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L'IMC : un outil courant, mais critiqué
- L'indice de masse corporelle (IMC) est l'un des outils les plus utilisés pour évaluer le poids et les risques pour la santé, bien qu'il ait fait l'objet de nombreuses critiques au fil des années.
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Limites de l'IMC
- L'IMC peut conduire à des classifications erronées en négligeant des éléments tels que la masse musculaire ou la répartition des graisses. Par exemple, un athlète pourrait être considéré comme "obèse", tandis que des personnes présentant un syndrome métabolique risquent d’être mal catégorisées.
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Pourquoi l'IMC reste-t-il populaire ?
- L'IMC, en raison de sa simplicité et de sa capacité à offrir un repère numérique rapide, reste couramment utilisé. Toutefois, des outils plus complets, tels que les scans corporels, fournissent une évaluation plus précise de la santé, mais sont moins accessibles.
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L'indice de rondeur corporelle (IRC)
- L'indice de rondeur corporelle (IRC) propose un nouveau modèle d'évaluation de l'obésité et des risques associés, en utilisant les mesures de la taille et des hanches pour déterminer la rondeur de la zone médiane du corps.
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La composition corporelle est plus importante que le poids
- Les recherches montrent que la composition corporelle (répartition des graisses, des muscles et des os) a un impact plus important sur la santé que le poids corporel total. En particulier, la graisse située autour de la taille est fortement liée à un risque accru de maladies cardiaques et de diabète.
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Prédiction des risques pour la santé
- Les études indiquent que l'IRC est un prédicteur plus fiable des risques de maladies et de la mortalité. Il permet une évaluation plus précise que l'IMC, qui reste limité lorsqu'il s'agit de prévoir les conditions de santé spécifiques à chaque individu.
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Historique de l'IMC
- L'IMC a été développé au début du 19e siècle à partir de données principalement collectées auprès d'hommes blancs. Il a gagné en popularité dans les années 1950, lorsque les compagnies d'assurance ont établi un lien entre le poids et la fréquence des demandes d'indemnisation. Il s'est pas la suite imposé comme un outil de mesure des risques pour la santé.
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Préjudices
- L'IMC ne prend pas en compte les différences liées à l'origine ethnique, au genre ou à l'âge, qui peuvent pourtant influencer la santé. Face à ses limites et aux préjudices historiques qu'il a causés, plusieurs institutions médicales recommandent désormais de l'utiliser en complément d'autres indicateurs.
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Une approche plus inclusive
- Il est recommandé d'associer l'IMC à d'autres mesures, telles que le tour de taille et la graisse viscérale, qui sont directement liés à des risques de santé comme le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.
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Graisse viscérale et graisse sous-cutanée
- La graisse viscérale, située autour des organes vitaux, représente un risque pour la santé bien plus élevé que la graisse sous-cutanée. Évaluer la graisse viscérale est essentiel pour mesurer les véritables risques pour la santé.
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La silhouette du corps
- L'IMC repose sur l'hypothèse que le corps humain a une forme cylindrique, ce qui ne tient pas compte des courbes naturelles, particulièrement chez les femmes. En revanche, l'IRC utilise un modèle ovale plus réaliste pour évaluer la santé avec davantage de précision.
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Le niveau de rondeur
- L'IRC mesure l'excentricité de la silhouette abdominale, autrement dit son niveau de rondeur, proposant une méthode plus personnalisée et précise pour évaluer les risques pour la santé par rapport à l'IMC.
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Données de santé diversifiées
- L'IRC a été élaboré à partir de vastes données de santé collectées auprès de populations diversifiées, permettant une analyse plus représentative et précise des risques pour la santé.
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Fourchette de scores
- Les scores de l'IRC varient de 1 à 16, les valeurs les plus élevées indiquant des corps plus ronds. La majorité des individus se situent entre 1 et 10, ce qui permet d’évaluer les risques pour la santé en fonction de la forme du corps et de la répartition des graisses.
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Prédictions de santé
- Au cours de la dernière décennie, des études internationales ont mis en lumière le potentiel de l'IRC pour prédire certains risques pour la santé. Toutefois, sa capacité à évaluer la mortalité toutes causes confondues n’a été examinée que récemment.
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Lien entre IRC et mortalité
- Une étude publiée dans JAMA Network Open a analysé les données de 33 000 adultes collectées sur près de deux décennies, en classant les participants selon leur score d'IRC pour étudier les liens entre leur état de santé et leur mortalité.
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Résultats de l'étude
- Les données ont révélé une tendance en forme de U : les individus ayant les scores d'IRC les plus élevés présentaient un risque accru de mortalité, tandis que ceux avec les scores les plus bas affichaient également des résultats défavorables. L'IRC s'est montré plus précis et nuancé que l'IMC pour estimer les risques de maladies.
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Différences démographiques
- L'IRC prend en compte les différences démographiques, telles que l'origine ethnique, ce qui est essentiel pour évaluer les risques pour la santé. Par exemple, les personnes d'origine asiatique peuvent présenter une quantité plus importante de graisse viscérale, même avec un IMC relativement bas.
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Recherches supplémentaires
- Bien que les preuves du potentiel de l'IRC se multiplient, les experts soulignent qu'il en est encore à ses débuts d'utilisation. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer pleinement son applicabilité en pratique clinique.
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Intégration en pratique clinique
- L'IRC pourrait compléter, mais pas remplacer, l'IMC. Bien qu'il offre une évaluation plus personnalisée, son utilisation reste limitée en pratique clinique, l'IMC étant profondément enraciné dans les systèmes de santé actuels.
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Défis liés au remplacement de l'IMC
- L'IMC est profondément intégré aux pratiques cliniques, qu'il s'agisse des courbes de croissance, des dosages médicamenteux ou des études de population. Le remplacer par un système comme l'IRC nécessiterait des changements majeurs à travers l'ensemble du secteur de la santé.
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Une vision plus complète
- L'IRC ne nécessite pas de technologies sophistiquées. L'intégrer aux côtés de l'IMC dans la pratique clinique pourrait fournir aux professionnels de santé une vision plus complète de l'état de santé de leurs patients.
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La méthode de référence
- Les scans spécialisés offrent l'évaluation la plus précise de la composition corporelle. L’IRM est la méthode de référence, mais son coût élevé et son accessibilité limitée en restreignent l’usage.
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Scanners abordables
- Une alternative plus abordable, le scan par absorptiométrie biphotonique à rayons-X (DXA), offre également des résultats précis.
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Alternative aux indices généraux
- Certains experts préconisent d'abandonner les indices généraux comme l'IMC et l'IRC au profit d'outils de santé personnalisés. Idéalement, les patients pourraient bénéficier de scans précis dès leur arrivée dans un établissement de santé.
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Impact sur la santé mentale
- L'IMC, bien qu'utilisé pour évaluer la santé physique, peut contribuer à la stigmatisation du poids et nuire à la santé mentale des patients, surtout lorsqu'il est appliqué sans considérer la composition corporelle globale.
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Préjugés liés au poids
- Mesurer le tour de taille, comme le fait l’IRC, peut accentuer les préjugés liés au poids si cela n’est pas abordé avec tact. Il est essentiel que les professionnels de santé effectuent ces mesures de manière bienveillante et sans jugement.
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Objectifs de santé
- Les professionnels de santé pourraient intégrer l’IRC aux côtés de l’IMC pour mieux accompagner les patients dans leurs objectifs de santé, en particulier dans la prise en charge de l’obésité, des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2.
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L'évolution des mesures corporelles
- Avec l’avancée des recherches sur l’IRC et d’autres indicateurs, celui-ci pourrait s’imposer comme un outil clé pour évaluer les risques de santé. Néanmoins, la transition depuis l’IMC sera lente, le véritable progrès résidant dans une approche globale et individualisée. Sources: (Verywell Health) (Medical News Today) Découvrez aussi : Bilan de santé : êtes-vous à jour ?
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L'IMC : un outil courant, mais critiqué
- L'indice de masse corporelle (IMC) est l'un des outils les plus utilisés pour évaluer le poids et les risques pour la santé, bien qu'il ait fait l'objet de nombreuses critiques au fil des années.
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Limites de l'IMC
- L'IMC peut conduire à des classifications erronées en négligeant des éléments tels que la masse musculaire ou la répartition des graisses. Par exemple, un athlète pourrait être considéré comme "obèse", tandis que des personnes présentant un syndrome métabolique risquent d’être mal catégorisées.
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Pourquoi l'IMC reste-t-il populaire ?
- L'IMC, en raison de sa simplicité et de sa capacité à offrir un repère numérique rapide, reste couramment utilisé. Toutefois, des outils plus complets, tels que les scans corporels, fournissent une évaluation plus précise de la santé, mais sont moins accessibles.
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L'indice de rondeur corporelle (IRC)
- L'indice de rondeur corporelle (IRC) propose un nouveau modèle d'évaluation de l'obésité et des risques associés, en utilisant les mesures de la taille et des hanches pour déterminer la rondeur de la zone médiane du corps.
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La composition corporelle est plus importante que le poids
- Les recherches montrent que la composition corporelle (répartition des graisses, des muscles et des os) a un impact plus important sur la santé que le poids corporel total. En particulier, la graisse située autour de la taille est fortement liée à un risque accru de maladies cardiaques et de diabète.
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Prédiction des risques pour la santé
- Les études indiquent que l'IRC est un prédicteur plus fiable des risques de maladies et de la mortalité. Il permet une évaluation plus précise que l'IMC, qui reste limité lorsqu'il s'agit de prévoir les conditions de santé spécifiques à chaque individu.
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Historique de l'IMC
- L'IMC a été développé au début du 19e siècle à partir de données principalement collectées auprès d'hommes blancs. Il a gagné en popularité dans les années 1950, lorsque les compagnies d'assurance ont établi un lien entre le poids et la fréquence des demandes d'indemnisation. Il s'est pas la suite imposé comme un outil de mesure des risques pour la santé.
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Préjudices
- L'IMC ne prend pas en compte les différences liées à l'origine ethnique, au genre ou à l'âge, qui peuvent pourtant influencer la santé. Face à ses limites et aux préjudices historiques qu'il a causés, plusieurs institutions médicales recommandent désormais de l'utiliser en complément d'autres indicateurs.
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8 / 30 Fotos
Une approche plus inclusive
- Il est recommandé d'associer l'IMC à d'autres mesures, telles que le tour de taille et la graisse viscérale, qui sont directement liés à des risques de santé comme le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.
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Graisse viscérale et graisse sous-cutanée
- La graisse viscérale, située autour des organes vitaux, représente un risque pour la santé bien plus élevé que la graisse sous-cutanée. Évaluer la graisse viscérale est essentiel pour mesurer les véritables risques pour la santé.
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La silhouette du corps
- L'IMC repose sur l'hypothèse que le corps humain a une forme cylindrique, ce qui ne tient pas compte des courbes naturelles, particulièrement chez les femmes. En revanche, l'IRC utilise un modèle ovale plus réaliste pour évaluer la santé avec davantage de précision.
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Le niveau de rondeur
- L'IRC mesure l'excentricité de la silhouette abdominale, autrement dit son niveau de rondeur, proposant une méthode plus personnalisée et précise pour évaluer les risques pour la santé par rapport à l'IMC.
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12 / 30 Fotos
Données de santé diversifiées
- L'IRC a été élaboré à partir de vastes données de santé collectées auprès de populations diversifiées, permettant une analyse plus représentative et précise des risques pour la santé.
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Fourchette de scores
- Les scores de l'IRC varient de 1 à 16, les valeurs les plus élevées indiquant des corps plus ronds. La majorité des individus se situent entre 1 et 10, ce qui permet d’évaluer les risques pour la santé en fonction de la forme du corps et de la répartition des graisses.
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Prédictions de santé
- Au cours de la dernière décennie, des études internationales ont mis en lumière le potentiel de l'IRC pour prédire certains risques pour la santé. Toutefois, sa capacité à évaluer la mortalité toutes causes confondues n’a été examinée que récemment.
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Lien entre IRC et mortalité
- Une étude publiée dans JAMA Network Open a analysé les données de 33 000 adultes collectées sur près de deux décennies, en classant les participants selon leur score d'IRC pour étudier les liens entre leur état de santé et leur mortalité.
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Résultats de l'étude
- Les données ont révélé une tendance en forme de U : les individus ayant les scores d'IRC les plus élevés présentaient un risque accru de mortalité, tandis que ceux avec les scores les plus bas affichaient également des résultats défavorables. L'IRC s'est montré plus précis et nuancé que l'IMC pour estimer les risques de maladies.
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Différences démographiques
- L'IRC prend en compte les différences démographiques, telles que l'origine ethnique, ce qui est essentiel pour évaluer les risques pour la santé. Par exemple, les personnes d'origine asiatique peuvent présenter une quantité plus importante de graisse viscérale, même avec un IMC relativement bas.
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Recherches supplémentaires
- Bien que les preuves du potentiel de l'IRC se multiplient, les experts soulignent qu'il en est encore à ses débuts d'utilisation. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer pleinement son applicabilité en pratique clinique.
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Intégration en pratique clinique
- L'IRC pourrait compléter, mais pas remplacer, l'IMC. Bien qu'il offre une évaluation plus personnalisée, son utilisation reste limitée en pratique clinique, l'IMC étant profondément enraciné dans les systèmes de santé actuels.
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Défis liés au remplacement de l'IMC
- L'IMC est profondément intégré aux pratiques cliniques, qu'il s'agisse des courbes de croissance, des dosages médicamenteux ou des études de population. Le remplacer par un système comme l'IRC nécessiterait des changements majeurs à travers l'ensemble du secteur de la santé.
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21 / 30 Fotos
Une vision plus complète
- L'IRC ne nécessite pas de technologies sophistiquées. L'intégrer aux côtés de l'IMC dans la pratique clinique pourrait fournir aux professionnels de santé une vision plus complète de l'état de santé de leurs patients.
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La méthode de référence
- Les scans spécialisés offrent l'évaluation la plus précise de la composition corporelle. L’IRM est la méthode de référence, mais son coût élevé et son accessibilité limitée en restreignent l’usage.
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Scanners abordables
- Une alternative plus abordable, le scan par absorptiométrie biphotonique à rayons-X (DXA), offre également des résultats précis.
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Alternative aux indices généraux
- Certains experts préconisent d'abandonner les indices généraux comme l'IMC et l'IRC au profit d'outils de santé personnalisés. Idéalement, les patients pourraient bénéficier de scans précis dès leur arrivée dans un établissement de santé.
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Impact sur la santé mentale
- L'IMC, bien qu'utilisé pour évaluer la santé physique, peut contribuer à la stigmatisation du poids et nuire à la santé mentale des patients, surtout lorsqu'il est appliqué sans considérer la composition corporelle globale.
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Préjugés liés au poids
- Mesurer le tour de taille, comme le fait l’IRC, peut accentuer les préjugés liés au poids si cela n’est pas abordé avec tact. Il est essentiel que les professionnels de santé effectuent ces mesures de manière bienveillante et sans jugement.
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Objectifs de santé
- Les professionnels de santé pourraient intégrer l’IRC aux côtés de l’IMC pour mieux accompagner les patients dans leurs objectifs de santé, en particulier dans la prise en charge de l’obésité, des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2.
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L'évolution des mesures corporelles
- Avec l’avancée des recherches sur l’IRC et d’autres indicateurs, celui-ci pourrait s’imposer comme un outil clé pour évaluer les risques de santé. Néanmoins, la transition depuis l’IMC sera lente, le véritable progrès résidant dans une approche globale et individualisée. Sources: (Verywell Health) (Medical News Today) Découvrez aussi : Bilan de santé : êtes-vous à jour ?
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L’IMC sous la loupe : un outil dépassé pour mesurer la santé ?
De nouvelles alternatives émergent pour mieux comprendre la santé globale
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L'indice de masse corporelle (IMC) est couramment utilisé pour évaluer les risques liés à la santé, mais il fait face à de nombreuses critiques en raison de ses limitations. C'est pourquoi l'indice de rondeur corporelle (IRC) commence à se faire une place en tant qu'alternative prometteuse, offrant une évaluation plus précise des risques de santé en prenant en compte non seulement le poids et la taille, mais aussi la forme du corps et la répartition de la graisse. Contrairement à l'IMC, l'IRC se base sur les mesures de la taille et des hanches, permettant ainsi d'obtenir une image plus fidèle de l'état de santé.
Vous êtes curieux ? Parcourez cette galerie pour découvrir les avantages de l'IRC.
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