Bien que l’usage de l’argent liquide diminue à travers le monde, il reste le moyen de paiement le plus concret et le plus difficile à tracer. Chaque année, les banques centrales impriment de nouveaux billets… et les faussaires en font autant. Si la contrefaçon tend à reculer, elle demeure un enjeu majeur.
Pour évaluer son ampleur, on utilise une unité de mesure appelée parties par million (ppm), qui indique le nombre de faux billets détectés pour un million de vrais. Quelles sont les devises les plus ciblées par les faussaires ? Découvrez-les dans cette galerie.