRS)
- Les cas de bronchiolite, une infection virale généralement causée par le virus respiratoire syncytial (VRS), sont montés en flèche au cours de la saison hivernale post-pandémie. Bien qu'elle soit courante, elle augmente surement à cause de la "dette immunitaire", qui signifie que de nombreux enfants qui n'ont pas contracté de maladies infantiles communes pendant deux ans sont tous infectés maintenant.
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Virus respiratoire syncytial (VRS)
- Cette infection respiratoire qui touche les bébés et les enfants de moins de deux ans, peut généralement se soigner à la maison mais peut aussi être plus grave. C'est la première cause d'hospitalisation des enfants de moins de un an. Les plus à risques sont les grands prématurés, qui souffrent d'une maladie cardiaque ou pulmonaire ou qui ont un système immunitaire affaibli.
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Virus respiratoire syncytial (VRS)
- Même si cette maladie est courante, elle a été particulièrement intense en raison des autres virus et bactéries dans l'air. Il a fallu attendre plus pour recevoir des soins, et les maladies hivernales vont continuer à se propager avec un pic d'infections virales jusqu'au mois de février.
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Le paréchovirus
- Le paréchovirus est un autre virus commun qui provoque des symptômes de type grippal chez les enfants. Pendant la pandémie de la COVID-19, il a disparu des hôpitaux, mais maintenant il prend sa revanche...
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Le paréchovirus
- La plupart des enfants qui contractent ce virus ne ressentent que des symptômes mineurs. Mais il peut être dangereux pour les bébés de moins de trois mois, certains développent des symptômes de type septicémie ou des infections du système nerveux central, ce qui peut augmenter le risque de problèmes de développement à plus long terme.
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Le paréhovirus
- Les experts se demandent si l'augmentation du nombre de parechovirus est une conséquence directe de la pandémie de la COVID-19.
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Le choléra
- Le choléra est de retour à Haïti. Les cas sont nombreux sur l'île. Cette infection provoque de graves diarrhées, et vous pouvez l'attraper en buvant de l'eau non potable, en mangeant des aliments qui ont été cuits dedans, ou cuisinés par une personne malade.
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Le choléra
- Selon la journaliste Sarah Braner, il est possible que cette infection qui circule actuellement soit une descendante de celle qui a été introduite dans le pays il y a plus de 10 ans par les troupes de l'ONU, qui apportaient des secours aux victimes du tremblement de terre. Mais la maladie touche aussi 25 autres pays, dont la Syrie et le Malawi.
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Le choléra
- Les médecins ont lancé une campagne de prévention pour limiter les cas. L'OMS a précisé que "des mesures urgentes sont nécessaires pour augmenter la production mondiale de vaccins". En attendant, les vaccins contre le choléra sont rationnés à un par personne au lieu des deux habituels, afin de protéger davantage de personnes à court terme.
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Les IST
- Depuis la fin des restrictions liées à la COVID-19, les IST ont fait leur retour. Aux États-Unis et au Canada, les cas de syphilis, de gonorrhée et de chlamydia ont augmenté. Dans les autres régions du monde, c'est surtout les cas de syphilis classique ou congénitale qui sont en hausse.
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Les IST
- Selon l'OMS, la principale raison de la réapparition en force des IST est que, pendant la pandémie de la COVID-19, de nombreux pays avaient une faible couverture des services de prévention, de dépistage et de traitement des infections sexuellement transmissibles. L'hépatite A a également fait son retour alors qu'elle n'est pas courante !
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Les IST
- L'OMS appelle les gouvernements à augmenter le financement des services de lutte contre les IST et à concentrer leurs efforts sur le développement des services de prévention, de dépistage et de traitement des IST. Elle a aussi demandé aux pays de s'opposer à la stigmatisation et à la honte que l'on associe à ces maladies, qui peuvent rendre encore plus difficile l'élimination des épidémies.
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Le syndrome inflammatoire multisystémique
- Le syndrome inflammatoire multisystémique chez l'enfant se traduit par des symptômes liés à l'inflammation, comme un gonflement des organes et des tissus, et nécessite une hospitalisation. Il a été détecté pour la première fois en avril 2020, et est lié à la COVID-19. Les experts étudient encore la cause et les facteurs de risque de cette maladie.
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Le syndrome inflammatoire multisystémique
- Ceux qui la développent subissent souvent un gonflement et une irritation des vaisseaux sanguins, alors que la COVID-19 ne provoque que des symptômes basiques chez les enfants. Heureusement, cette maladie est rare et facile à guérir à l'aide de soins médicaux. Mais dans certains cas, elle peut entraîner une maladie potentiellement mortelle ou la mort.
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Le syndrome inflammatoire multisystémique
- Malgré que ce soit rare, certains adultes peuvent développer des symptômes de cette maladie. Dans ce cas, on parle de syndrome inflammatoire multisystémique de l'adulte. Elle est également liée à une infection actuelle ou antérieure par le virus responsable de la COVID-19.
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La COVID-19
- Pour la plupart d'entre nous, la COVID-19 est un souvenir récent ou une situation d'actualité, car elle continue d'infecter et de tuer des milliers de personnes dans le monde.
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La COVID-19
- Actuellement, les variantes de ce coronavirus qui circulent changent régulièrement.
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La COVID-19
- Il faut continuer de mettre en place des gestes barrières et bien se laver les mains dès que possible pour éviter toute contagion. Sources: (Insider) (NHS) (CBS News) (WHO) Découvrez aussi: Ces personnalités publiques luttent contre des maladies graves
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La polio
- La première maladie à avoir fait son retour après la pandémie est la polio. Elle se transmet par les excréments, c'est pourquoi il est important de vous laver les mains avant de les porter à votre bouche. Mais vous pouvez aussi l'attraper à travers la nourriture ou une eau contaminée.
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La polio
- Les personnes infectées par le virus de la polio risquent d'être paralysées, c'est ce qui est arrivé à des centaines de milliers d'enfants au début du 20e siècle. Depuis l'arrivée du vaccin, elle ne circulait plus qu'au Pakistan et en Afghanistan, mais elle est réapparue aux États-Unis et au Royaume-Uni après la pandémie…
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La polio
- Selon Oliver Rosenbauer, un chargé de communication pour l'Initiative Mondiale pour l'Éradication de la Poliomyélite (IMEP) et l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), nous devrions éradiquer la polio par la vaccination. "Si nous ne parvenons pas à éradiquer la polio, elle ne va pas rester au Pakistan, en Afghanistan - elle se répandra sans arrêt.", a t-il déclaré.
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La scarlatine
- Cette infection contagieuse est causée par le streptocoque A et touche principalement les jeunes enfants. Elle provoque des symptômes similaires à ceux de la grippe, comme une haute température, des maux de gorge et un gonflement des glandes. Parfois, la langue peut devenir blanche, ce qui aide les médecins à identifier la maladie.
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La scarlatine
- La scarlatine a fait son retour après la pandémie et a tué au moins 25 enfants au Royaume-Uni. Selon les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le nombre d'infections à streptocoques A a également augmenté aux États-Unis, mais aucun décès n'a été enregistré.
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La scarlatine
- Heureusement, c'est une infection bactérienne, ce qui signifie qu'elle peut être traitée par antibiotiques. Pour éviter de contaminer les autres, il est important de se laver les mains avec du savon ainsi que d'utiliser des mouchoirs et de les jeter rapidement.
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La rougeole
- 82 cas de rougeole ont été reportés en Ohio (États-Unis) après la pandémie, mais si aucun n'a été fatal, 32 patients ont dû être hospitalisés. Dans le Minnesota (toujours aux États-Unis), 22 infections ont également été signalées, après 3 ans d'absence de la maladie.
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La rougeole
- Seuls les enfants qui n'étaient pas vaccinés sont tombés malades (mais on ne savait pas si quatre d'entre eux avaient reçu le vaccin ou non). Selon le CDC, la vaccination contre la rougeole est en déclin depuis l'arrivée de la COVID-19, dans le monde entier.
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La rougeole
- Selon Jennifer Heath, coordinatrice du programme de vaccination pour le ministère de la santé du Minnesota, le virus de la rougeole est si contagieux que "même une petite baisse du taux de couverture vaccinale signifie que des milliers d'enfants supplémentaires pourraient être vulnérables à la maladie". Selon les experts, il pourrait y avoir d'autres épidémies dans les années à venir dans les régions du monde où la couverture vaccinale est inférieure à 95 %.
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Mpox
- Avant la pandémie, la Mpox touchait essentiellement les pays d'Afrique de l'Ouest et Centrale. Mais à partir de mai 2022, on a reporté 83 500 cas dans le monde, dont 25 morts.
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Mpox
- Elle se transmet si vous touchez les vêtements, la literie ou les serviettes utilisées par une personne atteinte de la variole dont les cloques sont entrées en contact avec, ou simplement si elle tousse et éternue trop proche de vous. Généralement, les premiers symptômes sont de type grippal, puis une éruption cutanée apparaît d'abord sur le visage, avant de s'étendre sur le corps.
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Mpox
- Depuis le début de l'année 2023, le virus semble disparaître peu à peu, grâce aux vaccins, aux traitements et aux mesures de prévention communautaires.
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Virus respiratoire syncytial (VRS)
- Les cas de bronchiolite, une infection virale généralement causée par le virus respiratoire syncytial (VRS), sont montés en flèche au cours de la saison hivernale post-pandémie. Bien qu'elle soit courante, elle augmente surement à cause de la "dette immunitaire", qui signifie que de nombreux enfants qui n'ont pas contracté de maladies infantiles communes pendant deux ans sont tous infectés maintenant.
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Virus respiratoire syncytial (VRS)
- Cette infection respiratoire qui touche les bébés et les enfants de moins de deux ans, peut généralement se soigner à la maison mais peut aussi être plus grave. C'est la première cause d'hospitalisation des enfants de moins de un an. Les plus à risques sont les grands prématurés, qui souffrent d'une maladie cardiaque ou pulmonaire ou qui ont un système immunitaire affaibli.
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Virus respiratoire syncytial (VRS)
- Même si cette maladie est courante, elle a été particulièrement intense en raison des autres virus et bactéries dans l'air. Il a fallu attendre plus pour recevoir des soins, et les maladies hivernales vont continuer à se propager avec un pic d'infections virales jusqu'au mois de février.
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Le paréchovirus
- Le paréchovirus est un autre virus commun qui provoque des symptômes de type grippal chez les enfants. Pendant la pandémie de la COVID-19, il a disparu des hôpitaux, mais maintenant il prend sa revanche...
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Le paréchovirus
- La plupart des enfants qui contractent ce virus ne ressentent que des symptômes mineurs. Mais il peut être dangereux pour les bébés de moins de trois mois, certains développent des symptômes de type septicémie ou des infections du système nerveux central, ce qui peut augmenter le risque de problèmes de développement à plus long terme.
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Le paréhovirus
- Les experts se demandent si l'augmentation du nombre de parechovirus est une conséquence directe de la pandémie de la COVID-19.
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Le choléra
- Le choléra est de retour à Haïti. Les cas sont nombreux sur l'île. Cette infection provoque de graves diarrhées, et vous pouvez l'attraper en buvant de l'eau non potable, en mangeant des aliments qui ont été cuits dedans, ou cuisinés par une personne malade.
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Le choléra
- Selon la journaliste Sarah Braner, il est possible que cette infection qui circule actuellement soit une descendante de celle qui a été introduite dans le pays il y a plus de 10 ans par les troupes de l'ONU, qui apportaient des secours aux victimes du tremblement de terre. Mais la maladie touche aussi 25 autres pays, dont la Syrie et le Malawi.
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Le choléra
- Les médecins ont lancé une campagne de prévention pour limiter les cas. L'OMS a précisé que "des mesures urgentes sont nécessaires pour augmenter la production mondiale de vaccins". En attendant, les vaccins contre le choléra sont rationnés à un par personne au lieu des deux habituels, afin de protéger davantage de personnes à court terme.
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Les IST
- Depuis la fin des restrictions liées à la COVID-19, les IST ont fait leur retour. Aux États-Unis et au Canada, les cas de syphilis, de gonorrhée et de chlamydia ont augmenté. Dans les autres régions du monde, c'est surtout les cas de syphilis classique ou congénitale qui sont en hausse.
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Les IST
- Selon l'OMS, la principale raison de la réapparition en force des IST est que, pendant la pandémie de la COVID-19, de nombreux pays avaient une faible couverture des services de prévention, de dépistage et de traitement des infections sexuellement transmissibles. L'hépatite A a également fait son retour alors qu'elle n'est pas courante !
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Les IST
- L'OMS appelle les gouvernements à augmenter le financement des services de lutte contre les IST et à concentrer leurs efforts sur le développement des services de prévention, de dépistage et de traitement des IST. Elle a aussi demandé aux pays de s'opposer à la stigmatisation et à la honte que l'on associe à ces maladies, qui peuvent rendre encore plus difficile l'élimination des épidémies.
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Le syndrome inflammatoire multisystémique
- Le syndrome inflammatoire multisystémique chez l'enfant se traduit par des symptômes liés à l'inflammation, comme un gonflement des organes et des tissus, et nécessite une hospitalisation. Il a été détecté pour la première fois en avril 2020, et est lié à la COVID-19. Les experts étudient encore la cause et les facteurs de risque de cette maladie.
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Le syndrome inflammatoire multisystémique
- Ceux qui la développent subissent souvent un gonflement et une irritation des vaisseaux sanguins, alors que la COVID-19 ne provoque que des symptômes basiques chez les enfants. Heureusement, cette maladie est rare et facile à guérir à l'aide de soins médicaux. Mais dans certains cas, elle peut entraîner une maladie potentiellement mortelle ou la mort.
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Le syndrome inflammatoire multisystémique
- Malgré que ce soit rare, certains adultes peuvent développer des symptômes de cette maladie. Dans ce cas, on parle de syndrome inflammatoire multisystémique de l'adulte. Elle est également liée à une infection actuelle ou antérieure par le virus responsable de la COVID-19.
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La COVID-19
- Pour la plupart d'entre nous, la COVID-19 est un souvenir récent ou une situation d'actualité, car elle continue d'infecter et de tuer des milliers de personnes dans le monde.
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- Actuellement, les variantes de ce coronavirus qui circulent changent régulièrement.
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- Il faut continuer de mettre en place des gestes barrières et bien se laver les mains dès que possible pour éviter toute contagion. Sources: (Insider) (NHS) (CBS News) (WHO) Découvrez aussi: Ces personnalités publiques luttent contre des maladies graves
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La résurgence de graves maladies après la pandémie de COVID
Ces maladies infectieuses en hausse cette année pourraient avoir des conséquences néfastes pour les années à venir
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Alors que le monde entier affrontait la COVID-19 en 2020 et 2021, de nombreuses autres maladies infectieuses se développaient au même moment sans que nous y portions vraiment attention… Les contacts physiques étant sévèrement limités, la possibilité de transmettre une infection a été considérablement réduite et il n'y a pas eu (heureusement) d'épidémie majeure autre que la COVID-19 qui a secoué le système de santé mondial. Mais les années suivantes ont été marquées par l'apparition de nouvelles maladies, telles que le mpox (anciennement appelée variole du singe) ou le retour de certaines autres, comme la rougeole et la polio, dans des endroits où nous pensions qu'elles ne reviendraient jamais.
Si certaines de ces épidémies ont été de courte durée, les experts estiment qu'un bon nombre des maladies qui ont resurgi après la pandémie seront encore présentes dans les années à venir.
Parcourez cette galerie pour découvrir quelles maladies sont prévues pour les prochaines années.
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