Volterra : les vestiges fascinants d'un ancien asile italien -

Comme de nombreux immeubles abandonnés, l'hôpital psychiatrique de Volterra en Italie cache de nombreuses histoires troublantes à propos des horribles souffrances des patients qui y ont séjourné. Cet hôpital a accueilli de nombreux patients qui furent maltraités pendant de longues années. En 1970, une loi est oblige à plus d'humanité dans les traitements des patients psychiatriques. Cette loi entraînera la fermeture des portes de l'établissement. Découvrez les mystères de cet hôpital !

© Shutterstock

Localisation - L'hôpital psychiatrique de Volterra se situe en Toscane, en Italie.

© Shutterstock

Terreur - Après des années d'abandon, le bâtiment ressemble à une scène de film d'horreur.

© Shutterstock

Patients - Cet établissement a pris en charge plus de 6 000 patients atteints de maladies mentales.

© Shutterstock

Le patient - L'un de ces patients, Oreste Fernando Ferri Nannetti, a inscrit un mystérieux code sur les murs de la cours de l'hôpital.

© Shutterstock

Code - Oreste Fernando Ferri Nannetti a écrit ce code avec une boucle de ceinture.

© Shutterstock

Jugement - Ce dernier a été interné dans cet hôpital après avoir été accusé d'insulte à agent.

© Shutterstock

Son nom - Il était convaincu d'être quelqu'un d'important et se disait ingénieur minier astronomique.

© Shutterstock

Gravures - Durant toutes ces années en tant que patient de l'hôpital, il a crée d'innombrables dessins sur les murs, y compris des gravures, des noms, des dates, des silhouettes humaines, des bateaux,...

© Shutterstock

Construction - L'hôpital a été construit en 1887.

© Shutterstock

Loi - Cependant, en 1970, une modification de la loi demandait aux hôpitaux psychiatriques de traiter leurs patients avec davantage d'humanité.

© Shutterstock

Fermeture - L'hôpital psychiatrique a définitivement fermé ses portes en 1978 après que les méthodes de traitement de cet établissement ont été jugées inhumaines.

© Shutterstock

Traitement humain - Cette établissement a pourtant initialement ouvert ses portes comme un centre qui traitait les patients humainement. Le directeur de l'époque appliquait une politique de "non restriction".

© Shutterstock

Programme initial - Il voulait transformer cette institution en une ville autonome où les patients pourraient participer à des ergothérapies et se sentiraient peu limités.

© Shutterstock

Maltraitance - Au début des années 1960, son rêve a fait place à d'horribles maltraitances envers les patients.

© Shutterstock

Un endroit dont on ne revient jamais - Avant le passage de cette loi qui entraîné la fermeture de l'établissement, il était familièrement connu comme "l'endroit dont on ne revient jamais".

© Shutterstock

Transférés - Après sa fermeture par le gouvernement, les patients furent transférés vers d'autres établissements plus petits.

© Shutterstock

Oublié - Dans les plus petits centres, les patients menaient des vies semi-autonomes ou presque et l'ancien asile fut doucement oublié.

© Shutterstock

Dégâts - Aujourd'hui, les bâtiments de l'hôpital sont toujours debout mais continuent de se détériorer à mesure du temps qui passe.

© Shutterstock

Signes de vie - Après de nombreuses décennies, il reste toujours des traces laissées par les patients sur les murs de l'hôpital.

© Shutterstock

Difficile à déchiffrer - Les dessins laissés sur les murs semblent être indéchiffrables et dans une langue unique.

© Shutterstock

Hallucinations - Certains pensent que ces dessins refléteraient les hallucinations vécues par les patients y ayant séjourné, ou qu'ils décriraient le quotidien de l'hôpital.

© Shutterstock

Perdu dans le temps - Le plâtre dans lequel les symboles ont été gravés s'effrite doucement, ce qui signifie que ces dessins seront bientôt perdus pour toujours.

© Shutterstock

Se souvenir - Cet immeuble abandonné, comme beaucoup d'autres, nous montre que même si les preuves physiques sont susceptibles de disparaître avec le temps, l'histoire des lieux ne sera jamais oubliée.

© Shutterstock

Visiteurs - Le bâtiment est fréquenté par des amateurs de frisson. Nombreux sont ceux qui visitent l'établissement pour y prendre des photos et en apprendre davantage sur son histoire.

© Shutterstock

Art -

Après que l'hôpital a été abandonné, certains artistes ont laissé leur propre forme d'art sur les murs, rendant l'endroit encore plus sinistre.

Découvrez aussi: Greystone Park: un asile psychiatrique à glacer le sang

© Shutterstock