La dernière interdiction de voyager annoncée par Donald Trump provoque une vague de critiques, notamment pour son ciblage quasi exclusif de pays africains et moyen-orientaux. Douze nations sont frappées d’un bannissement total, tandis que sept autres subissent des restrictions partielles.
Le président américain présente cette mesure comme un rempart nécessaire à la sécurité nationale. Il évoque notamment une attaque récente contre la communauté juive du Colorado, attribuée à un ressortissant égyptien — alors même que l’Égypte ne figure pas sur la liste. D’autres arguments avancés incluent des infractions présumées aux règles de visa. Mais ces explications peinent à convaincre, tant la sélection des pays visés semble arbitraire.
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