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Festival ancestral du Japon
- Le festival des bébés sumos en pleurs est une tradition japonaise aussi singulière que captivante. Elle remonterait à plus de 400 ans, bien que nul ne sache avec certitude quand s’est tenue la toute première édition.
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Des pleurs porte-bonheur
- Faire pleurer un bébé peut sembler cruel, mais cette tradition repose en réalité sur une croyance profondément ancrée : les pleurs d’un nourrisson chasseraient les mauvais esprits et attireraient sur lui santé, vitalité, croissance et force.
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Des racines shintoïstes
- Une grande partie des traditions anciennes du festival puisent leur origine dans le shintoïsme. Cette religion spirituelle propre au Japon repose sur le culte des esprits et des divinités appelés kami, que l’on croit présents dans les éléments de la nature, les objets et les ancêtres.
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3 / 30 Fotos
Une sagesse venue du folklore
- Le festival trouve aussi ses racines dans le folklore japonais. Toute sa portée culturelle est résumée dans un vieux proverbe du pays : Naku ko wa sodatsu, autrement dit "les bébés qui pleurent grandissent plus vite".
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4 / 30 Fotos
Une cérémonie pour bien commencer
- Tout commence généralement par une cérémonie menée par un prêtre shintoïste, appelé kannushi ou shinshoku. Celui-ci exécute une série de rituels et adresse des prières pour souhaiter santé et croissance aux petits participants.
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5 / 30 Fotos
Place aux rikishis
- Après le prêtre, ce sont les lutteurs de sumo, appelés rikishi, qui entrent en scène. Habituellement, leur art consiste à se mesurer par la force en se poussant, se bousculant ou en se projetant au sol. Mais ce jour-là, pas de combat : leur rôle est tout autre. Avec délicatesse, ils soulèvent un bébé dans leurs bras et se préparent à accomplir un rituel pour le moins inattendu.
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6 / 30 Fotos
Un habit qui ne passe pas inaperçu
- Les lutteurs de sumo sont facilement reconnaissables à leur tenue emblématique — et particulièrement minimaliste. Le mawashi, cette bande de tissu épaisse enroulée autour de la taille et de l’entrejambe, couvre le strict minimum... et laisse peu de place à l’imagination.
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7 / 30 Fotos
Les bébés aussi sortent le grand jeu
- Les bébés aussi portent des tenues traditionnelles, et certains arborent même un casque ! Mais pas d’inquiétude : il ne sert pas à les protéger des lutteurs. Ces casques kabuto faits main sont simplement un symbole de force.
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8 / 30 Fotos
Que le plus bruyant gagne
- Une fois les rituels terminés, deux lutteurs montent sur le ring, chacun avec un bébé dans les bras. Le but ? Voir lequel pleure en premier. Si les deux éclatent en sanglots en même temps, c’est le plus bruyant qui l’emporte.
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9 / 30 Fotos
L’art de faire pleurer
- Pour provoquer les pleurs, les lutteurs usent de différentes techniques : ils font rebondir doucement le bébé, tirent des grimaces ou répètent des expressions bien connues comme Naki ! Naki ! Naki !, ce qui signifie "Pleure ! Pleure ! Pleure !"
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10 / 30 Fotos
Des larmes… ou des rires
- Il faut le préciser : aucun bébé n’est jamais blessé pendant le festival. Certains refusent même de pleurer… et éclatent parfois de rire ! Une réaction qui amuse instantanément la foule et contribue à l’ambiance joyeuse de cette tradition haute en couleur.
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11 / 30 Fotos
Les arbitres à la rescousse
- Si les bébés rient trop ou que les lutteurs peinent à déclencher les larmes, les arbitres entrent en scène. Masqués selon la tradition, ils tournent autour des bébés en dansant pour tenter de leur faire peur.
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12 / 30 Fotos
Match nul pour bébés stoïques
- Dans les rares cas où même les arbitres n’arrivent pas à faire pleurer les bébés, le duel est déclaré nul et aucun des deux ne reçoit les bénédictions pour sa santé. Cela dit, ils gagnent au passage une belle réputation de dur à cuire !
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13 / 30 Fotos
Un ring très convoité
- Le rituel se poursuit jusqu’à ce que chaque bébé ait eu son tour dans le ring. Et ils sont nombreux ! Selon les lieux, entre 100 et 160 bébés participent chaque année — même si les candidatures dépassent largement ce nombre.
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14 / 30 Fotos
Des exigences strictes
- Peu importe le poids ou la taille du bébé : la seule condition pour participer est d’avoir entre six et dix-huit mois. Et il faut aussi des parents très motivés, car décrocher une place dans l’arène relève parfois du vrai parcours du combattant !
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Des pleurs qui se méritent
- Les parents doivent inscrire leur bébé longtemps à l’avance s’ils veulent avoir une chance de le faire participer au festival. L’inscription coûte environ 15 000 yens, soit un peu plus de 100 dollars américains.
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16 / 30 Fotos
Un tirage au sort très attendu
- Le festival est désormais si populaire qu’un système de loterie a dû être mis en place. Chaque année, bien plus de 100 bébés sont inscrits, et pour garantir l’équité, seuls les heureux élus du tirage au sort obtiennent une place sur le ring.
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17 / 30 Fotos
Un honneur discuté
- Cela peut sembler difficile à croire, mais cette journée est vécue comme un véritable moment de joie, et de nombreux parents considèrent comme un privilège le fait que leur bébé reçoive une bénédiction sur le ring. Pourtant, tout le monde n’est pas d’accord avec l’idée de faire pleurer des nourrissons.
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18 / 30 Fotos
Une tradition qui divise
- Il suffit de regarder quelques photos pour comprendre pourquoi le festival Nakizumo suscite parfois la controverse. Nombreux sont ceux qui s’inquiètent du bien-être des bébés impliqués.
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19 / 30 Fotos
Des voix qui s’élèvent
- Les détracteurs estiment qu’effrayer volontairement les bébés pour les faire pleurer est une source de stress inutile. Selon eux, cette pratique ne correspond plus aux standards actuels en matière de bien-être infantile et ne devrait pas être maintenue au seul nom de la tradition.
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20 / 30 Fotos
Entre fascination et controverse
- Avec la popularité grandissante du festival, les photos ont fait le tour du monde, suscitant à la fois l’étonnement et l’inquiétude. Mais les organisateurs et les partisans de l’événement assurent qu’il est mené avec précaution.
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21 / 30 Fotos
Des sanctuaires aux quatre coins du pays
- Le festival a lieu chaque année dans des sanctuaires et temples shintoïstes à travers tout le Japon, notamment à Osaka, Kyoto ou Fukuoka. Mais c’est au temple Sensō-ji, à Tokyo, que l’événement est le plus emblématique.
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22 / 30 Fotos
Une journée bien remplie
- Avec autant de bébés au programme, le festival s’étale sur plusieurs heures. Dans les lieux les plus fréquentés, il faut même organiser deux sessions dans la journée pour accueillir tous ces petits pleurs !
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23 / 30 Fotos
Une fête sous le signe de l’enfance
- La compétition a lieu autour du 5 mai, à l’occasion de la Journée des enfants au Japon (bien que la date exacte puisse varier selon les temples). Autrefois dédiée uniquement aux garçons, cette fête célèbre aussi les filles depuis 1948.
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24 / 30 Fotos
Une semaine en or
- La Journée des enfants s’inscrit dans la Golden Week, l’une des périodes de congés les plus célébrées — et les plus animées — du Japon. Elle s’étend généralement du 29 avril au 5 mai et donne lieu à une multitude de festivités, souvent aussi joyeuses qu’insolites.
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25 / 30 Fotos
Une expérience à ne pas manquer
- La Golden Week est l’un des meilleurs moments de l’année pour visiter le Japon, et le festival des bébés en pleurs accueille volontiers les touristes. Avec son ambiance conviviale mêlant locaux et curieux venus du monde entier, c’est une expérience insolite à ne pas rater.
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26 / 30 Fotos
Un spectacle ouvert à tous
- Le festival est entièrement gratuit pour les spectateurs. Tout le monde est le bienvenu, et l’on assiste à la scène depuis les espaces ouverts du temple ou du sanctuaire. Dans certains cas, s’il y a des places assises prévues, une petite participation peut être demandée.
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27 / 30 Fotos
Le spectacle chez soi
- Si vous ne prévoyez pas de voyage au Japon prochainement mais que vous êtes tenté par cette tradition insolite, pas d’inquiétude : le festival Nakizumo est diffusé en ligne. Vous pouvez donc suivre tous ces pleurs étonnants… confortablement installé dans votre salon !
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28 / 30 Fotos
Une tradition à réévaluer ?
- Faut-il maintenir une tradition si elle ne correspond plus aux valeurs actuelles ? Est-il vraiment acceptable de faire pleurer un bébé, même au nom d’un rituel ancestral ? Pour les milliers de personnes qui y participent ou y assistent chaque année, la réponse est oui. Mais vous, qu’en pensez-vous ? Sources: (JapanTravel) Découvrez aussi : Choses étranges que l'on ne trouve qu'au Japon
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Festival ancestral du Japon
- Le festival des bébés sumos en pleurs est une tradition japonaise aussi singulière que captivante. Elle remonterait à plus de 400 ans, bien que nul ne sache avec certitude quand s’est tenue la toute première édition.
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Des pleurs porte-bonheur
- Faire pleurer un bébé peut sembler cruel, mais cette tradition repose en réalité sur une croyance profondément ancrée : les pleurs d’un nourrisson chasseraient les mauvais esprits et attireraient sur lui santé, vitalité, croissance et force.
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Des racines shintoïstes
- Une grande partie des traditions anciennes du festival puisent leur origine dans le shintoïsme. Cette religion spirituelle propre au Japon repose sur le culte des esprits et des divinités appelés kami, que l’on croit présents dans les éléments de la nature, les objets et les ancêtres.
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3 / 30 Fotos
Une sagesse venue du folklore
- Le festival trouve aussi ses racines dans le folklore japonais. Toute sa portée culturelle est résumée dans un vieux proverbe du pays : Naku ko wa sodatsu, autrement dit "les bébés qui pleurent grandissent plus vite".
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Une cérémonie pour bien commencer
- Tout commence généralement par une cérémonie menée par un prêtre shintoïste, appelé kannushi ou shinshoku. Celui-ci exécute une série de rituels et adresse des prières pour souhaiter santé et croissance aux petits participants.
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5 / 30 Fotos
Place aux rikishis
- Après le prêtre, ce sont les lutteurs de sumo, appelés rikishi, qui entrent en scène. Habituellement, leur art consiste à se mesurer par la force en se poussant, se bousculant ou en se projetant au sol. Mais ce jour-là, pas de combat : leur rôle est tout autre. Avec délicatesse, ils soulèvent un bébé dans leurs bras et se préparent à accomplir un rituel pour le moins inattendu.
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Un habit qui ne passe pas inaperçu
- Les lutteurs de sumo sont facilement reconnaissables à leur tenue emblématique — et particulièrement minimaliste. Le mawashi, cette bande de tissu épaisse enroulée autour de la taille et de l’entrejambe, couvre le strict minimum... et laisse peu de place à l’imagination.
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7 / 30 Fotos
Les bébés aussi sortent le grand jeu
- Les bébés aussi portent des tenues traditionnelles, et certains arborent même un casque ! Mais pas d’inquiétude : il ne sert pas à les protéger des lutteurs. Ces casques kabuto faits main sont simplement un symbole de force.
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Que le plus bruyant gagne
- Une fois les rituels terminés, deux lutteurs montent sur le ring, chacun avec un bébé dans les bras. Le but ? Voir lequel pleure en premier. Si les deux éclatent en sanglots en même temps, c’est le plus bruyant qui l’emporte.
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L’art de faire pleurer
- Pour provoquer les pleurs, les lutteurs usent de différentes techniques : ils font rebondir doucement le bébé, tirent des grimaces ou répètent des expressions bien connues comme Naki ! Naki ! Naki !, ce qui signifie "Pleure ! Pleure ! Pleure !"
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Des larmes… ou des rires
- Il faut le préciser : aucun bébé n’est jamais blessé pendant le festival. Certains refusent même de pleurer… et éclatent parfois de rire ! Une réaction qui amuse instantanément la foule et contribue à l’ambiance joyeuse de cette tradition haute en couleur.
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Les arbitres à la rescousse
- Si les bébés rient trop ou que les lutteurs peinent à déclencher les larmes, les arbitres entrent en scène. Masqués selon la tradition, ils tournent autour des bébés en dansant pour tenter de leur faire peur.
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12 / 30 Fotos
Match nul pour bébés stoïques
- Dans les rares cas où même les arbitres n’arrivent pas à faire pleurer les bébés, le duel est déclaré nul et aucun des deux ne reçoit les bénédictions pour sa santé. Cela dit, ils gagnent au passage une belle réputation de dur à cuire !
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13 / 30 Fotos
Un ring très convoité
- Le rituel se poursuit jusqu’à ce que chaque bébé ait eu son tour dans le ring. Et ils sont nombreux ! Selon les lieux, entre 100 et 160 bébés participent chaque année — même si les candidatures dépassent largement ce nombre.
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14 / 30 Fotos
Des exigences strictes
- Peu importe le poids ou la taille du bébé : la seule condition pour participer est d’avoir entre six et dix-huit mois. Et il faut aussi des parents très motivés, car décrocher une place dans l’arène relève parfois du vrai parcours du combattant !
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Des pleurs qui se méritent
- Les parents doivent inscrire leur bébé longtemps à l’avance s’ils veulent avoir une chance de le faire participer au festival. L’inscription coûte environ 15 000 yens, soit un peu plus de 100 dollars américains.
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16 / 30 Fotos
Un tirage au sort très attendu
- Le festival est désormais si populaire qu’un système de loterie a dû être mis en place. Chaque année, bien plus de 100 bébés sont inscrits, et pour garantir l’équité, seuls les heureux élus du tirage au sort obtiennent une place sur le ring.
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Un honneur discuté
- Cela peut sembler difficile à croire, mais cette journée est vécue comme un véritable moment de joie, et de nombreux parents considèrent comme un privilège le fait que leur bébé reçoive une bénédiction sur le ring. Pourtant, tout le monde n’est pas d’accord avec l’idée de faire pleurer des nourrissons.
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18 / 30 Fotos
Une tradition qui divise
- Il suffit de regarder quelques photos pour comprendre pourquoi le festival Nakizumo suscite parfois la controverse. Nombreux sont ceux qui s’inquiètent du bien-être des bébés impliqués.
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Des voix qui s’élèvent
- Les détracteurs estiment qu’effrayer volontairement les bébés pour les faire pleurer est une source de stress inutile. Selon eux, cette pratique ne correspond plus aux standards actuels en matière de bien-être infantile et ne devrait pas être maintenue au seul nom de la tradition.
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20 / 30 Fotos
Entre fascination et controverse
- Avec la popularité grandissante du festival, les photos ont fait le tour du monde, suscitant à la fois l’étonnement et l’inquiétude. Mais les organisateurs et les partisans de l’événement assurent qu’il est mené avec précaution.
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21 / 30 Fotos
Des sanctuaires aux quatre coins du pays
- Le festival a lieu chaque année dans des sanctuaires et temples shintoïstes à travers tout le Japon, notamment à Osaka, Kyoto ou Fukuoka. Mais c’est au temple Sensō-ji, à Tokyo, que l’événement est le plus emblématique.
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22 / 30 Fotos
Une journée bien remplie
- Avec autant de bébés au programme, le festival s’étale sur plusieurs heures. Dans les lieux les plus fréquentés, il faut même organiser deux sessions dans la journée pour accueillir tous ces petits pleurs !
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23 / 30 Fotos
Une fête sous le signe de l’enfance
- La compétition a lieu autour du 5 mai, à l’occasion de la Journée des enfants au Japon (bien que la date exacte puisse varier selon les temples). Autrefois dédiée uniquement aux garçons, cette fête célèbre aussi les filles depuis 1948.
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Une semaine en or
- La Journée des enfants s’inscrit dans la Golden Week, l’une des périodes de congés les plus célébrées — et les plus animées — du Japon. Elle s’étend généralement du 29 avril au 5 mai et donne lieu à une multitude de festivités, souvent aussi joyeuses qu’insolites.
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Une expérience à ne pas manquer
- La Golden Week est l’un des meilleurs moments de l’année pour visiter le Japon, et le festival des bébés en pleurs accueille volontiers les touristes. Avec son ambiance conviviale mêlant locaux et curieux venus du monde entier, c’est une expérience insolite à ne pas rater.
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26 / 30 Fotos
Un spectacle ouvert à tous
- Le festival est entièrement gratuit pour les spectateurs. Tout le monde est le bienvenu, et l’on assiste à la scène depuis les espaces ouverts du temple ou du sanctuaire. Dans certains cas, s’il y a des places assises prévues, une petite participation peut être demandée.
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27 / 30 Fotos
Le spectacle chez soi
- Si vous ne prévoyez pas de voyage au Japon prochainement mais que vous êtes tenté par cette tradition insolite, pas d’inquiétude : le festival Nakizumo est diffusé en ligne. Vous pouvez donc suivre tous ces pleurs étonnants… confortablement installé dans votre salon !
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28 / 30 Fotos
Une tradition à réévaluer ?
- Faut-il maintenir une tradition si elle ne correspond plus aux valeurs actuelles ? Est-il vraiment acceptable de faire pleurer un bébé, même au nom d’un rituel ancestral ? Pour les milliers de personnes qui y participent ou y assistent chaque année, la réponse est oui. Mais vous, qu’en pensez-vous ? Sources: (JapanTravel) Découvrez aussi : Choses étranges que l'on ne trouve qu'au Japon
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Dans les coulisses du festival où les sumos font pleurer les bébés
Un rituel ancestral japonais entre folklore, rires et larmes
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Le festival des bébés sumos en pleurs porte bien son nom : il s'agit d'un événement au cours duquel des lutteurs de sumo font pleurer des nourrissons !
Le 26 avril dernier, des milliers de curieux se sont pressés pour assister à cette tradition insolite, devenue un moment fort du calendrier japonais. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le festival
Nakizumo correspond à une coutume ancestrale célébrée chaque année aux quatre coins du Japon. L'événement est si populaire que les parents doivent parfois participer à une loterie pour obtenir une place dans l’arène pour leur bébé.
Mais pourquoi donc fait-on pleurer ces tout-petits ? Et comment les sumos s’y prennent-ils ? La suite vous dévoile les secrets de ce rituel hors du commun.
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