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Le meilleur: "Chambre avec vue" (1985) - À 19 ans, Helena Bonham Carter a impressionné les critiques dans cette production de Merchant Ivory, basée sur le roman d'E.M. Forster. Le New York Times souligne sa "performance remarquablement complexe".

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Le meilleur: "Hamlet" (1990) -

Le casting du film où Helena Bonham Carter incarne Ophelia est exceptionnel. Toutefois, la critique n'avait d'yeux que pour Mel Gibson et son personnage de Hamlet.

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Le meilleur: "Retour à Howards End" (1992) - Cette somptueuse adaptation du roman classique d'E.M. Forster, publié en 1910, fut très bien accueillie par la critique. Helena Bonham Carter sera même nominée pour un BAFTA Award. Le magazine Empire lui octroie une critique à quatre étoiles et le New York Times décrit l'actrice comme une "véritable révélation".

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Le pire: "Frankenstein" (1994) - Les critiques furent peu flatteuses envers cette version du récit gothique de Mary Shelley. Cette adaptation de Kenneth Branagh se voulait pourtant ambitieuse et fidèle au texte original. Bien qu'Helena Bonham Carter soit considérée comme "splendide" en amoureuse transie, Empire compare le film à une soirée acceptable qui aurait pu mieux finir.

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Le meilleur: "Maudite Aphrodite" (1995) - Rolling Stone note qu'en effectuant une apparition dans cette comédie romantique de Woody Allen, Helena Bonham Carter "commence doucement à se délivrer de ses corsets d'époque". La véritable star du film restera néanmoins Mira Sorvino.

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Le pire: "Portraits Chinois" (1996) - Ce film artistique n'a pas su capter l'intérêt du public. Empire remarque pourtant que le jeu d'Helena Bonham Carter, en français, "maintient la production en équilibre", tandis que Time Out se plaint de sa performance centrale "trop lourde et décousue".

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Le meilleur: "Les Ailes de la colombe" (1997) - Helena Bonham Carter a été nominée aux Oscars et aux BAFTA pour sa superbe performance. CNN dépeint le film comme "envoûtant". Variety encense l'actrice pour avoir su transmettre avec précision les humeurs changeantes de son personnage.

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Le meilleur: "Envole-moi" (1998) - Film Journal International met en avant la "brave performance" d'Helena Bonham Carter comme la raison principale pour voir cette comédie dramatique. Empire, en accord, salue le ton du film, "plutôt rationnel et redonnant foi en la vie".

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Le meilleur: "Fight Club" (1999) - Rolling Stone adore ce "film révolutionnaire" mettant en scène Ed Norton et Brad Pitt. Le magazine annonce que les deux acteurs, ainsi que le réalisateur David Fincher, sont "à l'apogée de leurs carrières". Il ajoute également: "Helena Bonham Carter, ressemblant à un animal sorti des enfers, n'a jamais été aussi dure et extraordinaire à la fois." Pour sa part, Roger Ebert, critique de cinéma aujourd'hui décédé, méprisa ce film qui, pour lui, ne mérite pas son casting de rêve.

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Le pire: "La Planète des singes" (2001) - Cette adaptation est principalement un remake du film de 1968. Dans cette version, le personnage d'Helena Bonham Carter est un chimpanzé sympathique répondant au nom d'Ari. Roger Ebart la décrira comme la "Eleanor Roosevelt des singes".

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Le pire: "Novocaïne" (2001) - Les critiques n'ont pas pris de pincettes concernant cette comédie aux allures de film noir. Le San Francisco Chronicle se plaint du casting étrange, du ton bancale et de l'histoire inintéressante. Empire tente d'être plus mesuré en expliquant que ce film "deux étoiles possède des moments à quatre étoiles".

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Le meilleur: "Les Noces funèbres" (2005) -

Helena Bonham Carter prête sa voix au personnage principal. Le site Scene-stealers décrit ce conte de fée de Tim Burton, réalisé en stop-motion, comme "délicieusement sombre". Le New York Times va plus loin en soulignant "l'amour [de Tim Burton] pour les os et la putréfaction".

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Le pire: "Charlie et la Chocolaterie" (2005) - Helena Bonham Carter a comme qui dirait pris le siège passager dans ce remake du film de 1971. Le magazine Slant concède que cette version est plus appliquée et sinistre que l'originale mais ne peut s'empêcher de le comparer à "une catastrophe dégoulinante [...] outrageusement sucrée".

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Le pire: "Conversation(s) avec une femme" (2006) - La technique de l'écran partagé employée par le film en a déconcerté plus d'un. Empire n'accorde que deux étoiles sur cinq à cette production. Le Chicago Reader dira qu'il s'agit de "beaucoup de bruit pour rien du tout".

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Le meilleur: "Sweeney Todd : Le Diabolique Barbier de Fleet Street" (2007) - La performance d'Helena Bonham Carter dans ce film a divisé la critique. Cette version cinématographique de Tim Burton est une adaptation de la comédie musicale de Stephen Sondheim. Variety loue son "interprétation hantée et musicalement habile". À l'inverse, The Boston Globe suggère qu'elle n'est pas faite pour le rôle et qu'elle "chante totalement faux". Le film, toutefois, a rencontré un franc succès auprès des spectateurs.

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Le pire: "Terminator Renaissance" (2009) -

Helena Bonham Carter n'a qu'un petit rôle dans ce film mais il reste crucial. Malheureusement, sa performance ne suffira pas à sauver cette production fustigée par le Time Out qui la considère être "un désastre d'incohérence et une véritable insulte à l'intelligence".

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Le meilleur: "Harry Potter et le Prince de sang-mêlé" (2009) - The Globe and Mail ne tarit pas d'éloges envers ses collègues Michael Gambon, Alan Rickman, Maggie Smith, etc... En revanche, la publication reste muette concernant l'interprétation d'Helena Bonham Carter. Variety commente tout même en notant sa performance, jouée avec "un abandon fascinant".

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Le meilleur: "Le Roman d'Enid Blyton" (2009) - The Guardian applaudit le portrait dressé par Helena Bonham Carter de l'auteure Enid Blyton en la qualifiant de "captivante". L'actrice a même obtenu une nomination aux BAFTA dans la catégorie meilleure actrice.

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Le pire: "Harry Potter et les reliques de la mort - 1ère partie" (2010) - En décrivant ce volet de la triomphale saga comme étant "de plus en plus triste et lent", le New York Times a balayé les efforts du casting, y compris ceux d'Helena Bonham Carter.

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Le meilleur: "Le Discours d'un roi" (2010) - Ce film dramatique et historique, acclamé par la critique, a valu à Helena Bonham Carter d'empocher un BAFTA, dans la catégorie meilleur rôle secondaire féminin, ainsi qu'une nomination aux Oscars. Le Guardian qualifie le film de "drame immensément agréable". Le Hollywood Reporter décrit le rôle d'Helena Bonham Carter comme étant une "révélation".

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Le meilleur: "Les Misérables" (2012) - Dans sa critique "premier regard", le journal The Guardian ne tarit pas d'éloges pour l'actrice et remarque sa capacité "incroyable à voler la vedette".

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Le pire: "Dark Shadows" (2012) - Le Telegraph n'est pas convaincu par ce film de vampires fantasque et surnaturel, réalisé par Tim Burton. Il n'apprécie pas non plus le personnage d'Helena Bonham Carter, qui serait "son rôle le moins substantiel jusqu'à présent". IndieWire décrit la production comme "paresseuse et incohérente".

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Le meilleur: "Liz Taylor et Richard Burton : Les Amants terribles" (2013) - Ce biopic au sujet d'Elizabeth Taylor et Richard Burton s'est attiré des commentaires positifs. Le New York Times décrit l'interprétation d'Helena Bonham Carter, dans le rôle de Liz Taylor, comme "instantanément crédible". Variety la félicite pour son imitation parfaite de la voix de Liz Taylor.

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Le pire: "L'Extravagant Voyage du jeune et prodigieux T. S. Spivet" (2013) - Le Hollywood Reporter salue Helena Bonham Carter pour avoir "rendu son rôle suffisamment complexe". Cependant, le Sunday Times ne recommande pas le film qu'il juge "ennuyeux et faisant des détours inutiles".

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Le pire: "The Lone Ranger" (2013) - Fustigé par la critique, le film est la risée du journal The Atlantic pour "avoir pris la fatidique décision de ne pas se terminer". Time Out le qualifie de "frustrant, paresseux et sans vie".

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Le meilleur: "Suffragette" (2015) - En référence à son jeu, The Wall Street Journal souligne l'intelligence singulière d'Helena Bonham Carter, ainsi que son esprit sournois et malin. La publication critique cependant le film qu'elle considère trop "terne". Dans ses commentaires, le Guardian donne le bénéfice du doute à l'actrice, en confiant à ses lecteurs que son interprétation est "correcte".

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Le meilleur: "Cendrillon" (2015) -

La version cinématographique de ce classique de Disney, réalisée par Kenneth Branagh, a été bien reçue par la critique, à en juger par celle élogieuse du Time. Le "pincement de lèvres coquin" d'Helena Bonham Carter, tout en remuant sa baguette magique, a su plaire au magazine Glamour.

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