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Les loups
- En 2011, des scientifiques ont décelé des anomalies chez les loups vivant près de Tchernobyl. Ils ont alors analysé les os des élans que les loups chassaient et ceux-ci présentaient des niveaux de radiation élevés. Pourtant, les loups semblaient en parfaite santé.
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Les loups
- Une étude menée en 2019 a démontré que la population locale de loups ne présente pas de rayonnements internes. Étant donné que les animaux parcourent de longues distances pour chasser, ils finissent par ne pas manger beaucoup de proies contaminées. Les recherches ont également révélé que les loups ont été exposés à des niveaux de rayonnements externes plus élevés que prévu, mais l'impact de ces rayonnements sur les animaux reste incertain.
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Les animaux de la ferme
- Rien qu'en 1990, environ 400 animaux de ferme difformes sont nés dans la région. Quatre ans après la catastrophe, les animaux présentaient plusieurs malformations à la naissance, notamment des malformations de la tête et des membres en plus.
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Les animaux de la ferme
- Ces déformations ont également affecté la taille et la couleur des animaux. Il est possible que ces mutations se soient produites chez d'autres animaux de la région, mais ces données sont inconnues.
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Le bétail
- Les effets de l'exposition à des rayonnements élevés ne se manifestent que des années plus tard. Une étude réalisée en 2007 a révélé que le taux de cancer de la thyroïde chez les personnes vivant en Ukraine, en Biélorussie et en Russie était 10 fois plus élevé que la normale, et ce 10 ans après l'accident nucléaire. Le bétail a également souffert des conséquences de cette catastrophe.
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Le bétail
- Les effets sur le bétail se sont manifestés dans les cinq mois qui ont suivi l'accident. Les animaux qui se trouvaient dans un rayon de 9,6 km autour du site de l'accident présentaient des nodules thyroïdiens.
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Les animaux errants
- De nombreuses personnes contraintes de quitter leur domicile dans la zone d'exclusion ont dû abandonner leurs animaux de compagnie, entraînant une augmentation considérable du nombre de chiens et de chats errants dans la région.
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Les animaux errants
- Des tentatives d'extermination de ces animaux ont été lancées dans la région, mais l'organisation Clean Futures s'y est opposée et a obtenu gain de cause en 2017. Aujourd'hui, cette population est encadrée, puisque les chiens sont désormais stérilisés et vaccinés.
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Les cerveaux des oiseaux
- À la suite de cette catastrophe nucléaire, une étude menée en 2011 a analysé la taille du cerveau de 550 oiseaux de 48 espèces vivant dans la région.
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Les cerveaux des oiseaux
- Une étude a révélé que les oiseaux exposés à des niveaux de rayonnement élevés possédaient un cerveau environ 5 % plus petit que la moyenne. Des effets similaires ont été observés chez les humains exposés à des niveaux de rayonnement importants.
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Les hirondelles rustiques
- Les effets des radiations ne sont peut-être pas perceptibles, mais ils affectent les animaux de diverses manières. Par exemple, les hirondelles rustiques de la zone d'exclusion ont subi une altération de leur fertilité.
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Les hirondelles rustiques
- Une étude a démontré qu'environ 40 % des spermatozoïdes des hirondelles rustiques mâles de Tchernobyl sont contaminés. En effet, les recherches ont détecté des mutations germinales, un type spécifique de mutation qui peut se développer dans le sperme (ou l'ovule) et être transmis aux futures générations.
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Les oiseaux albinos
- Depuis la catastrophe de Tchernobyl, une augmentation de cas d'albinisme partiel a été enregistrée chez les hirondelles rustiques et d'autres espèces d'oiseaux. Ces oiseaux albinos sont généralement plus petits et possèdent un système immunitaire plus faible.
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Les oiseaux albinos
- Une étude réalisée en 2013 sur 1 669 oiseaux a permis de détecter 111 cas d'albinisme partiel et 25 cas de tumeurs.
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La diversité des espèces
- Selon une étude menée en 2016, la population d'espèces d'oiseaux dans la région a diminué d'environ 50 % depuis la catastrophe nucléaire de 1986.
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La population des espèces
- Les résultats de cette étude indiquent une perte d'environ 66 % du nombre de membres chez chaque espèce d'oiseaux.
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Les insectes
- Cette catastrophe nucléaire a provoqué une diminution du nombre d'insectes et d'araignées dans la région, entraînant une diminution des ressources alimentaires disponibles pour diverses espèces telles que les oiseaux, les poissons et certains mammifères.
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Les insectes
- En 2009, une étude a établi un lien entre le taux de radioactivité d'une région et la richesse de sa population d'insectes. Étonnamment, les insectes sont tout aussi sensibles aux radiations que les autres espèces.
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Les abeilles
- Les pollinisateurs sont indispensables à l'écosystème. En effet, ils sont responsables de la floraison d'environ 75 % des fleurs dans le monde, mais également d'environ 35 % des récoltes alimentaires mondiales.
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Les abeilles
- La catastrophe de Tchernobyl a entraîné la disparition des pollinisateurs de la région. Une étude de 2020 a évalué l'impact des rayonnements sur les abeilles, en reproduisant les taux de radioactivité enregistrés dans la zone touchée au cours de cette période. Les résultats ont révélé des effets néfastes sur la reproduction des abeilles, ainsi qu'une baisse de la densité des colonies.
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Les souris
- L'accident nucléaire de Tchernobyl a également impacté les rongeurs, leur causant des lésions oculaires.
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Les souris
- On a découvert que les campagnols roussâtres vivant dans la zone d'exclusion souffraient très souvent de cataractes, qui affectaient à la fois leur vision et leur capacité de reproduction. On a également observé que les femelles atteintes de cataractes donnaient naissance à des portées plus petites que leurs congénères en bonne santé.
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Les autres animaux touchés
- La catastrophe nucléaire de Tchernobyl a principalement touché les animaux vivant dans la zone d'exclusion, mais on estime que le panache radioactif se serait dispersé dans toute l'Europe et aurait même atteint la Suède.
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Les autres animaux touchés
- En effet, en 2017, un sanglier chassé en Suède présentait un taux de radioactivité dix fois supérieur à la limite légale de sécurité.
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Un refuge pour les espèces menacées
- La zone d'exclusion s'est transformée en un véritable sanctuaire pour certaines espèces, comme par exemple les chevaux de Przewalski, menacés d'extinction, et ce malgré les effets néfastes des rayonnements.
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Un refuge pour les espèces menacées
- Ces chevaux se sont installés dans la région entre 1998 et 2004 et semblent s'être plutôt bien adaptés à ce cadre.
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Les aigles criards
- L'aigle criard, une espèce menacée, prospère dans la région. En effet, au moins 13 couples vivraient paisiblement dans la zone d'exclusion de Tchernobyl.
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Les mutations animales
- Néanmoins, une étude scientifique conduite en 2016 a conclu qu'il existe peu de données permettant d'affirmer que les animaux ayant été irradiés sont en bonne santé.
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Les mutations animales
- D'après cette étude : "De nombreux organismes ont démontré leur capacité à survivre et à se reproduire sous de faibles doses de rayonnements ionisants, provenant du rayonnement naturel ou d'accidents nucléaires. Nous avons trouvé un total de 17 cas supposés d'adaptation, principalement fondés sur des expériences basiques, réalisées avec des organismes provenant généralement de deux ou trois lieux d'échantillonnage différents. Seule une étude expérimentale atteste d'une résistance aux rayonnements radioactifs".
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Les mutations animales
- L'étude conclut ainsi : "Enfin, nous avons examiné les études portant sur la détection d'hormèse (c'est-à-dire une adaptation et une grande résilience à des taux élevés de radiation), mais nous n'avons trouvé aucune preuve de l'existence de ce phénomène, d'où la nécessité de mener des expériences rigoureuses basées sur un large échantillonnage." Sources : (Grunge) Voir aussi : Tchernobyl : à quoi ressemble cette ville aujourd'hui ?
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Les loups
- En 2011, des scientifiques ont décelé des anomalies chez les loups vivant près de Tchernobyl. Ils ont alors analysé les os des élans que les loups chassaient et ceux-ci présentaient des niveaux de radiation élevés. Pourtant, les loups semblaient en parfaite santé.
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Les loups
- Une étude menée en 2019 a démontré que la population locale de loups ne présente pas de rayonnements internes. Étant donné que les animaux parcourent de longues distances pour chasser, ils finissent par ne pas manger beaucoup de proies contaminées. Les recherches ont également révélé que les loups ont été exposés à des niveaux de rayonnements externes plus élevés que prévu, mais l'impact de ces rayonnements sur les animaux reste incertain.
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Les animaux de la ferme
- Rien qu'en 1990, environ 400 animaux de ferme difformes sont nés dans la région. Quatre ans après la catastrophe, les animaux présentaient plusieurs malformations à la naissance, notamment des malformations de la tête et des membres en plus.
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Les animaux de la ferme
- Ces déformations ont également affecté la taille et la couleur des animaux. Il est possible que ces mutations se soient produites chez d'autres animaux de la région, mais ces données sont inconnues.
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Le bétail
- Les effets de l'exposition à des rayonnements élevés ne se manifestent que des années plus tard. Une étude réalisée en 2007 a révélé que le taux de cancer de la thyroïde chez les personnes vivant en Ukraine, en Biélorussie et en Russie était 10 fois plus élevé que la normale, et ce 10 ans après l'accident nucléaire. Le bétail a également souffert des conséquences de cette catastrophe.
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Le bétail
- Les effets sur le bétail se sont manifestés dans les cinq mois qui ont suivi l'accident. Les animaux qui se trouvaient dans un rayon de 9,6 km autour du site de l'accident présentaient des nodules thyroïdiens.
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Les animaux errants
- De nombreuses personnes contraintes de quitter leur domicile dans la zone d'exclusion ont dû abandonner leurs animaux de compagnie, entraînant une augmentation considérable du nombre de chiens et de chats errants dans la région.
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Les animaux errants
- Des tentatives d'extermination de ces animaux ont été lancées dans la région, mais l'organisation Clean Futures s'y est opposée et a obtenu gain de cause en 2017. Aujourd'hui, cette population est encadrée, puisque les chiens sont désormais stérilisés et vaccinés.
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Les cerveaux des oiseaux
- À la suite de cette catastrophe nucléaire, une étude menée en 2011 a analysé la taille du cerveau de 550 oiseaux de 48 espèces vivant dans la région.
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Les cerveaux des oiseaux
- Une étude a révélé que les oiseaux exposés à des niveaux de rayonnement élevés possédaient un cerveau environ 5 % plus petit que la moyenne. Des effets similaires ont été observés chez les humains exposés à des niveaux de rayonnement importants.
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Les hirondelles rustiques
- Les effets des radiations ne sont peut-être pas perceptibles, mais ils affectent les animaux de diverses manières. Par exemple, les hirondelles rustiques de la zone d'exclusion ont subi une altération de leur fertilité.
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Les hirondelles rustiques
- Une étude a démontré qu'environ 40 % des spermatozoïdes des hirondelles rustiques mâles de Tchernobyl sont contaminés. En effet, les recherches ont détecté des mutations germinales, un type spécifique de mutation qui peut se développer dans le sperme (ou l'ovule) et être transmis aux futures générations.
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Les oiseaux albinos
- Depuis la catastrophe de Tchernobyl, une augmentation de cas d'albinisme partiel a été enregistrée chez les hirondelles rustiques et d'autres espèces d'oiseaux. Ces oiseaux albinos sont généralement plus petits et possèdent un système immunitaire plus faible.
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Les oiseaux albinos
- Une étude réalisée en 2013 sur 1 669 oiseaux a permis de détecter 111 cas d'albinisme partiel et 25 cas de tumeurs.
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La diversité des espèces
- Selon une étude menée en 2016, la population d'espèces d'oiseaux dans la région a diminué d'environ 50 % depuis la catastrophe nucléaire de 1986.
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La population des espèces
- Les résultats de cette étude indiquent une perte d'environ 66 % du nombre de membres chez chaque espèce d'oiseaux.
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Les insectes
- Cette catastrophe nucléaire a provoqué une diminution du nombre d'insectes et d'araignées dans la région, entraînant une diminution des ressources alimentaires disponibles pour diverses espèces telles que les oiseaux, les poissons et certains mammifères.
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Les insectes
- En 2009, une étude a établi un lien entre le taux de radioactivité d'une région et la richesse de sa population d'insectes. Étonnamment, les insectes sont tout aussi sensibles aux radiations que les autres espèces.
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18 / 31 Fotos
Les abeilles
- Les pollinisateurs sont indispensables à l'écosystème. En effet, ils sont responsables de la floraison d'environ 75 % des fleurs dans le monde, mais également d'environ 35 % des récoltes alimentaires mondiales.
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19 / 31 Fotos
Les abeilles
- La catastrophe de Tchernobyl a entraîné la disparition des pollinisateurs de la région. Une étude de 2020 a évalué l'impact des rayonnements sur les abeilles, en reproduisant les taux de radioactivité enregistrés dans la zone touchée au cours de cette période. Les résultats ont révélé des effets néfastes sur la reproduction des abeilles, ainsi qu'une baisse de la densité des colonies.
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Les souris
- L'accident nucléaire de Tchernobyl a également impacté les rongeurs, leur causant des lésions oculaires.
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21 / 31 Fotos
Les souris
- On a découvert que les campagnols roussâtres vivant dans la zone d'exclusion souffraient très souvent de cataractes, qui affectaient à la fois leur vision et leur capacité de reproduction. On a également observé que les femelles atteintes de cataractes donnaient naissance à des portées plus petites que leurs congénères en bonne santé.
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Les autres animaux touchés
- La catastrophe nucléaire de Tchernobyl a principalement touché les animaux vivant dans la zone d'exclusion, mais on estime que le panache radioactif se serait dispersé dans toute l'Europe et aurait même atteint la Suède.
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Les autres animaux touchés
- En effet, en 2017, un sanglier chassé en Suède présentait un taux de radioactivité dix fois supérieur à la limite légale de sécurité.
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Un refuge pour les espèces menacées
- La zone d'exclusion s'est transformée en un véritable sanctuaire pour certaines espèces, comme par exemple les chevaux de Przewalski, menacés d'extinction, et ce malgré les effets néfastes des rayonnements.
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Un refuge pour les espèces menacées
- Ces chevaux se sont installés dans la région entre 1998 et 2004 et semblent s'être plutôt bien adaptés à ce cadre.
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Les aigles criards
- L'aigle criard, une espèce menacée, prospère dans la région. En effet, au moins 13 couples vivraient paisiblement dans la zone d'exclusion de Tchernobyl.
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Les mutations animales
- Néanmoins, une étude scientifique conduite en 2016 a conclu qu'il existe peu de données permettant d'affirmer que les animaux ayant été irradiés sont en bonne santé.
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Les mutations animales
- D'après cette étude : "De nombreux organismes ont démontré leur capacité à survivre et à se reproduire sous de faibles doses de rayonnements ionisants, provenant du rayonnement naturel ou d'accidents nucléaires. Nous avons trouvé un total de 17 cas supposés d'adaptation, principalement fondés sur des expériences basiques, réalisées avec des organismes provenant généralement de deux ou trois lieux d'échantillonnage différents. Seule une étude expérimentale atteste d'une résistance aux rayonnements radioactifs".
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Les mutations animales
- L'étude conclut ainsi : "Enfin, nous avons examiné les études portant sur la détection d'hormèse (c'est-à-dire une adaptation et une grande résilience à des taux élevés de radiation), mais nous n'avons trouvé aucune preuve de l'existence de ce phénomène, d'où la nécessité de mener des expériences rigoureuses basées sur un large échantillonnage." Sources : (Grunge) Voir aussi : Tchernobyl : à quoi ressemble cette ville aujourd'hui ?
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L'héritage de Tchernobyl : des animaux radioactifs
Les radiations ont touché des animaux jusqu'en Suède !
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Le 26 avril 1986, la catastrophe nucléaire de Tchernobyl a entraîné l'évacuation de la ville de Prypiat, laissant de nombreux animaux livrés à eux-mêmes. Trente-cinq ans plus tard, alors que certaines espèces ont prospéré dans la région, d'autres ont subi des dommages importants, et de nouvelles y sont apparues. Mais comment ces animaux ont-ils réagi à l'exposition aux rayonnements radioactifs ? Comment était la vie dans la zone d'exclusion de Tchernobyl ?
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