Notre santé dépend bien moins de nos gènes que de ce qui nous entoure. C’est ce que révèle une vaste étude menée par Oxford Population Health, qui remet en question l’idée selon laquelle notre destin biologique serait gravé dans l’ADN. En scrutant les données de près d’un demi-million de personnes, les chercheurs ont identifié les véritables moteurs de notre longévité : le mode de vie, les conditions sociales et l’environnement.
Tabagisme, activité physique, revenus… Ces facteurs modifiables pèseraient bien plus lourd dans la balance que nos prédispositions génétiques. L’étude souligne ainsi l’importance cruciale d’agir, à la fois sur le plan individuel et à l’échelle des politiques publiques, pour améliorer la santé collective et prévenir les maladies évitables.
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