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Mort surprenante - Dans la liste des morts pour le moins surprenantes, nous pouvons citer celle de Louis X, décédé en juin 1316.
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Louis X - Dans plusieurs versions, il se dit qu’après un effort violent, il se rendit dans la cave du château de Vincennes, où il s’abreuva d'eau glacée, avant de finalement mourir.
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Circonstance mystérieuse - Selon cette version, le fait que le Roi ait bu de l’eau glacée (ou du vin tout aussi glacé), lui aurait provoqué un malaise et lui aurait été fatal. Cependant, l’historien Louis-Pierre Anquetil écrit dans son livre "Histoire de France, depuis les Gaulois jusqu’à la mort de Louis XVI" (1805): "D’autres croient qu’il fut empoisonné sans qu’on sache pourquoi, ni par qui".
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Autre version - Mais il existe une autre version des circonstances de la mort de Louis X. Selon cette seconde théorie, l’historien Louis-Pierre Anquetil raconte dans son livre: "Il mourut dans le mois de juin, pour s’être, dit-on, trop échauffé à la paume dans la plus grande chaleur du jour, et s’être ensuite retiré dans une grotte dont la fraîcheur le saisit, et lui causa une fièvre qui le conduisit au tombeau".
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La fistule royale la plus célèbre - Le sujet n’est peut-être pas très glamour, et pourtant, il s’agissait de l’événement le plus suivi des cours royales européennes, puisque le roi Louis XIV souffrait d’une fistule nécessitant une opération d'envergure pour l'époque.
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La cause de la fistule royale - Selon les explications du professeur Jean-Noël Fabiani à France Inter, la cause de cette fistule n’est pas surprenante, puisque les médecins prodiguaient souvent des lavements au Roi.
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Pas de stérilisation à l'époque - Pour cela, ils utilisaient un clystère en métal, qui en plus n'était pas stérilisé, puisque Nicolas Appert "n'inventera" la stérilisation qu'en 1810. Que faire face à cette situation ? Hé bien le barbier-chirurgien du roi est interpelé pour opérer, coûte que coûte.
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Une tâche délicate - Ce "barbier-chirurgien" s’appelle Charles-François Félix, et après avoir examiné le roi, il s’est exprimé en ces mots : "Sire je m'inquiète un peu, car l'opération que je vais devoir faire est cruciale."
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Tout à disposition - Ce à quoi le Roi répond: "Entraînez-vous Félix. Toutes mes galères et toutes mes prisons vous sont ouvertes.", comme le relate Jean-Noël Fabiani à France Inter.
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Une mission - Le barbier-chirurgien va donc s’atteler à la tâche et s’entraîner durant plusieurs mois. C’est d’ailleurs ainsi qu’il mettra au point des instruments spéciaux pour être en mesure de traiter cette fistule royale.
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Opération à Fontainebleau - La délicate opération a eu lieu à Fontainebleau, le 18 novembre 1686, durera trois heures... sans anesthésie! Mais comme le rappelle Jean-Noël Fabiani, Félix avait une technique infaillible semblerait-il, en utilisant des pansements au vin de Bourgogne.
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La Marquise de Maintenon - Mais alors, quel est le rapport avec l’hymne "G o d save the queen" ? C’est la femme de Louis XIV, Madame de Maintenon, qui en sera l’initiatrice !
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Jean-Baptiste Lully - En effet, pour soutenir son époux lors de l'opération, Madame de Maintenon demande à Jean-Baptiste Lully de composer un hymne, dont le texte fut écrit par Madame de Brinon, supérieure de la Maison royale de Saint-Louis, institution créée par Madame de Maintenon.
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Hymne - Pendant l'opération, les Demoiselles de Saint-Cyr, pensionnaires de la Maison royale de Saint-Louis, chantent cette composition. Puis, elles interpréteront cet hymne à chacune des visites du roi à la Maison royale de Saint-Louis !
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"G o d save the queen" - Mais comment cet hymne a-t-il été adopté par les Anglais ? Comme on peut le lire dans les lignes de France Inter, il y a deux théories.
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Georg Friedrich Haendel - En 1714, Haendel, alors compositeur officiel du roi britannique George Ier, est en visite à Versailles. Il entend l'hymne de Jean-Baptiste Lully, le note, fait traduire les paroles en anglais avant de le soumettre au roi. L'hymne plaît à George Ier et sera ensuite joué dans toutes les cérémonies ou le roi est présent, jusqu’à devenir l’hymne national.
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Jacques II - L'autre théorie met en avant l’implication de la maison Stuart. En effet, Jacques Stuart, soit Jacques II, vit en exil en France à partir de 1689. Il aurait entendu l’hymne et aurait décidé de l'adopter une fois son trône récupéré.
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Jacques II
- Malheureusement pour lui, il ne montera jamais sur le trône puisqu’il meurt en exil en 1701. Son fils, Jacques III, tentera ensuite à plusieurs reprises de récupérer ce trône, et lors d'une ultime tentative, en août 1745, ses partisans chantent le fameux hymne.
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"Qu'ils mangent de la brioche !" - Marie-Antoinette n’a jamais dit: "S'ils n'ont plus de pain, qu'ils mangent de la brioche." Pourquoi lui attribue-t-on encore cette phrase désormais mythique ?
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Jean-Jacques Rousseau - Tout est parti de de Jean-Jacques Rousseau. L'écrivain raconte dans "Les Confessions" l'histoire d'une "grande princesse à qui l'on disait que les paysans n'avaient pas de pain, et qui répondit : Qu'ils mangent de la brioche".
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Peu d'information
- Mais comme Libération l’explique, Jean-Jacques Rousseau ne dévoile rien de plus sur cette princesse, et rien n'indique qu'il s'agirait de Marie-Antoinette, pour deux raisons.
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Une histoire de brioche
- Premièrement, parce qu’il n’y a aucune autre preuve écrite qui relaterait l’histoire d’une princesse recommandant de manger de la brioche au peuple.
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Ses derniers mots - Par contre, on sait exactement quels ont été les derniers mots de Marie-Antoinette, alors que l’heure de son exécution sonnait, en pleine Révolution française.
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Ses derniers mots
- Mais avant le jour de sa mort, elle écrivait dans son livre d’heures ces dernières phrases: "Mon Dieu, ayez pitié de moi ! Mes yeux n’ont plus de larmes pour pleurer pour vous mes pauvres enfants ! Adieu adieu !" , comme relate le magazine Geo.
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Ses derniers mots - Ses derniers mots prononcés ont été adressés à son bourreau, juste après lui avoir accidentellement marché sur le pieds. Elle s’exclamait: "Monsieur, je vous demande pardon, je ne l'ai pas fait exprès."
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Anecdotes culinaires - Basé sur le livre d’André Castelot intitulé "L’histoire à table. Si la cuisine m’était contée", Paris Match passe en revue quelques anecdotes surprenantes des rois de France sur le plan culinaire.
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Philippe II Auguste et le brie - On apprend notamment que le roi capétien Philippe II Auguste (1165-1223) offrait du fromage de brie comme étrennes (cadeaux offerts à Noël ou au début du mois de janvier, ndlr) aux dames de la cour !
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L'épouse du Louis XV - On apprend aussi que Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, a failli mourir d’avoir trop consommé d’huîtres. La reine "en mangea un jour tellement qu’on lui administra les derniers sacrements: elle ne fut sauvée que par la poudre des Chartreux", raconte l’historien André Castelot.
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Napoléon Bonaparte - Il n’était peut-être pas roi, mais s'était fait empereur, Napoléon Bonaparte n'était pas le plus fin des gourmets. André Castelot écrit qu’il "mangeait sans aucun ordre, commençant parfois par les sucreries, trempant son pain dans la sauce, négligeant les fourchettes et couvrant la nappe de taches".
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Quand bon lui semblait
- Napoléon ne suivait pas non plus l’étiquette lorsqu’il s’agissait de respecter les heures de table. L’auteur explique: "On dressait ordinairement un guéridon d’acajou dans son cabinet de travail, mais il se mettait à table à n’importe quelle heure, même lorsque l’Impératrice lui tenait compagnie."
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Faire attendre - Et poursuit: "Il la faisait attendre parfois au-delà des limites permises et les plats refroidissaient, si bien qu’il fallait lui en tenir d’autres prêts pour le moment où il se déciderait."
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Au bout de 23 poulets...
- Napoléon avait cette manie de faire attendre au point qu’un jour il a fallu cuisiner 22 poulets pour qu’il ne mange finalement que le 23e. Comprenez, il fallait que le dîner soit chaud à n’importe quel moment au cas où il daignait finalement de se mettre à table. Découvrez aussi: Ces "Faits" historiques sont tout sauf factuels
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Mort surprenante - Dans la liste des morts pour le moins surprenantes, nous pouvons citer celle de Louis X, décédé en juin 1316.
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Louis X - Dans plusieurs versions, il se dit qu’après un effort violent, il se rendit dans la cave du château de Vincennes, où il s’abreuva d'eau glacée, avant de finalement mourir.
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Circonstance mystérieuse - Selon cette version, le fait que le Roi ait bu de l’eau glacée (ou du vin tout aussi glacé), lui aurait provoqué un malaise et lui aurait été fatal. Cependant, l’historien Louis-Pierre Anquetil écrit dans son livre "Histoire de France, depuis les Gaulois jusqu’à la mort de Louis XVI" (1805): "D’autres croient qu’il fut empoisonné sans qu’on sache pourquoi, ni par qui".
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Autre version - Mais il existe une autre version des circonstances de la mort de Louis X. Selon cette seconde théorie, l’historien Louis-Pierre Anquetil raconte dans son livre: "Il mourut dans le mois de juin, pour s’être, dit-on, trop échauffé à la paume dans la plus grande chaleur du jour, et s’être ensuite retiré dans une grotte dont la fraîcheur le saisit, et lui causa une fièvre qui le conduisit au tombeau".
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La fistule royale la plus célèbre - Le sujet n’est peut-être pas très glamour, et pourtant, il s’agissait de l’événement le plus suivi des cours royales européennes, puisque le roi Louis XIV souffrait d’une fistule nécessitant une opération d'envergure pour l'époque.
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La cause de la fistule royale - Selon les explications du professeur Jean-Noël Fabiani à France Inter, la cause de cette fistule n’est pas surprenante, puisque les médecins prodiguaient souvent des lavements au Roi.
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Pas de stérilisation à l'époque - Pour cela, ils utilisaient un clystère en métal, qui en plus n'était pas stérilisé, puisque Nicolas Appert "n'inventera" la stérilisation qu'en 1810. Que faire face à cette situation ? Hé bien le barbier-chirurgien du roi est interpelé pour opérer, coûte que coûte.
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Une tâche délicate - Ce "barbier-chirurgien" s’appelle Charles-François Félix, et après avoir examiné le roi, il s’est exprimé en ces mots : "Sire je m'inquiète un peu, car l'opération que je vais devoir faire est cruciale."
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Tout à disposition - Ce à quoi le Roi répond: "Entraînez-vous Félix. Toutes mes galères et toutes mes prisons vous sont ouvertes.", comme le relate Jean-Noël Fabiani à France Inter.
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Une mission - Le barbier-chirurgien va donc s’atteler à la tâche et s’entraîner durant plusieurs mois. C’est d’ailleurs ainsi qu’il mettra au point des instruments spéciaux pour être en mesure de traiter cette fistule royale.
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Opération à Fontainebleau - La délicate opération a eu lieu à Fontainebleau, le 18 novembre 1686, durera trois heures... sans anesthésie! Mais comme le rappelle Jean-Noël Fabiani, Félix avait une technique infaillible semblerait-il, en utilisant des pansements au vin de Bourgogne.
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La Marquise de Maintenon - Mais alors, quel est le rapport avec l’hymne "G o d save the queen" ? C’est la femme de Louis XIV, Madame de Maintenon, qui en sera l’initiatrice !
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Jean-Baptiste Lully - En effet, pour soutenir son époux lors de l'opération, Madame de Maintenon demande à Jean-Baptiste Lully de composer un hymne, dont le texte fut écrit par Madame de Brinon, supérieure de la Maison royale de Saint-Louis, institution créée par Madame de Maintenon.
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Hymne - Pendant l'opération, les Demoiselles de Saint-Cyr, pensionnaires de la Maison royale de Saint-Louis, chantent cette composition. Puis, elles interpréteront cet hymne à chacune des visites du roi à la Maison royale de Saint-Louis !
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"G o d save the queen" - Mais comment cet hymne a-t-il été adopté par les Anglais ? Comme on peut le lire dans les lignes de France Inter, il y a deux théories.
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Georg Friedrich Haendel - En 1714, Haendel, alors compositeur officiel du roi britannique George Ier, est en visite à Versailles. Il entend l'hymne de Jean-Baptiste Lully, le note, fait traduire les paroles en anglais avant de le soumettre au roi. L'hymne plaît à George Ier et sera ensuite joué dans toutes les cérémonies ou le roi est présent, jusqu’à devenir l’hymne national.
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Jacques II - L'autre théorie met en avant l’implication de la maison Stuart. En effet, Jacques Stuart, soit Jacques II, vit en exil en France à partir de 1689. Il aurait entendu l’hymne et aurait décidé de l'adopter une fois son trône récupéré.
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Jacques II
- Malheureusement pour lui, il ne montera jamais sur le trône puisqu’il meurt en exil en 1701. Son fils, Jacques III, tentera ensuite à plusieurs reprises de récupérer ce trône, et lors d'une ultime tentative, en août 1745, ses partisans chantent le fameux hymne.
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"Qu'ils mangent de la brioche !" - Marie-Antoinette n’a jamais dit: "S'ils n'ont plus de pain, qu'ils mangent de la brioche." Pourquoi lui attribue-t-on encore cette phrase désormais mythique ?
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Jean-Jacques Rousseau - Tout est parti de de Jean-Jacques Rousseau. L'écrivain raconte dans "Les Confessions" l'histoire d'une "grande princesse à qui l'on disait que les paysans n'avaient pas de pain, et qui répondit : Qu'ils mangent de la brioche".
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Peu d'information
- Mais comme Libération l’explique, Jean-Jacques Rousseau ne dévoile rien de plus sur cette princesse, et rien n'indique qu'il s'agirait de Marie-Antoinette, pour deux raisons.
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Une histoire de brioche
- Premièrement, parce qu’il n’y a aucune autre preuve écrite qui relaterait l’histoire d’une princesse recommandant de manger de la brioche au peuple.
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Ses derniers mots - Par contre, on sait exactement quels ont été les derniers mots de Marie-Antoinette, alors que l’heure de son exécution sonnait, en pleine Révolution française.
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Ses derniers mots
- Mais avant le jour de sa mort, elle écrivait dans son livre d’heures ces dernières phrases: "Mon Dieu, ayez pitié de moi ! Mes yeux n’ont plus de larmes pour pleurer pour vous mes pauvres enfants ! Adieu adieu !" , comme relate le magazine Geo.
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Ses derniers mots - Ses derniers mots prononcés ont été adressés à son bourreau, juste après lui avoir accidentellement marché sur le pieds. Elle s’exclamait: "Monsieur, je vous demande pardon, je ne l'ai pas fait exprès."
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Anecdotes culinaires - Basé sur le livre d’André Castelot intitulé "L’histoire à table. Si la cuisine m’était contée", Paris Match passe en revue quelques anecdotes surprenantes des rois de France sur le plan culinaire.
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Philippe II Auguste et le brie - On apprend notamment que le roi capétien Philippe II Auguste (1165-1223) offrait du fromage de brie comme étrennes (cadeaux offerts à Noël ou au début du mois de janvier, ndlr) aux dames de la cour !
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L'épouse du Louis XV - On apprend aussi que Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, a failli mourir d’avoir trop consommé d’huîtres. La reine "en mangea un jour tellement qu’on lui administra les derniers sacrements: elle ne fut sauvée que par la poudre des Chartreux", raconte l’historien André Castelot.
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Napoléon Bonaparte - Il n’était peut-être pas roi, mais s'était fait empereur, Napoléon Bonaparte n'était pas le plus fin des gourmets. André Castelot écrit qu’il "mangeait sans aucun ordre, commençant parfois par les sucreries, trempant son pain dans la sauce, négligeant les fourchettes et couvrant la nappe de taches".
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Quand bon lui semblait
- Napoléon ne suivait pas non plus l’étiquette lorsqu’il s’agissait de respecter les heures de table. L’auteur explique: "On dressait ordinairement un guéridon d’acajou dans son cabinet de travail, mais il se mettait à table à n’importe quelle heure, même lorsque l’Impératrice lui tenait compagnie."
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Faire attendre - Et poursuit: "Il la faisait attendre parfois au-delà des limites permises et les plats refroidissaient, si bien qu’il fallait lui en tenir d’autres prêts pour le moment où il se déciderait."
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- Napoléon avait cette manie de faire attendre au point qu’un jour il a fallu cuisiner 22 poulets pour qu’il ne mange finalement que le 23e. Comprenez, il fallait que le dîner soit chaud à n’importe quel moment au cas où il daignait finalement de se mettre à table. Découvrez aussi: Ces "Faits" historiques sont tout sauf factuels
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L'hymne britannique est-elle d'origine française ?
Et quelques autres anecdotes surprenantes des rois de France
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L'Histoire française est longue et surtout truffée d'anecdotes insolites, notamment sur sa royauté. Entre les morts ridicules, fistules royales et manies énervantes à table, nous vous présentons quelques souvenirs cocasses de rois de France, qui demeurent désormais gravés dans les annales.
Envie de savoir comment l'hymne britannique trouve son origine dans l'opération du royal derrière de Louis XIV ? Cliquez sur la suite !
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