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Normes sociales
- Contrairement à ce que beaucoup pensent, la langue se comporte davantage comme un contrat social que comme un système strict régi par des règles inhérentes. Ce qui est considéré comme "correct" n'est pas déterminé par la langue elle-même, mais par les attentes culturelles et sociétales au sens large.
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La grammaire n'est pas toujours nécessaire
- Le véritable objectif de la langue est la communication, et de nombreuses idées peuvent être exprimées sans obéir à la grammaire traditionnelle. Si les règles peuvent améliorer la clarté, elles ne sont pas des conditions préalables à une compréhension ou à une interaction efficaces.
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La crainte d'un discours "erroné"
- Les parents, les enseignants et les figures d'autorité insistent souvent sur l'idée de correction linguistique. Ces messages précoces façonnent notre pensée et nous amènent à croire en des normes fixes qui ne reflètent pas le fonctionnement réel de la langue.
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Deux écoles de pensée
- Les règles linguistiques sont généralement classées en deux catégories : le prescriptivisme linguistique et le descriptivisme. Le prescriptivisme impose une version idéalisée de la langue qui favorise une correction rigide, basée sur la grammaire. Le descriptivisme, quant à lui, observe la façon dont la langue est utilisée dans des contextes réels.
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Adoration pour la grammaire
- Lorsque les gens entrent dans l'enseignement supérieur et s'engagent réellement dans la linguistique académique, il devient très clair que les règles du prescriptivisme ne sont pas aussi importantes qu'elles le sont généralement enseignées à l'école. La langue fonctionne davantage par le sens et l'intention que par la correction formelle.
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Contexte
- Les auditeurs extraient généralement le sens en se basant sur l'ordre des mots et le contexte, et non sur les parties du discours au sens strict. Il est donc possible de déformer la langue de manière créative tout en restant clairement compris dans une conversation de tous les jours.
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S'étirer sans se briser
- Bien que les règles grammaticales aident à structurer la pensée, le langage peut subir de nombreuses déformations. Son but ultime (qui est de partager le sens) reste intact même lorsque les formes sont improvisées ou remodelées de manière créative sur le moment.
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Reflet identitaire
- Les débats linguistiques ne portent pas seulement sur les verbes et les virgules ; il s'agit de batailles par procuration pour les valeurs, les générations et même les distinctions de classe. Nous nous disputons souvent au sujet des modes d'expression alors qu'en réalité, nous nous disputons au sujet de notre identité.
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Le "they singulier"
- Alors que les débats modernes font rage sur l'utilisation de "they" ou "them" (équivalent anglais du "iel" français) comme pronoms singuliers (alors qu'ils sont traditionnellement utilisés à la troisième personne du pluriel), l'histoire nous laisse à voir une autre vérité. Des écrivains comme William Shakespeare l'ont utilisé il y a des siècles, ce qui prouve que l'utilité l'emporte souvent sur les règles dans l'élaboration des normes linguistiques.
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Déclaration subtile sur la personne que l'on est
- Chaque mot, chaque phrase et chaque accent que nous utilisons reflètent quelque chose de plus profond : nos origines, nos affiliations et notre vision du monde. La langue fonctionne comme un passeport social, signalant l'appartenance à un groupe et soulignant notre identité individuelle.
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“Pardon my French”
- L'expression anglaise populaire "pardon my French" en est un exemple. À l'origine, elle était utilisée comme référence littérale à l'utilisation du français au milieu d'une discussion anglaise, mais elle a depuis évolué pour devenir un euphémisme lorsque l'on emploie des jurons.
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11 / 31 Fotos
Dictionnaires évolutifs
- Nos dictionnaires internes évoluent constamment, souvent en silence. L'argot, les mots d'ordre et les tendances s'infiltrent dans notre langue et notre mémoire, remodelant notre façon de penser et de communiquer, souvent sans approbation consciente.
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12 / 31 Fotos
Élément fluide de l'humanité
- Les règles formelles peuvent faciliter l'enseignement de la langue, mais l'usage réel est beaucoup plus désordonné. La langue du monde réel est un flux tourbillonnant d'inventions, d'habitudes et de significations partagées, et non une structure fixe. C'est un élément vivant de la vie humaine.
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Langues inventées
- Des langues comme l'espéranto et le klingon ont été délibérément construites à des fins spécifiques, mais des communautés les ont adoptées et leur ont donné une vie propre. Même les systèmes inventés peuvent devenir des formes d'expression vivantes.
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14 / 31 Fotos
Produit de l'interaction
- Loin d'être pur ou isolé, l'anglais est un mélange chaotique façonné par les invasions, le colonialisme et le commerce mondial. C'est une éponge linguistique qui a absorbé l'influence d'innombrables langues à travers le temps et la géographie.
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Influence du latin
- Bien que l'anglais soit une langue germanique, environ 60 % de son vocabulaire provient du latin. Cela est dû à des siècles d'admiration pour la culture romaine, en particulier dans les domaines de la science, du droit et de l'université.
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16 / 31 Fotos
Influence du grec
- L'anglais a également emprunté généreusement au grec et a donné naissance à des mots comme "panic" et "academy". Cela reflète le désir de longue date de la langue anglaise d'imiter ce qui était autrefois considéré comme le summum de l'intellect et de la civilisation.
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Colonialisme
- La diffusion de l'anglais ne s'est pas faite naturellement. En fait, elle est le résultat direct de l'impérialisme. En colonisant d'autres nations, l'Angleterre a imposé l'anglais aux peuples colonisés et leur a emprunté des mots comme "poncho" et "chocolate". Ces termes, autrefois considérés comme étrangers, sont peu à peu acceptés comme faisant partie de l'essence même de l'anglais.
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Dialecte ou langue
- Mais quelle est la différence entre une langue et un dialecte ? La compréhension la plus courante est que les langues sont généralement attribuées à des pays spécifiques, tandis que les dialectes en sont simplement les variations.
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Langues distinctes
- Des langues comme le suédois, le norvégien et le danois se ressemblent tellement que leurs locuteurs se comprennent souvent. Mais parce qu'elles appartiennent à des nations différentes, nous les distinguons entre elles. Si la linguistique était réellement liée à la logique plutôt qu'à des frontières arbitraires, cela n'arriverait pas.
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Nationalisme
- Appeler quelque chose "langue" au lieu de "dialecte" peut renforcer la fierté nationale. Souvent, les distinctions linguistiques renforcent l'indépendance politique plutôt que de refléter de véritables différences dans les systèmes de communication. Elles sont artificielles et arbitraires.
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Tout d'une langue
- D'autre part, certains dialectes présentent des différences structurelles et grammaticales si importantes qu'on pourrait facilement les confondre avec des langues entièrement distinctes. L'anglais vernaculaire afro-américain (AAVE), un dialecte doté de son propre système linguistique complexe et distinct, en est un exemple frappant.
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Intersections culturelles complexes
- L'AAVE est probablement né de la fusion de l'anglais et des langues d'Afrique de l'Ouest, influencée par le contexte brutal de l'esclavage et du métissage culturel dans les premiers temps des États-Unis. Sa structure reflète ce passé complexe.
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Jugement inéquitable
- De nombreuses personnes supposent à tort que l'AAVE est un mauvais anglais, l'assimilant à un manque d'éducation ou d'effort. Ces jugements ignorent la structure profonde et la richesse expressive de l'AAVE, mais ils renforcent également des stéréotypes nuisibles (et souvent racistes).
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Contrôle
- La langue a longtemps été un outil d'oppression. Dans les années 1900, de nombreux enfants amérindiens ont été poussés dans les écoles et forcés d'apprendre l'anglais "standard", au détriment de leurs propres langues indigènes. En conséquence, les enfants grandissent aujourd'hui sans aucune connaissance de leurs langues ancestrales.
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Structures du pouvoir
- Ce sont les personnes au pouvoir qui décident quels dialectes sont "corrects". Ce que nous appelons le "bon" anglais n'est souvent que la langue de ceux qui détiennent le pouvoir. Des dirigeants coloniaux aux universités d'élite, l'autorité linguistique tend à refléter la domination politique et culturelle plutôt qu'une logique objective.
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Préférences grammaticales
- Les règles de grammaire que les gens suivent (et celles qu'ils ignorent) dépendent souvent des cercles sociaux auxquels ils appartiennent. La grammaire est autant une question d'appartenance à un groupe que de clarté.
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Tordre le cou aux règles
- Malgré ce que prétendent les puristes de la grammaire, la communication reste possible même lorsque les gens enfreignent les règles grammaticales. Un mauvais usage des temps ou de l'argot ne ruine pas automatiquement une phrase si l'auditeur comprend l'intention de l'orateur.
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Évolution par la connexion
- Ce n'est pas le respect des règles qui maintient une langue en vie. Elle est maintenue en vie grâce aux personnes qui l'utilisent, l'étendent, la remixent et la transmettent. La langue évolue non pas parce qu'elle est cassée, mais parce qu'elle est vivante et animée par la société.
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Par amour de la communication
- À la base, le langage est un moyen pour les humains d'essayer de se comprendre les uns les autres et de se connecter à un niveau plus profond. La grammaire est utile, mais elle n'est pas au cœur de l'échange. L'intuition, l'émotion et le contexte ont souvent plus de poids que n'importe quelle règle. Sources : (TheCollector) (Britannica) Découvrez aussi : Les langues les plus dures à apprendre
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Normes sociales
- Contrairement à ce que beaucoup pensent, la langue se comporte davantage comme un contrat social que comme un système strict régi par des règles inhérentes. Ce qui est considéré comme "correct" n'est pas déterminé par la langue elle-même, mais par les attentes culturelles et sociétales au sens large.
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La grammaire n'est pas toujours nécessaire
- Le véritable objectif de la langue est la communication, et de nombreuses idées peuvent être exprimées sans obéir à la grammaire traditionnelle. Si les règles peuvent améliorer la clarté, elles ne sont pas des conditions préalables à une compréhension ou à une interaction efficaces.
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La crainte d'un discours "erroné"
- Les parents, les enseignants et les figures d'autorité insistent souvent sur l'idée de correction linguistique. Ces messages précoces façonnent notre pensée et nous amènent à croire en des normes fixes qui ne reflètent pas le fonctionnement réel de la langue.
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Deux écoles de pensée
- Les règles linguistiques sont généralement classées en deux catégories : le prescriptivisme linguistique et le descriptivisme. Le prescriptivisme impose une version idéalisée de la langue qui favorise une correction rigide, basée sur la grammaire. Le descriptivisme, quant à lui, observe la façon dont la langue est utilisée dans des contextes réels.
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Adoration pour la grammaire
- Lorsque les gens entrent dans l'enseignement supérieur et s'engagent réellement dans la linguistique académique, il devient très clair que les règles du prescriptivisme ne sont pas aussi importantes qu'elles le sont généralement enseignées à l'école. La langue fonctionne davantage par le sens et l'intention que par la correction formelle.
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Contexte
- Les auditeurs extraient généralement le sens en se basant sur l'ordre des mots et le contexte, et non sur les parties du discours au sens strict. Il est donc possible de déformer la langue de manière créative tout en restant clairement compris dans une conversation de tous les jours.
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S'étirer sans se briser
- Bien que les règles grammaticales aident à structurer la pensée, le langage peut subir de nombreuses déformations. Son but ultime (qui est de partager le sens) reste intact même lorsque les formes sont improvisées ou remodelées de manière créative sur le moment.
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Reflet identitaire
- Les débats linguistiques ne portent pas seulement sur les verbes et les virgules ; il s'agit de batailles par procuration pour les valeurs, les générations et même les distinctions de classe. Nous nous disputons souvent au sujet des modes d'expression alors qu'en réalité, nous nous disputons au sujet de notre identité.
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Le "they singulier"
- Alors que les débats modernes font rage sur l'utilisation de "they" ou "them" (équivalent anglais du "iel" français) comme pronoms singuliers (alors qu'ils sont traditionnellement utilisés à la troisième personne du pluriel), l'histoire nous laisse à voir une autre vérité. Des écrivains comme William Shakespeare l'ont utilisé il y a des siècles, ce qui prouve que l'utilité l'emporte souvent sur les règles dans l'élaboration des normes linguistiques.
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Déclaration subtile sur la personne que l'on est
- Chaque mot, chaque phrase et chaque accent que nous utilisons reflètent quelque chose de plus profond : nos origines, nos affiliations et notre vision du monde. La langue fonctionne comme un passeport social, signalant l'appartenance à un groupe et soulignant notre identité individuelle.
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“Pardon my French”
- L'expression anglaise populaire "pardon my French" en est un exemple. À l'origine, elle était utilisée comme référence littérale à l'utilisation du français au milieu d'une discussion anglaise, mais elle a depuis évolué pour devenir un euphémisme lorsque l'on emploie des jurons.
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Dictionnaires évolutifs
- Nos dictionnaires internes évoluent constamment, souvent en silence. L'argot, les mots d'ordre et les tendances s'infiltrent dans notre langue et notre mémoire, remodelant notre façon de penser et de communiquer, souvent sans approbation consciente.
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Élément fluide de l'humanité
- Les règles formelles peuvent faciliter l'enseignement de la langue, mais l'usage réel est beaucoup plus désordonné. La langue du monde réel est un flux tourbillonnant d'inventions, d'habitudes et de significations partagées, et non une structure fixe. C'est un élément vivant de la vie humaine.
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Langues inventées
- Des langues comme l'espéranto et le klingon ont été délibérément construites à des fins spécifiques, mais des communautés les ont adoptées et leur ont donné une vie propre. Même les systèmes inventés peuvent devenir des formes d'expression vivantes.
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Produit de l'interaction
- Loin d'être pur ou isolé, l'anglais est un mélange chaotique façonné par les invasions, le colonialisme et le commerce mondial. C'est une éponge linguistique qui a absorbé l'influence d'innombrables langues à travers le temps et la géographie.
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15 / 31 Fotos
Influence du latin
- Bien que l'anglais soit une langue germanique, environ 60 % de son vocabulaire provient du latin. Cela est dû à des siècles d'admiration pour la culture romaine, en particulier dans les domaines de la science, du droit et de l'université.
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16 / 31 Fotos
Influence du grec
- L'anglais a également emprunté généreusement au grec et a donné naissance à des mots comme "panic" et "academy". Cela reflète le désir de longue date de la langue anglaise d'imiter ce qui était autrefois considéré comme le summum de l'intellect et de la civilisation.
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Colonialisme
- La diffusion de l'anglais ne s'est pas faite naturellement. En fait, elle est le résultat direct de l'impérialisme. En colonisant d'autres nations, l'Angleterre a imposé l'anglais aux peuples colonisés et leur a emprunté des mots comme "poncho" et "chocolate". Ces termes, autrefois considérés comme étrangers, sont peu à peu acceptés comme faisant partie de l'essence même de l'anglais.
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Dialecte ou langue
- Mais quelle est la différence entre une langue et un dialecte ? La compréhension la plus courante est que les langues sont généralement attribuées à des pays spécifiques, tandis que les dialectes en sont simplement les variations.
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Langues distinctes
- Des langues comme le suédois, le norvégien et le danois se ressemblent tellement que leurs locuteurs se comprennent souvent. Mais parce qu'elles appartiennent à des nations différentes, nous les distinguons entre elles. Si la linguistique était réellement liée à la logique plutôt qu'à des frontières arbitraires, cela n'arriverait pas.
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Nationalisme
- Appeler quelque chose "langue" au lieu de "dialecte" peut renforcer la fierté nationale. Souvent, les distinctions linguistiques renforcent l'indépendance politique plutôt que de refléter de véritables différences dans les systèmes de communication. Elles sont artificielles et arbitraires.
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Tout d'une langue
- D'autre part, certains dialectes présentent des différences structurelles et grammaticales si importantes qu'on pourrait facilement les confondre avec des langues entièrement distinctes. L'anglais vernaculaire afro-américain (AAVE), un dialecte doté de son propre système linguistique complexe et distinct, en est un exemple frappant.
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Intersections culturelles complexes
- L'AAVE est probablement né de la fusion de l'anglais et des langues d'Afrique de l'Ouest, influencée par le contexte brutal de l'esclavage et du métissage culturel dans les premiers temps des États-Unis. Sa structure reflète ce passé complexe.
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Jugement inéquitable
- De nombreuses personnes supposent à tort que l'AAVE est un mauvais anglais, l'assimilant à un manque d'éducation ou d'effort. Ces jugements ignorent la structure profonde et la richesse expressive de l'AAVE, mais ils renforcent également des stéréotypes nuisibles (et souvent racistes).
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Contrôle
- La langue a longtemps été un outil d'oppression. Dans les années 1900, de nombreux enfants amérindiens ont été poussés dans les écoles et forcés d'apprendre l'anglais "standard", au détriment de leurs propres langues indigènes. En conséquence, les enfants grandissent aujourd'hui sans aucune connaissance de leurs langues ancestrales.
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Structures du pouvoir
- Ce sont les personnes au pouvoir qui décident quels dialectes sont "corrects". Ce que nous appelons le "bon" anglais n'est souvent que la langue de ceux qui détiennent le pouvoir. Des dirigeants coloniaux aux universités d'élite, l'autorité linguistique tend à refléter la domination politique et culturelle plutôt qu'une logique objective.
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Préférences grammaticales
- Les règles de grammaire que les gens suivent (et celles qu'ils ignorent) dépendent souvent des cercles sociaux auxquels ils appartiennent. La grammaire est autant une question d'appartenance à un groupe que de clarté.
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Tordre le cou aux règles
- Malgré ce que prétendent les puristes de la grammaire, la communication reste possible même lorsque les gens enfreignent les règles grammaticales. Un mauvais usage des temps ou de l'argot ne ruine pas automatiquement une phrase si l'auditeur comprend l'intention de l'orateur.
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Évolution par la connexion
- Ce n'est pas le respect des règles qui maintient une langue en vie. Elle est maintenue en vie grâce aux personnes qui l'utilisent, l'étendent, la remixent et la transmettent. La langue évolue non pas parce qu'elle est cassée, mais parce qu'elle est vivante et animée par la société.
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Par amour de la communication
- À la base, le langage est un moyen pour les humains d'essayer de se comprendre les uns les autres et de se connecter à un niveau plus profond. La grammaire est utile, mais elle n'est pas au cœur de l'échange. L'intuition, l'émotion et le contexte ont souvent plus de poids que n'importe quelle règle. Sources : (TheCollector) (Britannica) Découvrez aussi : Les langues les plus dures à apprendre
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La langue est un leurre
Chaque règle de grammaire est le reflet de la personne qui l'a écrite
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La langue, malgré sa structure et ses règles supposées, est un système magnifiquement chaotique construit moins sur la logique que sur les évolutions de l'interaction humaine. Dès l'enfance, on nous apprend à traiter la grammaire comme une loi sacrée, en nous inculquant des notions de bien et de mal, de convenable et d'inconvenant, d'éloquent et de paresseux. Mais une fois que l'on s'affranchit de l'aspect poli des manuels, on découvre une réalité plus désordonnée et plus vivante : la langue est une supercherie !
Ou, à tout le moins, la langue n'est pas ce que nous avons été amenés à croire. En effet, la langue elle-même est beaucoup moins rigide lorsqu'il s'agit de correction, et elle aime plutôt vivre dans les espaces de communication et de contexte.
Alors, qu'est-ce que cela signifie vraiment pour une langue d'être correcte ? Et, c'est peut-être la question la plus importante, si la langue est davantage façonnée par les gens que par les principes, alors pour qui essayons-nous vraiment de parler correctement ? Cliquez sur cette galerie pour en savoir plus.
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