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Oradour-sur-Glane : l'horreur d'un massacre de la Seconde Guerre mondiale
- Le 10 juin 1944, la commune d'Oradour-sur-Glane a été le théâtre de l'un des crimes de guerre les plus odieux de la Seconde Guerre mondiale. En cette chaude journée d'été, les troupes SS ont pénétré dans ce village rural tranquille et ont massacré 642 de ses habitants. Même selon les normes dépravées des nazis, il s'agissait d'un acte de sauvagerie particulièrement brutal et impitoyable. Aujourd'hui, les ruines d'Oradour-sur-Glane constituent un mémorial permanent à la mémoire des victimes. Pour découvrir ce qui s'est passé et pourquoi il ne faut jamais l'oublier, cliquez sur la galerie suivante.
© Shutterstock
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Oradour-sur-Glane
- Oradour-sur-Glane est située en région Nouvelle-Aquitaine, dans le sud-ouest. Cette photo montre une rue du village, le 10 juin 1944, après l'attaque des troupes allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale.
© Shutterstock
1 / 30 Fotos
Atrocité
- Au cours d'une journée d'été, une troupe allemande est entrée dans la ville après qu'un rapport l'ait informée que l'officier Waffen-SS était capturé dans le village. Les Nazis ont alors décidé de se venger.
© Getty Images
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Un crime de guerre
- Les maisons en ruine et les rues jonchées de gravats rappellent en permanence l'un des crimes de guerre les plus choquants perpétrés pendant la Seconde Guerre mondiale.
© Public Domain
3 / 30 Fotos
Scellé
- Après avoir pénétré dans le village et l'avoir bouclé, un bataillon nazi dirigé par le SS-Sturmbannführer Adolf Diekmann a rassemblé tout le monde sur la place du village.
© Shutterstock
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Les femmes et les enfants à part - Les femmes et les enfants ont ensuite été séparés et enfermés dans l'église (photo).
© Public Domain
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Les hommes emportés pour être tués
- Pendant ce temps, les hommes ont été rassemblés dans des granges, des hangars et des remises.
© Getty Images
6 / 30 Fotos
Executés
- Avec des machines déjà prêtes, les soldats ont ouvert le feu sur les hommes, visant leurs jambes. Et une fois au sol, les victimes ont été arrosées d'essence et les bâtiments ont été enflammés.
© Getty Images
7 / 30 Fotos
Tirs - Le même sort attendait les femmes et les enfants. Un engin incendiaire a été placé près de l'église. Lorsqu'il s'est enflammé, les villageois piégés ont tenté de s'échapper par les fenêtres des portes brisées. Ils ont été abattus pendant qu'ils le faisaient.
© Shutterstock
8 / 30 Fotos
Carnage
- On peut encore voir des trous de balles dans les murs des bâtiments alentours.
© Getty Images
9 / 30 Fotos
Meurtres
- Dans l'église, on peut retrouver les restes rouillés d'une poussette d'enfant, que les femmes avaient laissées pour tenter de s'enfuir. Au total, 247 femmes et 205 enfants ont péri dans l'attaque.
© Getty Images
10 / 30 Fotos
Bilan des décès - Le bilan définitif de l'attaque des remises est de 190 hommes morts.
© Shutterstock
11 / 30 Fotos
Partiellement rasé
- Par la suite, les SS ont partiellement rasé le village, pillant les logements et mettant le feu à tout ce qui pouvait brûler.
© Getty Images
12 / 30 Fotos
Poignant
- Les restes de ce vélo carbonisé donnent la chair de poule, car on imagine que son propriétaire l'a abandonné dans l'espoir de fuir à l'arrivée des troupes allemandes.
© Getty Images
13 / 30 Fotos
Cemetière
- Plusieurs jours plus tard, les survivants ont été autorisés à enterrer les corps des 642 personnes décédées dans cette atroce attaque. Aujourd'hui, le cimetière contient les restes macabres de tous ceux qui ont péri.
© Shutterstock
14 / 30 Fotos
Martyrs
- Les martyrs d'Oradour-sur-Glane sont commémorés partout dans le village, et on peut remarquer les importantes différences d'âges entre les victimes.
© Getty Images
15 / 30 Fotos
Charles de Gaulle (1890–1970) - Après la guerre, le président français a ordonné que les ruines d'Oradour-sur-Glane soient préservées en tant que mémorial et musée permanent.
© Public Domain
16 / 30 Fotos
Destruction totale
- Aujourd'hui, marcher dans les rues du village permet de ressentir ce que les survivants du massage ont pu découvrir après les faits... Désolation et destruction.
© Getty Images
17 / 30 Fotos
Restés sur place
- Les véhicules brûlés en 1944 sont restés là où ils avaient été garés par leurs propriétaires à l'époque.
© Getty Images
18 / 30 Fotos
Centre de la mémoire d'Oradour
- Un centre commémoratif se trouve près des ruines du village et abrite une exposition permanente d'objets récupérés sur le site. L'exposition comprend des photographies de la SS Panzer Division Das Reich se dirigeant vers Oradour-sur-Glane le jour du massacre.
© Public Domain
19 / 30 Fotos
Gravé dans la mémoire - Le musée expose des objets personnels tels que ces montres de poche, dont les aiguilles sont figées dans le temps et enregistrent le moment exact où leurs propriétaires ont été brûlés vifs.
© Shutterstock
20 / 30 Fotos
Répercutions - Cette photo a été prise quelques heures seulement après l'événement. On peut observer les restes brisés et fumants du village.
© Getty Images
21 / 30 Fotos
Qu'est-il arrivé aux responsables ? - Des villageois voisins examinent les maisons incendiées d'Oradour-sur-Glane quelques jours après la tuerie. Mais qu'est-il arrivé aux auteurs de ce crime odieux ?
© Getty Images
22 / 30 Fotos
Heinz Lammerding (1905-1971) - Heinz Lammerding commandait la Panzer Division SS Das Reich qui a perpétré le massacre d'Oradour-sur-Glane. En 1953, il a été jugé en France pour crimes de guerre et a été condamné à mort par contumace. Cependant, il n'a jamais été extradé d'Allemagne de l'Ouest où il vivait ouvertement. Il est mort en homme libre en 1971.
© Getty Images
23 / 30 Fotos
Jugement - Des hommes accusés du massacre de plus de 600 personnes dans le village d'Oradour-sur-Glane font face au tribunal militaire de Bordeaux, le 14 janvier 1953.
© Getty Images
24 / 30 Fotos
Adolf Diekmann (1914–1944) - La SS Panzer Division Das Reich comprenait une unité connue sous le nom de 4e SS Panzer Grenadier Regiment Der Führer. Adolf Diekmann commandait le 1er bataillon. C'est lui qui a rassemblé les villageois et ordonné leur exécution. Il n'a jamais été jugé pour les crimes commis à Oradour-sur-Glane, mais a été tenu pour responsable. Il a été tué au combat en Normandie.
© Public Domain
25 / 30 Fotos
Heinz Barth (1920–2007) - Heinz Barth est le seul membre SS impliqué dans le massacre d'Oradour à avoir été jugé, ceci en 1983 en Allemagne de l'Est. Il a dirigé le groupe qui a forcé les hommes du village à entrer dans une grange et a commandé aux troupes d'ouvrir le feu. Libéré de prison en 1997, il est mort à 86 ans en 2007, après avoir vécu confortablement d'une pension de guerre.
© NL Beeld
26 / 30 Fotos
Le récit d'un survivant - Robert Hébras (photo), l'un des six survivants des massacres, a beaucoup écrit sur les événements du 10 juin 1944. Il a également fait l'objet d'un documentaire sur cette atrocité. Il tient ici une photo de Heinz Barth après la libération de ce criminel de guerre nazi.
© NL Beeld
27 / 30 Fotos
N'oublions jamais - Malgré son âge avancé, Robert Hébras continue d'organiser des visites guidées dans les ruines du village et travaille activement au Centre de la mémoire d'Oradour.
© NL Beeld
28 / 30 Fotos
Le nouveau village d'Oradour-sur-Glane
- Le nouveau village d'Oradour-sur-Glane a été reconstruit après la guerre et se situe au nord-ouest du village original. Découvrez aussi: Résistantes et travailleuses : Les femmes durant la Seconde Guerre mondiale
© Getty Images
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Oradour-sur-Glane : l'horreur d'un massacre de la Seconde Guerre mondiale
- Le 10 juin 1944, la commune d'Oradour-sur-Glane a été le théâtre de l'un des crimes de guerre les plus odieux de la Seconde Guerre mondiale. En cette chaude journée d'été, les troupes SS ont pénétré dans ce village rural tranquille et ont massacré 642 de ses habitants. Même selon les normes dépravées des nazis, il s'agissait d'un acte de sauvagerie particulièrement brutal et impitoyable. Aujourd'hui, les ruines d'Oradour-sur-Glane constituent un mémorial permanent à la mémoire des victimes. Pour découvrir ce qui s'est passé et pourquoi il ne faut jamais l'oublier, cliquez sur la galerie suivante.
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Oradour-sur-Glane
- Oradour-sur-Glane est située en région Nouvelle-Aquitaine, dans le sud-ouest. Cette photo montre une rue du village, le 10 juin 1944, après l'attaque des troupes allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Atrocité
- Au cours d'une journée d'été, une troupe allemande est entrée dans la ville après qu'un rapport l'ait informée que l'officier Waffen-SS était capturé dans le village. Les Nazis ont alors décidé de se venger.
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2 / 30 Fotos
Un crime de guerre
- Les maisons en ruine et les rues jonchées de gravats rappellent en permanence l'un des crimes de guerre les plus choquants perpétrés pendant la Seconde Guerre mondiale.
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3 / 30 Fotos
Scellé
- Après avoir pénétré dans le village et l'avoir bouclé, un bataillon nazi dirigé par le SS-Sturmbannführer Adolf Diekmann a rassemblé tout le monde sur la place du village.
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Les femmes et les enfants à part - Les femmes et les enfants ont ensuite été séparés et enfermés dans l'église (photo).
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Les hommes emportés pour être tués
- Pendant ce temps, les hommes ont été rassemblés dans des granges, des hangars et des remises.
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Executés
- Avec des machines déjà prêtes, les soldats ont ouvert le feu sur les hommes, visant leurs jambes. Et une fois au sol, les victimes ont été arrosées d'essence et les bâtiments ont été enflammés.
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7 / 30 Fotos
Tirs - Le même sort attendait les femmes et les enfants. Un engin incendiaire a été placé près de l'église. Lorsqu'il s'est enflammé, les villageois piégés ont tenté de s'échapper par les fenêtres des portes brisées. Ils ont été abattus pendant qu'ils le faisaient.
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Carnage
- On peut encore voir des trous de balles dans les murs des bâtiments alentours.
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9 / 30 Fotos
Meurtres
- Dans l'église, on peut retrouver les restes rouillés d'une poussette d'enfant, que les femmes avaient laissées pour tenter de s'enfuir. Au total, 247 femmes et 205 enfants ont péri dans l'attaque.
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Bilan des décès - Le bilan définitif de l'attaque des remises est de 190 hommes morts.
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Partiellement rasé
- Par la suite, les SS ont partiellement rasé le village, pillant les logements et mettant le feu à tout ce qui pouvait brûler.
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12 / 30 Fotos
Poignant
- Les restes de ce vélo carbonisé donnent la chair de poule, car on imagine que son propriétaire l'a abandonné dans l'espoir de fuir à l'arrivée des troupes allemandes.
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13 / 30 Fotos
Cemetière
- Plusieurs jours plus tard, les survivants ont été autorisés à enterrer les corps des 642 personnes décédées dans cette atroce attaque. Aujourd'hui, le cimetière contient les restes macabres de tous ceux qui ont péri.
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14 / 30 Fotos
Martyrs
- Les martyrs d'Oradour-sur-Glane sont commémorés partout dans le village, et on peut remarquer les importantes différences d'âges entre les victimes.
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15 / 30 Fotos
Charles de Gaulle (1890–1970) - Après la guerre, le président français a ordonné que les ruines d'Oradour-sur-Glane soient préservées en tant que mémorial et musée permanent.
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16 / 30 Fotos
Destruction totale
- Aujourd'hui, marcher dans les rues du village permet de ressentir ce que les survivants du massage ont pu découvrir après les faits... Désolation et destruction.
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Restés sur place
- Les véhicules brûlés en 1944 sont restés là où ils avaient été garés par leurs propriétaires à l'époque.
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18 / 30 Fotos
Centre de la mémoire d'Oradour
- Un centre commémoratif se trouve près des ruines du village et abrite une exposition permanente d'objets récupérés sur le site. L'exposition comprend des photographies de la SS Panzer Division Das Reich se dirigeant vers Oradour-sur-Glane le jour du massacre.
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19 / 30 Fotos
Gravé dans la mémoire - Le musée expose des objets personnels tels que ces montres de poche, dont les aiguilles sont figées dans le temps et enregistrent le moment exact où leurs propriétaires ont été brûlés vifs.
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Répercutions - Cette photo a été prise quelques heures seulement après l'événement. On peut observer les restes brisés et fumants du village.
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Qu'est-il arrivé aux responsables ? - Des villageois voisins examinent les maisons incendiées d'Oradour-sur-Glane quelques jours après la tuerie. Mais qu'est-il arrivé aux auteurs de ce crime odieux ?
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Heinz Lammerding (1905-1971) - Heinz Lammerding commandait la Panzer Division SS Das Reich qui a perpétré le massacre d'Oradour-sur-Glane. En 1953, il a été jugé en France pour crimes de guerre et a été condamné à mort par contumace. Cependant, il n'a jamais été extradé d'Allemagne de l'Ouest où il vivait ouvertement. Il est mort en homme libre en 1971.
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23 / 30 Fotos
Jugement - Des hommes accusés du massacre de plus de 600 personnes dans le village d'Oradour-sur-Glane font face au tribunal militaire de Bordeaux, le 14 janvier 1953.
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Adolf Diekmann (1914–1944) - La SS Panzer Division Das Reich comprenait une unité connue sous le nom de 4e SS Panzer Grenadier Regiment Der Führer. Adolf Diekmann commandait le 1er bataillon. C'est lui qui a rassemblé les villageois et ordonné leur exécution. Il n'a jamais été jugé pour les crimes commis à Oradour-sur-Glane, mais a été tenu pour responsable. Il a été tué au combat en Normandie.
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Heinz Barth (1920–2007) - Heinz Barth est le seul membre SS impliqué dans le massacre d'Oradour à avoir été jugé, ceci en 1983 en Allemagne de l'Est. Il a dirigé le groupe qui a forcé les hommes du village à entrer dans une grange et a commandé aux troupes d'ouvrir le feu. Libéré de prison en 1997, il est mort à 86 ans en 2007, après avoir vécu confortablement d'une pension de guerre.
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Le récit d'un survivant - Robert Hébras (photo), l'un des six survivants des massacres, a beaucoup écrit sur les événements du 10 juin 1944. Il a également fait l'objet d'un documentaire sur cette atrocité. Il tient ici une photo de Heinz Barth après la libération de ce criminel de guerre nazi.
© NL Beeld
27 / 30 Fotos
N'oublions jamais - Malgré son âge avancé, Robert Hébras continue d'organiser des visites guidées dans les ruines du village et travaille activement au Centre de la mémoire d'Oradour.
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Le nouveau village d'Oradour-sur-Glane
- Le nouveau village d'Oradour-sur-Glane a été reconstruit après la guerre et se situe au nord-ouest du village original. Découvrez aussi: Résistantes et travailleuses : Les femmes durant la Seconde Guerre mondiale
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Oradour-sur-Glane : l'horreur d'un massacre de la Seconde Guerre mondiale
Souvenez-vous de ce petit village français détruit par les troupes allemandes
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Le 10 juin 1944, la commune d'Oradour-sur-Glane a été le théâtre de l'un des crimes de guerre les plus odieux de la Seconde Guerre mondiale. En cette chaude journée d'été, les troupes SS ont pénétré dans ce village rural tranquille et ont massacré 642 de ses habitants. Même selon les normes dépravées des nazis, il s'agissait d'un acte de sauvagerie particulièrement brutal et impitoyable. Aujourd'hui, les ruines d'Oradour-sur-Glane constituent un mémorial permanent à la mémoire des victimes.
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