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Tout a commencé avec Snapchat
- C'est Snapchat qui a introduit cette option éphémère dans le monde des réseaux sociaux. C'est apparu en 2012, et il s'agissait de la première fois que l'on pouvait partager du contenu ayant une courte durée de vie.
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Les stories Instagram
- C'est en 2016 qu'Instagram a lancé cette fonctionnalité, et dès la première année, elle comptait 150 millions d'utilisateurs. Six mois plus tard, ce nombre avait déjà doublé.
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Comment ça marche?
- Cette fonctionnalité vous permet de partager une photo ou une vidéo qui va disparaître au bout de 24 heures, sauf si vous l'enregistrez dans vos stories à la Une. Ce contenu est disponible dans un endroit différent de votre feed, tout comme c'est le cas sur Facebook.
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Une base d'utilisateurs en pleine expansion
- D'après les statistiques des utilisateurs en 2021, plus de 500 millions de personnes interagiraient à travers les stories Instagram chaque jour.
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Pourquoi cela nous attire?
- Les stories ont quelque chose de fascinant, même si elles montrent un contenu incroyablement simple et banal. Elles offrent un aperçu beaucoup plus réaliste de la vie quotidienne des personnes que l'on suit.
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Stories et Netflix - Les stories Instagram et Facebook nous poussent à faire du binge-watching, tout comme on le fait sur Netflix. Après chaque épisode, ou story, le contenu suivant se lance automatiquement. Il est donc très facile de continuer à regarder.
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Addiction aux réseaux sociaux
- Les stories Instagram utilisent une pratique qui est appelée "design persuasif". C'est lorsque la psychologie est combinée au design pour avoir une influence maximale sur le comportement humain. Cela rend ainsi les applications et les produits plus engageants, mais aussi plus addictifs.
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Les réseaux sociaux peuvent déclencher la dopamine - On estime que plus de 10 % de la population américaine est dépendante aux réseaux sociaux. Il a été prouvé que leur utilisation libère de la dopamine dans le cerveau. Il s'agit de la substance chimique qui nous dit que nous faisons quelque chose de bien et que nous devons répéter ce comportement.
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Dopamine et comportements addictifs
- La dopamine est censée être libérée pour renforcer les comportements essentiels à la survie de la race humaine, comme manger et procréer. Malheureusement, la vie moderne comporte de nombreux stimulants qui provoquent la libération de dopamine, mais qui ne sont pas nécessairement bons pour nous. Il s'agit notamment d'activités comme les jeux d'argent, les jeux vidéo et l'utilisation des réseaux sociaux.
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Au-delà de la dopamine
- Mais l'attrait des stories va au-delà de la compulsion standard de faire défiler votre feed. En effet, il se passe quelque chose dans les stories qui ne se passe pas dans les publications ordinaires d'Instagram ou Facebook.
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Le côté éphémère des stories
- Le caractère éphémère d'une story permet à l'utilisateur de partager un contenu plus authentique et moins soigné avec plus de facilité. Une publication permanente, qui restera sur votre compte et contribuera à l'esthétique générale de votre feed, est généralement plus réfléchie et plus soignée.
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Partager sans crainte
- De plus, une story disparaît au bout de 24 heures, ce qui nous permet de nous sentir plus en sécurité et d'être plus ouverts. Cette idée intelligente avait également été utilisée par Snapchat à l'époque. Le fait de pouvoir définir un temps avant l'autodestruction de votre contenu signifiait que vous pouviez partager presque tout sans crainte.
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Une version moins photoshopée de la réalité
- Créer des stories est beaucoup plus rapide, et elles sont également plus attrayantes pour le public. Cela donne une impression différente de celle de faire défiler un compte Instagram rempli de photos et de vidéos trop soignées, qui partagent une version figée et glamour de la vie.
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La comparaison peut être difficile
- Le contenu irréaliste que l'on trouve souvent sur les réseaux sociaux peut vous donner une mauvaise image de vous-même.
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S'identifier davantage - Les stories Facebook et Instagram ont tendance à être plus légères et on peut s'y identifier plus facilement. Elles contiennent généralement des images plus réalistes de la vie quotidienne, et transmettent des émotions plus authentiques de la part de l'utilisateur. Cela les rend moins intimidantes à regarder.
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L'imperfection nous rapproche
- Nous avons tendance à nous sentir plus à l'aise en regardant des stories qui se rapprochent davantage de la réalité. Nous nous sentons aussi plus proches des autres, car nous pouvons nous identifier à eux. La perfection photoshopée a l'effet inverse, car elle nous fait nous sentir menacés.
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N'ayez crainte de partager vos faiblesses
- Si vous êtes gêné d'avoir partagé une story soul de vous au McDonald à 2 heures du matin, pensez toujours que ce contenu aura certainement permis de remonter le moral à quelqu'un.
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Une connexion et de l'authenticité - Une enquête a montré que la majorité des personnes qui utilisent la fonctionnalité Instagram Stories sont à la recherche de contenu en direct et non édité. Nous voulons simplement savoir ce que font les autres en fait!
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La théorie de l'image de soi
- Charles Cooley, sociologue américain, a élaboré la théorie de l'image de soi en 1902. Elle suggère que nous construisons notre "sens du moi" en observant la façon dont les autres nous perçoivent. Le problème est que la façon dont nous pensons que les autres nous voient est souvent complètement fausse.
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Un cercle vicieux
- En ce qui concerne les réseaux sociaux, cela peut signifier que nous sommes contraints de publier des mises à jour quotidiennes de notre vie afin de renforcer notre identité.
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Impact sur la santé mentale - Même si les stories ont tendance à être plus authentiques et moins retouchées, elles peuvent tout de même avoir un impact négatif sur notre santé mentale. Comme avec les réseaux sociaux dans leur globalité, les stories contribuent à une augmentation de l'anxiété et la dépression.
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L'omniprésence des filtres
- Les choses seraient peut-être différentes si les stories n'étaient pas réalisées avec des filtres. Mais malheureusement, il existe de nombreux filtres différents sur les stories de Facebook et d'Instagram, et ils sont très largement utilisés.
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Les retouches font disparaître la beauté naturelle
- Il peut être drôle de s'amuser avec les filtres, mais c'est aussi déconcertant de s'observer à travers eux et de se trouver à son avantage, puis de se rappeler que l'on a effacé la moitié des traits de notre visage à l'aide des retouches.
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Honte de publier une photo sans filtre
- Des psychiatres rapportent que des enfants et des adultes de tous sexes disent avoir honte de publier des photos d'eux-mêmes sans filtre. Les filtres nous permettent de comparer facilement ce qui pourrait être et ce qui ne l'est pas.
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Chirurgie esthétique et dysmorphie corporelle - Des thérapeutes disent également avoir reçu de nombreux adolescents et adultes souhaitant avoir recours à la chirurgie plastique pour ressembler davantage à la "version filtrée" d'eux-mêmes. La dysmorphie corporelle est en hausse en raison de notre exposition croissante à ces images faussées de nous-mêmes et des autres.
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Renforcement positif - Que nous utilisions un filtre ou non, nous recevons un énorme pic de dopamine lorsque quelqu'un réagit positivement à nos photos. Cela fait naître dans notre esprit le sentiment que nous sommes appréciés et admirés des autres.
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S'appuyer sur de fausses connexions
- Le danger de ce faux sentiment de connexion est de croire qu'il peut remplacer la connexion dans la vie réelle. Mais il ne peut remplacer le fait de parler et de passer du temps avec les personnes que l'on aime, qui nous procurent un réel sentiment d'épanouissement.
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Comment trouver un équilibre?
- Les réseaux sociaux et stories rendent difficile l'atteinte d'un équilibre sain. Ils encouragent la surconsommation et l'utilisation compulsive. La première étape pour maîtriser ce phénomène est de prendre conscience de l'impact qu'il a sur vous.
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Posez-vous les questions suivantes : - Dans quelle mesure les échanges que j'ai sur les réseaux sociaux sont-ils significatifs et satisfaisants? Le temps que je passe sur les réseaux sociaux m'empêche-t-il de faire autre chose? Comment je me sens après avoir passé une période prolongée sur les réseaux sociaux?
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Trouvez ce qui vous convient
- N'oubliez pas qu'il y a de nombreux points positifs à tirer des réseaux sociaux. Nous pouvons entrer en contact avec d'autres personnes, trouver de l'inspiration et apprendre de nouvelles choses. Nous devons simplement garder un œil sur ce que nous ressentons. Il est peu probable que les stories Instagram et Facebook, et les réseaux sociaux en général, disparaissent de sitôt, il ne tient donc qu'à nous d'en tirer le meilleur parti. Découvrez aussi: Ce que Facebook a fait de nos vies Sources: (Healthline 1 and 2)
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Tout a commencé avec Snapchat
- C'est Snapchat qui a introduit cette option éphémère dans le monde des réseaux sociaux. C'est apparu en 2012, et il s'agissait de la première fois que l'on pouvait partager du contenu ayant une courte durée de vie.
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Les stories Instagram
- C'est en 2016 qu'Instagram a lancé cette fonctionnalité, et dès la première année, elle comptait 150 millions d'utilisateurs. Six mois plus tard, ce nombre avait déjà doublé.
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Comment ça marche?
- Cette fonctionnalité vous permet de partager une photo ou une vidéo qui va disparaître au bout de 24 heures, sauf si vous l'enregistrez dans vos stories à la Une. Ce contenu est disponible dans un endroit différent de votre feed, tout comme c'est le cas sur Facebook.
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Une base d'utilisateurs en pleine expansion
- D'après les statistiques des utilisateurs en 2021, plus de 500 millions de personnes interagiraient à travers les stories Instagram chaque jour.
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Pourquoi cela nous attire?
- Les stories ont quelque chose de fascinant, même si elles montrent un contenu incroyablement simple et banal. Elles offrent un aperçu beaucoup plus réaliste de la vie quotidienne des personnes que l'on suit.
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Stories et Netflix - Les stories Instagram et Facebook nous poussent à faire du binge-watching, tout comme on le fait sur Netflix. Après chaque épisode, ou story, le contenu suivant se lance automatiquement. Il est donc très facile de continuer à regarder.
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Addiction aux réseaux sociaux
- Les stories Instagram utilisent une pratique qui est appelée "design persuasif". C'est lorsque la psychologie est combinée au design pour avoir une influence maximale sur le comportement humain. Cela rend ainsi les applications et les produits plus engageants, mais aussi plus addictifs.
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Les réseaux sociaux peuvent déclencher la dopamine - On estime que plus de 10 % de la population américaine est dépendante aux réseaux sociaux. Il a été prouvé que leur utilisation libère de la dopamine dans le cerveau. Il s'agit de la substance chimique qui nous dit que nous faisons quelque chose de bien et que nous devons répéter ce comportement.
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Dopamine et comportements addictifs
- La dopamine est censée être libérée pour renforcer les comportements essentiels à la survie de la race humaine, comme manger et procréer. Malheureusement, la vie moderne comporte de nombreux stimulants qui provoquent la libération de dopamine, mais qui ne sont pas nécessairement bons pour nous. Il s'agit notamment d'activités comme les jeux d'argent, les jeux vidéo et l'utilisation des réseaux sociaux.
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Au-delà de la dopamine
- Mais l'attrait des stories va au-delà de la compulsion standard de faire défiler votre feed. En effet, il se passe quelque chose dans les stories qui ne se passe pas dans les publications ordinaires d'Instagram ou Facebook.
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Le côté éphémère des stories
- Le caractère éphémère d'une story permet à l'utilisateur de partager un contenu plus authentique et moins soigné avec plus de facilité. Une publication permanente, qui restera sur votre compte et contribuera à l'esthétique générale de votre feed, est généralement plus réfléchie et plus soignée.
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Partager sans crainte
- De plus, une story disparaît au bout de 24 heures, ce qui nous permet de nous sentir plus en sécurité et d'être plus ouverts. Cette idée intelligente avait également été utilisée par Snapchat à l'époque. Le fait de pouvoir définir un temps avant l'autodestruction de votre contenu signifiait que vous pouviez partager presque tout sans crainte.
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Une version moins photoshopée de la réalité
- Créer des stories est beaucoup plus rapide, et elles sont également plus attrayantes pour le public. Cela donne une impression différente de celle de faire défiler un compte Instagram rempli de photos et de vidéos trop soignées, qui partagent une version figée et glamour de la vie.
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La comparaison peut être difficile
- Le contenu irréaliste que l'on trouve souvent sur les réseaux sociaux peut vous donner une mauvaise image de vous-même.
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S'identifier davantage - Les stories Facebook et Instagram ont tendance à être plus légères et on peut s'y identifier plus facilement. Elles contiennent généralement des images plus réalistes de la vie quotidienne, et transmettent des émotions plus authentiques de la part de l'utilisateur. Cela les rend moins intimidantes à regarder.
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L'imperfection nous rapproche
- Nous avons tendance à nous sentir plus à l'aise en regardant des stories qui se rapprochent davantage de la réalité. Nous nous sentons aussi plus proches des autres, car nous pouvons nous identifier à eux. La perfection photoshopée a l'effet inverse, car elle nous fait nous sentir menacés.
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N'ayez crainte de partager vos faiblesses
- Si vous êtes gêné d'avoir partagé une story soul de vous au McDonald à 2 heures du matin, pensez toujours que ce contenu aura certainement permis de remonter le moral à quelqu'un.
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Une connexion et de l'authenticité - Une enquête a montré que la majorité des personnes qui utilisent la fonctionnalité Instagram Stories sont à la recherche de contenu en direct et non édité. Nous voulons simplement savoir ce que font les autres en fait!
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La théorie de l'image de soi
- Charles Cooley, sociologue américain, a élaboré la théorie de l'image de soi en 1902. Elle suggère que nous construisons notre "sens du moi" en observant la façon dont les autres nous perçoivent. Le problème est que la façon dont nous pensons que les autres nous voient est souvent complètement fausse.
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Un cercle vicieux
- En ce qui concerne les réseaux sociaux, cela peut signifier que nous sommes contraints de publier des mises à jour quotidiennes de notre vie afin de renforcer notre identité.
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Impact sur la santé mentale - Même si les stories ont tendance à être plus authentiques et moins retouchées, elles peuvent tout de même avoir un impact négatif sur notre santé mentale. Comme avec les réseaux sociaux dans leur globalité, les stories contribuent à une augmentation de l'anxiété et la dépression.
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L'omniprésence des filtres
- Les choses seraient peut-être différentes si les stories n'étaient pas réalisées avec des filtres. Mais malheureusement, il existe de nombreux filtres différents sur les stories de Facebook et d'Instagram, et ils sont très largement utilisés.
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Les retouches font disparaître la beauté naturelle
- Il peut être drôle de s'amuser avec les filtres, mais c'est aussi déconcertant de s'observer à travers eux et de se trouver à son avantage, puis de se rappeler que l'on a effacé la moitié des traits de notre visage à l'aide des retouches.
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Honte de publier une photo sans filtre
- Des psychiatres rapportent que des enfants et des adultes de tous sexes disent avoir honte de publier des photos d'eux-mêmes sans filtre. Les filtres nous permettent de comparer facilement ce qui pourrait être et ce qui ne l'est pas.
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Chirurgie esthétique et dysmorphie corporelle - Des thérapeutes disent également avoir reçu de nombreux adolescents et adultes souhaitant avoir recours à la chirurgie plastique pour ressembler davantage à la "version filtrée" d'eux-mêmes. La dysmorphie corporelle est en hausse en raison de notre exposition croissante à ces images faussées de nous-mêmes et des autres.
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Renforcement positif - Que nous utilisions un filtre ou non, nous recevons un énorme pic de dopamine lorsque quelqu'un réagit positivement à nos photos. Cela fait naître dans notre esprit le sentiment que nous sommes appréciés et admirés des autres.
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S'appuyer sur de fausses connexions
- Le danger de ce faux sentiment de connexion est de croire qu'il peut remplacer la connexion dans la vie réelle. Mais il ne peut remplacer le fait de parler et de passer du temps avec les personnes que l'on aime, qui nous procurent un réel sentiment d'épanouissement.
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Comment trouver un équilibre?
- Les réseaux sociaux et stories rendent difficile l'atteinte d'un équilibre sain. Ils encouragent la surconsommation et l'utilisation compulsive. La première étape pour maîtriser ce phénomène est de prendre conscience de l'impact qu'il a sur vous.
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Posez-vous les questions suivantes : - Dans quelle mesure les échanges que j'ai sur les réseaux sociaux sont-ils significatifs et satisfaisants? Le temps que je passe sur les réseaux sociaux m'empêche-t-il de faire autre chose? Comment je me sens après avoir passé une période prolongée sur les réseaux sociaux?
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Trouvez ce qui vous convient
- N'oubliez pas qu'il y a de nombreux points positifs à tirer des réseaux sociaux. Nous pouvons entrer en contact avec d'autres personnes, trouver de l'inspiration et apprendre de nouvelles choses. Nous devons simplement garder un œil sur ce que nous ressentons. Il est peu probable que les stories Instagram et Facebook, et les réseaux sociaux en général, disparaissent de sitôt, il ne tient donc qu'à nous d'en tirer le meilleur parti. Découvrez aussi: Ce que Facebook a fait de nos vies Sources: (Healthline 1 and 2)
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Comprendre l'attrait des stories, réels et shorts sur les utilisateurs
Qu'est-ce-qui nous attire à cliquer sur ces petits cercles ?
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Passer du temps sur les réseaux sociaux est un geste compulsif que nombreux d'entre nous faisons. Nous avons tendance à scroller Facebook ou Instagram durant des heures sans même nous en rendre compte, nous déconnectant momentanément de la réalité. Combien de fois avez-vous ouvert ces applications sans même vous en rendre compte ? Et oui, c'est devenu un réflexe !
Les stories ont plus récemment été ajoutées à Facebook et Instagram et nous rendent totalement accro. Mais pourquoi ? Comment est-ce que ces images et vidéos apparaissant de façon temporaire sur nos écrans attirent autant notre attention? Cliquez sur cette galerie et découvrez-en plus sur le sujet.
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